Edition Spéciale 

Bonjour à tous,

Quel BANQUET !!! Une cinquantaine de choristes étaient présents ce lundi soir lors de notre rdv annuel  concluant la saison 2014-2015. En effet les 4 tables débordaient de victuailles les plus diverses, les plats rivalisaient de saveurs, de couleurs, de présentations variées....de rivalités? Les ténors et les basses proposent pour l'an prochain  de séparer les tables par pupitre :  ALTOS - SOPRANOS et ces mêmes hommes constitueront le jury attribuant "la Table d'or" de la saison.

• La fête aux ALTOS !!! Ce sympathique pupitre fut sur la sellette lors de la soirée. Dans le "discours" de Florent sur le bilan annuel ce sujet est récurrent. Les altos sont timorées, timides, ne s'affirment pas, se cachent derrière leur voisine ou derrière l'architecture locale, n'exploitent pas leur potentiel, etc... Assez!!! Révoltez-vous les Altos !!! Vous n'avez rien à envier aux Sopranos et à leur voix si haut perchée, leur assurance, leur prestance. Sans vous : pas de chorale!!! L'année 2015/2016 sera VOTRE année.  Votre slogan 2016 "Yes we can !!! Une oreille indiscrète a même entendu que certaines altos lors de matchs au stade Malherbe, pouvaient "se lâcher grave!!!"
• L'échauffement vocal fut un autre thème de discussion. Coach Annie se propose d'essayer une prise en responsabilité de cette activité essentielle de la préparation au chant et qui ne passent pas seulement par la voix mais aussi par la posture du corps, la respiration...
• La répétition avant le concert, autre sujet de réflexion abordé. Florent d'accord mais demande la présence de tous impliquant d'arriver beaucoup plus tôt sur place.
• Florent revint sur l'année écoulée qui reste largement positive, présence de nouveaux choristes, 250 disques vendus, la cotisation 2015/2016 restera au même prix et à ce propos Florent expliqua le mode de fonctionnement financier de Méli-Mélo où les cotisations annuelles constituent son salaire tandis que les recettes des cd, des concerts reviennent à l'association,  une dizaine de concerts même si le dernier ne fut pas le meilleur, un répertoire qui se renouvelle, un nouveau cd en 2016 ou 2017, un hommage appuyé au site internet de Méli-Mélo qui apporte un réel + à la vie de la chorale (merci pour votre approbation), la prochaine rentrée sera le lundi 7 Septembre (concert à Sallen le 19)
• La soirée se terminant en chansons et un Giovani Liete "sans partoche"
• NB :Les photos pour être sur le site doivent au moins "peser" 300 ko/photo  pour être visible plein écran (dossier sur le concert de St Patrice ajouté dans l'album-photos )  et Corinne revieeeeeens!!! l'an prochain comment veux-tu que les Altos tiennent leur pari si tu les prives de ta présence (un train sans locomotive ne va pas bien loin...)

Bonnes Vacances

(N'hésitez pas à me signaler les fautes d'orthographe car si moi j'en trouve à chaque relecture j'imagine qu'il en est de même pour vous ex : Corinne revient reviens)

Bonjour à tous

La saison 2014-2015 se termine et a passé si vite. Revenons un instant en arrière.

Le 26/06/2014 naissait le site internet Méli-Mélo. Issu d'un milieu mono-parental, son papa qui l'a conçu dans son coin, trouva très vite le soutien bienveillant d'un tuteur de renom et chef incontesté de la grande famille Méli-Mélo, Florent. Ils décidèrent de le présenter à tous en septembre lors de la 1° réunion de l'année. Le petit fut bien accueilli avec tout de même une certaine distance pendant le 1° mois (le Normand distant et froid au départ devient charmant et chaleureux dès qu'il vous connait un peu mieux). Il faut dire qu'il arrivait sans qu'on leur ai demandé leur avis. Mais au fil des mois de plus en plus de membres venaient le visiter surtout dès qu'il se mit à écrire (eh oui!! Il fut très précoce) toutes les semaines et à rapporter les événements familiaux.

Il a écrit 34 articles, reçu environ 2200 visites, depuis Noël il écoute en boucle le CD que les membres de la famille ont enregistré pour les 20 ans de la naissance du clan. Il y a eu des hauts et des bas, il s'est même accroché avec des cousins choristes qui avaient promis de venir jouer avec lui à St Jean et qui ont annulé au dernier moment. Il s'est inquiété en avril pour son "tonton" Michel, grand reporter, aventurier, célèbre ténor parti au Népal et surpris par un terrible tremblement de terre mais tellement heureux de son retour surtout que celui-ci lui a ramené plein de cadeaux ( reportages, traduction, vidéo locale....) et qu'il a organisé avec d'autres un concert pour soutenir ce pays dévasté.

Il tient à remercier The big chef de  Méli-Mélo pour son bon caractère et sa prise de recul face aux taquineries distillées au fil des articles de son petit journal. Il faut dire que l'humour plane souvent sur ses propos et fonce sur des cibles variées telles, les sopranos, les altos, les ténors, les basses, le chef, la femme du chef etc.. et il y prend beaucoup de plaisir, le bougre, le  mardi matin, à écrire ses articles (le must ayant été la soirée où la punaise s'invita!!! Un télé-film est à l'étude)

Mais il est temps de partir, les grandes vacances arrivent. Il espère retrouver tout le monde à la rentrée en septembre avec beaucoup de nouveaux membres qui viendront poursuivre l'aventure et partager la joie de vie de la grande famille Méli-Mélo.

• Compte-rendu du dernier concert

Belle soirée et superbe initiative d'avoir organisé cette réunion pour aider le peuple népalais. Tous les ingrédients étaient réunis, beau temps, cadre magnifique, nombreux spectateurs, deux chorales fournies, deux "sérieux" chefs de choeurs  qui ne se prennent pas au sérieux et une recette conséquente autour de 1500€  (rectificatif de dernière minute: 2000€)

Un grand merci aux organisateurs et à nos hôtes d'un soir, l'acoustique de l'église St Patrice est vraiment exceptionnelle avec des chants d'inspiration "classique" un parfum de spiritualité plane sur le lieu et le frisson est à fleur de peau. Très belle prestation de la chorale Aïdéo avec d'originaux chants de 15 secondes ponctuant les morceaux plus longs et encore bravo pour l'absence de partition. Certes Méli-Mélo aurait pu mieux faire, certains chants eurent un départ ou une fin écorchés, un Peter Gun un peu faussé mais quelle puissance vocale, les applaudissements ambiants et les rappels fournis.en sont la preuve.

• Un article pour  Méli Mélo ! de Michel Jourdan

Voilà la commande que me passait il y a quelques semaines notre webmaster !

Je me retrouvai ce 22 juin, face à mon écran blanc avec l’angoisse de ne pas trouver les idées, les mots ou les photos pour l’illustrer !

Bon alors, comment prendre les choses ?

La pression montait fort chez moi d’autant plus que le dernier article du blog paraissait le 21 juin, daté du lendemain et annonçait déjà l’écriture de mon article qui était prénommé : « EN ATTENTE »

Bon en ce lendemain du premier jour de l’été où je me sentais comme la météo « pluvieux », je pris mon clavier à 4 doigts (eh oui c’est ma façon de frapper les touches !!!). Je prenais alors le parti de ne pas parler des tremblements de terre des 25 avril et 12 mai dont de nombreux habitants étaient et sont encore les victimes. C’était l’objet de la soirée du 19 juin à l’église Saint PATRICE de BAYEUX, dans le cadre d'un concert de soutien avec la chorale AIDEO, que Roger décrit avec justesse par des mots qui m’amènent une certaine. émotion. (Eh oui le ténor est sensible derrière sa douce voix qui se transporte dans tous les espaces !)

En fait , je retrouvai mon idée initiale qui était déjà présente dans mon esprit lorsque je partais au Népal : vous raconter et vous faire partager le voyage d’un disque de Méli Mélo de Tilly sur Seulles à Kathmandou.

Bien sûr cette histoire parle de « RESHAM PHIRIRI » ce chant qui a tant fait souffrir nos amies soprane et alto au niveau de la prononciation des paroles. Ce fut et c’est toujours plus cool pour nous les hommes !

L’histoire de « RESHAM PHIRIRI » avec Méli Mélo démarre en 2009, lors de notre premier voyage au Népal.

Nous nous rendions alors pour l’Association « L’Arche de Dolanji qui soutient deux écoles au Népal à Dorpathan village situé près de la région du Dolpo ! La rencontre avec les Népalais s’était déjà réalisée à POKHARA et durant plusieurs jours où nous préparions ce périple qui devait se faire en 4X4,, à cheval et à pied ! Les quelques soirées préalables au départ vers le village nous permettaient d’échanger autant que faire se peut avec nos amis de là-bas. Notre totale méconnaissance de la langue népalaise, nos limites en anglais, nous amenaient en fin de repas à chanter ensemble ! Nous partagions tour à tour avec Tsering, Lakpa, nos hôtes, Norbou, leur ami nos chants traditionnels. Nous leur chantions en canon : « la cloche du vieux manoir » (nous n’avons aucun enregistrement…dommage nous aurions fait le buzz !), nous leur apprenions « frère Jacques », « la bataille de Reschoffen » et autres diverses productions restées dans nos têtes ! Ils nous chantaient aussi des chants de leur enfance que nous essayions de reprendre avec eux avec un accent qui les faisait beaucoup rire. Bizarre non ?

 C’est à Dorpathan où Carole et moi faisions la connaissance de Tsering Palzon notre petite filleule alors âgée de 6 ans ! C’est quelques jours plus tard que, repartant de Dorpathan, Norbou, un de nos guides, marchant à nos côtés sur un chemin de montagne entonnait avec une voix douce en décalage avec son gabarit le tube népalais qu’est « Resham Phiriri » Nous étions sous le charme de ce chant porté par cette voix et nous le reprenions avec lui enfin juste les paroles du refrain, tout comme les hommes de Méli Mélo aujourd’hui !!!

A mon retour en France, je demandais donc à Florent, notre chef  s’il pensait possible d’arranger et d’adapter ce chant pour Méli Mélo. Il me donnait une réponse favorable qui me remplissait de joie ! Je me disais alors que peut-être un jour nous pourrions chanter « Resham Phiriri » dans un concert dédié au Népal. Ce fut, après les moments difficiles d’apprentissage de ces mots et de ces phrases , un grand plaisir que de chanter avec Méli Mélo « Resham Phiriri » en public lors d’un concert organisé à  VERSON par notre ami Martial pour la fête du jumelage. Une petite vidéo de notre production prise ce jour partira quelques semaines plus tard au Népal dans les valises de nos amis Edith et Michel. Tsering, Lakpa, Yangchen, nos amis népalais prirent alors beaucoup de plaisir à nous écouter et nous voir chanter ce chant traditionnel de leur pays !

En 2014 , nous enregistrions « RESHAM PHIRIRI » dans le CD de nos 20 ans , enfin ceux de Méli Mélo ! Germait en moi l’idée de pouvoir amener ce disque au Népal en 2015 et de l’offrir à quelqu’un la-bas ! C’est donc le 30 avril de cette année quelques jours après le tremblement de terre que notre CD, désormais international  trouvait sa destinataire. J’avais décidé de le donner à notre filleule, Tsering Palzom lors de notre visite prévue à « l’Hymalayan Children Foundation » où elle vit pour pouvoir se rendre à l’école chaque jour à Kathmandou.

Mieux que des mots, je partage avec vous tous ces quelques photos qui témoignent de ce moment particulier où par le biais de notre CD, une chanson a fait un voyage aller-retour dans le monde entre le Népal et la France, entre Dorpathan au DOLPO et Tilly sur Seulles dans le CALVADOS ;

Etonnant, émouvant, simple et beau !

Voilà la petite histoire d’une chanson collectivement partagée avec tous les choristes de Méli- Mélo.

Un grand merci à Florent qui a accepté de la faire vivre chez nous, avec nous! Elle restera en résonnance dans nos têtes et sera un peu notre hymne comme elle l’a déjà été lors des concerts réguliers auxquels nous avons participé et auxquels nous participerons peut-être dans l’avenir,(si vous êtes toujours OK)  pour les deux associations dont je suis membre : « L’Arche de Dolanji » et « Du Bessin au Népal » !

Bon été à chacune et chacun !

 Michel

• Traduction française de la version anglaise de Resham Phiriri

Chanson populaire traditionnelle népalaise

Refrain

Resham Firiri, Resham Firiri

Mon cœur bat comme la soie dans le vent

Je ne peux choisir entre voler ou rester assis sur la colline

 1° Couplet

 Un fusil à un canon, à deux canons avaient pour cible une biche

Je n'ai pas visé la biche mais ma bien-aimée

2° Couplet

 Le chien aboie, le chat miaule

Notre amour attend à la croisée des chemins

3° Couplet

 Le tout petit veau est en danger au bord du précipice

Je ne pouvais le laisser là-bas, allons-y ensemble, mon amour

4° Couplet

Le millet est prévu, le maïs est planté mais pas le riz

Arrête de me suivre petite fille, parce que je ne t'aime pas

(Bon ben une histoire qui se termine en "eau de boudin" !!)

• Pèle-Mèle 

Bon anniversaire ce 18 juin à notre toujours jeune choriste Maurice qui a mon "appel" accepte un interview exceptionnel en 2016 pour son passage à une prochaine décennie.

Un nouvel aficionado de Méli-Mélo va voir le jour cet été, félicitations aux parents d'avoir fait profiter bébé de la douce ambiance musicale du lundi soir gage d'un enfant sain et bien équilibré en effet la chorale Méli-Mélo devrait être subventionnée par la Sécurité Sociale pour son action préventive et curative qu'elle procure à ses membres. 

Bonnes vacances à tous(tes) et rdv à la rentrée de septembre avec déjà un programme de concerts bien fourni.

Bonjour à tous,

La semaine dernière nous avions cru vivre une soirée exceptionnelle (cf article du 8/06) et ce lundi dans une ambiance surchauffée avec un nombre appréciable de choristes, "bis répétitas","rebelote" LE CHEF piqué au vif ou ne voulant pas laissé s'installer la routine, si redoutée, décida de ne pas faire d'échauffement vocal et attaqua directement la répétition du concert de vendredi prochain à un rythme d'enfer. La température ambiante et corporelle monta, monta, monta.....(pour les inscriptions de la prochaine rentrée un certificat médical serait peut-être indispensable et la mise en place d'une antenne médicale avancée).

• Quand mon mary : Bien saccader et cadencer le chant ; Tête en l'air : Ok 
• Resham Phiriri : "Du rififi au pays de Resham Phiriri" (dixit Luc) où chaque pupitre eu droit à sa mise au point.
• Tout va très bien... : Des é, des o, des a clairs et précis ; Giovani Liete et Prepare ye où tout le talent des basses peut s'exprimer passant de la force virile et innée à l'extrême sensibilité, douceur, délicatesse qu'ils sont capables de dégager.
• La Nuit : Seul chant du programme laissant un peu de répit avant d'attaquer Sicut erat et le Show must go on final
• Peter gun et Méli-Mélo pour les éventuels rappels et rajouter  "Più non si trovano" pour un éventuel chant commun.

Après la révision du programme le dernier chant étudié fut "How high the moon"que nous terminerons à la rentrée.

Bouquet final de la soirée

Florent a décidé une répétition de l'entrée des choristes sur scène de façon méthodique, rationnelle, ordonnée. En effet il est beaucoup plus harmonieux de voir arriver les participants en ordre plutôt qu'un troupeau épars et brouillon. Facile à faire sur le principe mais beaucoup plus difficile à mettre en oeuvre. Voici les principes définis :

1. Les petits devant, les grands derrières
2. En arc de cercle ouvert (environ 120°) face au chef et non pas en fer à cheval
3. Les hommes au centre (3-2-3) les basses à main droite du chef, les ténors à main gauche
4. Les femmes sur le côtés : Les altos à côté des basses (6-7-6) : Les sopranos à côté des ténors (6-7-6-7)
5. Entrée en scène : Le 1° rang entre en premier (Sopranos - Ténors - Basses - Altos) suivi du 2° rang etc...
6. Sortie de scène  : Le dernier rang sort en premier (Altos - Basses -Ténors -Sopranos) suivi de l'avant dernier rang etc...
7. Les rangs doivent être bien aérés afin de pouvoir ouvrir son livret aisément.

Concert de vendredi 19/06 rdv à 20:00 / 20:15 en l'église St Patrice de Bayeux (près de la place du marché) Florent n'ayant pas eu d'autres précisions à priori Méli-Mélo débutera le concert  (tenue moire exigée et pochette de chant rouge)

En avant première et en exclusivité mondiale avant l'article principal de notre talentueux ténor, Michel peaufinant son écriture (recherche de la perfection à l'image de ses prestations vocales!!) qui sera publié dans le dernier blog de la saison, voici quelques souvenirs ramenés par notre jeune "reporter".

Une vidéo de Resham Firiri made in Népal filmée par Michel est disponible dans notre catalogue.

La version anglaise de Resham Firiri ,la version française est en cours de traduction.

NB : Repas de clôture de la saison ce 22 juin à partir de 19:30

A la semaine prochaine

Bonjour à tous,

La répétition de ce lundi fut exceptionnelle et tant pis pour les nombreuses sopranos absentes, compensées par un pupitre d'altos fourni (mais une alto = une soprano? That is the question aurait dit notre ami William). Mais pourquoi exceptionnelle ??? La soirée débuta par l'incontournable rituel de l'échauffement vocal, aux vocalises immuables,immortelles, transcendantes  : "laaaaaaaaaaaaaa, looooooooooo, j'ai un boa dans mon bois jamais vu çaaaaaaaaaaaaaaa, il fait beau il fait chaud"  etc........Touché par la Grâce et après vingt et un ans (anniversaire de Méli-Mélo) de recherches, de réflexion, notre excellentissime chef de chœur, Florent, afin de casser cette pesante routine, a créé ces nouvelles paroles "Au mois d'août il fait doux" A voir les mines réjouies, les sourires de tous(tes) il avait réussi son coup, le bougre, réveillé les sens de chacun(es) désormais à l'affût de toutes nouveautés à venir. En effet cet instant capital pour notre voix devenait de plus en plus machinal, automatique pendant l'exercice notre esprit pouvait s'évader et se  consacrer à compter les mouches, à détailler untel ou unetelle, à penser à sa liste de courses surtout chez nos sopranos ou altos car chacun sait que les hommes ne savent pas faire plusieurs choses en même temps!!!

Assez plaisanté mais va-t-il falloir attendre 2036 pour une prochaine innovation ?? Personnellement je ne le pense pas, commençant à connaître un peu mieux le Maître et grâce à sa rapidité d'esprit, sa soif de création, sa passion pour l'art vocal nous pouvons espérer de nouvelles paroles dans la prochaine décennie.

• Les chants revus cette semaine furent : "How high the moon" (poursuite de l'apprentissage avec ses onomatopées) "la Cucaracha" (toujours pas au prochain programme) "Giovani Liete" "Tout va très bien" ( des "a" clairs svp )"Sicut Erat" (on a connu mieux!!) "The show must" pour terminer.

• Le programme du concert du 19/06 en faveur du Népal est le suivant : Quand mon mary, Tête en l'air, Resham Phiriri, Tout va très bien Mme la marquise, Giovani Liete, Prepare ye, La Nuit, Sicut erat, The Show must go on, Peter Gun, Méli-Mélo . (Les deux derniers chants en cas de rappel) (Tenue noire et pochette de chants rouge). Le concert débutera à 20:30 les choristes sont invités à être présents dès 20:00 en l'église St Patrice de Bayeux (près de la place Gauquelin Despaillières) La semaine prochaine nous en saurons plus sur le plan organisationnel entre les deux chorales ( Quelle chorale commence? - Chant commun?...)

Dans le prochain blog, en exclusivité dans le petit journal de Méli-Mélo : Grand reportage sur le Népal par notre envoyé spécial  l'éminent ténor à la voix d'or, Michel Jourdan qui nous a ramené des sources concernant directement notre chorale.

• Paragraphe Humour : (ChapitreV) et fin...

...Les TENORS

Des "enfants gâtés". Avec cela on a tout dit. Pour une seule raison: il n'y en a jamais assez, et les chefs de choeurs vendraient leur âme plutôt que de laisser partir un ténor médiocre... alors qu'ils seraient toujours prêts à se défaire de quelques altos à moindre prix. 

Et puis, pour quelques obscures raisons, les quelques ténors que l'on a sont toujours réellement bons - ça va de soi et c'est l'une des causes d'ennui dans la vie. Du coup, il n'est pas étonnant que les ténors aient toujours une grosse tête - après tout, sans eux, qui pourrait causer la pâmoison des sopranos ? La seule chose qui puisse déstabiliser les ténors est l'accusation (venant en principe des basses) que l'on ne peut pas être un vrai homme et chanter si haut. De leur manière perverse habituelle, les ténors rejettent toujours ce grief, tout en se plaignant plus fort encore que le compositeur est un vrai sadique pour les faire chanter si haut.

La relation des ténors avec le chef est à mi-chemin entre amour et haine, car le chef leur dit toujours de chanter plus fort... parce qu'ils sont si peu nombreux. Depuis que l'on écrit l'histoire, on n'a jamais vu un chef demander aux ténors de chanter moins fort dans un passage forte. Les ténors se sentent menacés d'une manière ou d'une autre par les autres pupitres - par les sopranos, parce qu'elles peuvent atteindre ces notes incroyablement hautes ; par les altos, parce qu'elles n'ont aucun problème pour chanter les notes qui sont si hautes pour eux ; et par les basses parce que, bien qu'ils soient incapables de chanter plus haut qu'un mi, ils chantent suffisamment fort pour noyer les ténors. Évidemment, les ténors préféreraient mourir que d'admettre une quelconque de ces remarques. Ajoutons un fait peu connu : les ténors bougent leurs sourcils plus que quiconque lorsqu'ils chantent.

 ...Les BASSES

Ils chantent les notes les plus graves. Et ceci explique cela. Ce sont des gens impassibles, dignes de confiance, plus barbus que les autres. Les basses se sentent perpétuellement mal aimés, mais ils sont eux-mêmes convaincus que ce sont eux qui ont la partie la plus importante (un avis partagé par les musicologues, mais certes pas par les sopranos ou les ténors)... même s'il s'agit de la partie la plus ennuyeuse de toutes, où ils chantent toujours la même note (ou à la quinte) pour une page entière. Ils compensent cet ennui en chantant le plus fort possible - la plupart des basses sont des joueurs de tuba nés.

Les basses sont le seul pupitre qui puisse se plaindre régulièrement d'avoir à chanter si bas, et ils font d'horribles grimaces lorsqu'ils essaient d'atteindre des notes très basses. Les basses sont des gens charitables, mais leur charité n'est pas grande à l'égard des ténors, qu'ils considèrent être des poseurs finis. L'une des choses les pires pour les basses, c'est de chanter avec des ténors. Les basses aiment les altos sauf lorsque c'est en duo et que les altos ont la partie belle. Quant aux sopranos, elles sont simplement dans un univers opposé que les basses jugent incompréhensible. Ils ne peuvent pas imaginer, quand elles font des fautes, que l'on puisse chanter si haut et si mal. Lorsqu'une basse se trompe, les trois autres voix le couvrent, il peut alors poursuivre tranquillement son chemin en sachant que, une fois ou l'autre, d'une manière ou d'une autre, il se retrouvera dans la bonne tonalité.

A la semaine prochaine.........

Bonjour, heureux de revoir notre ami Michel de retour du Népal et en pleine forme. Notre prochain concert en soutien à ce pays dévasté par un tremblement de terre sera organisé le vendredi 19 juin prochain en l'église St Patrice de Bayeux à 20:30 avec la participation de la chorale Aïdéo d'Hérouville (cf affiche çi-dessus)

• Les dates des concerts de la rentrée sont inscrites dans l'agenda du site (Sallen - Cahagnes - HSC La fonderie (déplacé au 10/10) - Fontenay le Pesnel).
• La dernière réunion de la saison avec son repas sera le lundi 22/06/2015 dans notre salle habituelle.
• Beaucoup de monde ce lundi soir pour notre répétition qui après l'échauffement habituel débuta par "Quand mon mary"(ok); "Tête en l'air"(ok); Tout va très bien Mme la Marquise" (quelques mises au point);  "how high the moon" (poursuite de l'apprentissage); "Sicut erat" (perfectible); "La nuit" (correcte); et pour terminer "Show must go on" (à peaufiner)
• Une vidéo de "Sicut erat" a été ajoutée dans notre catalogue, dénichée par Michel Devaux (Basse) par contre il y a tout le morceau et il faut aller à 5'50'' pour voir l'extrait étudié par Méli-Mélo. Le tempo est encore plus rapiiiiiiiiiiiiiiiiiide que le nôtre.

Les concerts dans les églises (Mr le Curé  est le seul "maître à bord")

Églises communales

Les églises construites avant 1905 sont propriétés de la commune (propriétés de l'État pour les cathédrales).

En application de la loi du 9 décembre 1905, dite de séparation de l'Église et de l'État, ces églises sont affectées au culte : le curé nommé par l'évêque en est affectataire, c'est à dire que lui et les fidèles en jouissent de plein droit, gratuitement, exclusivement et perpétuellement, sauf désaffectation. Ce droit est beaucoup plus fort que celui qui résulterait d'un contrat de location.

Certaines communes connaissant mal cette réalité juridique et surtout lorsqu'elles font des investissements pour maintenir en bon état cet élément de leur patrimoine, voudraient y organiser des activités sociales et culturelles diverses.

L'affectataire a toute liberté pour refuser ces activités, mais il doit aussi avoir le souci de maintenir de bonnes relations avec la commune et de gérer le patrimoine en vue du bien commun et de la convivialité locale.

Paragraphe Humour : (Chapitre IV)

Les quatre voix et le c(h)oeur...         

Dans tout chœur, il y a quatre registres vocaux : soprano, alto, ténor et basse. Eux-mêmes sont parfois divisés en deux, ce qui conduit à des plaisanteries continuelles au sujet des premières et deuxièmes basses. On entend aussi d'autres appellations, comme baryton, contre-ténor, contralto, mezzo-soprano, etc., mais elles sont plutôt réservées aux solistes ou aux membres de groupes classiques a capella de niveau exceptionnel (en particulier pour les contre-ténors). On les utilise aussi pour celles et ceux qui veulent s'excuser de ne pas appartenir vraiment à l'un des registres habituels... On n'en parlera donc pas ici.

Chaque registre chante dans une tessiture différente, et chacun a sa propre personnalité. On peut se demander pourquoi le fait de chanter des notes différentes peut modifier le comportement. Il est vrai que cette question mystérieuse n'a pas encore fait l'objet d'études appropriées ; cela s'explique par le fait que les scientifiques qui étudient les musiciens sont probablement musiciens eux-mêmes, avec tous les complexes associés aux ténors, cornistes, timbaliers ou autres. Mais tel n'est pas notre propos. Il reste que les quatre registres peuvent facilement être reconnus... et voici comment.

...Les SOPRANOS

 Celles qui chantent le plus haut, ce qui leur fait croire qu'elles dominent le monde. Elles ont des cheveux longs, des bijoux fantaisie, et des jupes plus froufroutantes que les autres. Elles se considèrent bafouées si on ne leur permet pas de monter au moins au fa "d'en haut" dans n'importe quel mouvement de n'importe quelle œuvre. Lorsqu'elles y arrivent, elles tiennent les notes au moins une fois et demie la durée requise par le compositeur et/ou le chef, puis elles se plaignent que ça tue leur voix et que le compositeur et le chef sont des sadiques.

Bien qu'elles considèrent tous les autres registres comme inférieurs au leur, elles ont des attitudes variées à l'égard de chacun d'eux. Les altos sont aux sopranos ce que les seconds violons sont aux premiers violons - c'est agréable harmonieusement, mais pas vraiment nécessaire. Toute soprano pense intimement que l'on pourrait supprimer les altos sans changer l'essence même de l'œuvre, et elles ne comprennent pas pourquoi il y a des gens pour chanter dans cette tessiture - c'est si ennuyeux.

En ce qui concerne les ténors, on aime bien en voir autour de soi ; en plus des possibilités de flirt (car il est bien connu que les sopranos ne flirtent jamais avec les basses), les sopranos aiment chanter les duos avec les ténors parce que, du haut de leur stratosphère, elles aiment les voir travailler durement pour arriver dans une tessiture qu'elles considèrent basse à moyenne.

Quant aux basses, ce sont les rejets de l'humanité - ils chantent beaucoup trop fort, et toujours faux (comment peut-on chanter juste dans une tessiture si basse), et de toute façon, il doit y avoir un problème avec ces gens qui chantent en clé de fa. Pourtant, bien qu'elles se pâment à l'écoute des ténors, elles finissent quand même par rentrer à la maison avec les basses.

...Les ALTOS

Elles sont le sel du monde, du moins le croient-elles. Ce sont des personnes simples, qui porteraient des jeans au concert si on les y autorisait. La position des altos est unique dans le chœur: elles ne peuvent jamais se plaindre d'avoir à chanter trop haut ou trop bas, et elles n'ignorent pas que tous les autres pupitres trouvent la partie d'alto pitoyablement facile. Mais les altos savent qu'il n'en est rien et que, lorsque les sopranos s'égosillent sur un la, elles doivent chanter des passages compliqués, pleins de dièses et de bémols, avec des rythmes impossibles, ce que personne ne remarque parce que les sopranos chantent trop fort (ainsi que les basses, comme d'habitude).

Les altos se font un malin et secret plaisir à conspirer pour faire baisser les sopranos.

Elles ont une méfiance innée à l'égard des ténors, car ils chantent presque dans la même tessiture qu'elles, mais ils croient avouer un meilleur son.

Les altos aiment les basses et elles chantent volontiers en duo avec eux - de toute façon, le chant des basses ne sonne que dans le grondement, et c'est le seul moment où elles ont vraiment une chance de se faire entendre. A suivre...

A la semaine prochaine.....

Bonjour à tous,

• Le concert du 30 Mai est définitivement annulé. Reporté au printemps 2016, une commune de substitution avait été trouvée pour ce 30/05 mais  Mr le Curé dudit lieu a déclaré "persona non grata" les chorales dans  SON église. Que Dieu bénisse cet homme de tolèrance et d'ouverture.
• Ce lundi la répétition débute par "Tête en l'air" (un petit habituel 1/2 ton baissier à la fin) ; "How high the moon" (la 1° partie du chant est étudiée) ; "La Cucaracha" (version plus lente) ; " Sicut erat" (version plus rapide) apportant de la tonicité et une liaison facilitée entre chaque pupitre ; "Prepare ye" ( bon, d'accord, les Basses ne vous ont pas encore transporté au Far-West (cf blog dernier)  mais nous en prenons la direction)

Rappel de Solfège : SILENCE !!

Dans le solfège, un silence est un moment pendant lequel n'est émis aucun son, il correspond à une pause dans l'exécution du morceau.

Comme pour les notes de musique, chaque durée de silence a son symbole :

Silence	Note équivalente
bâton de pause	carrée
pause	ronde
demi-pause	blanche
soupir	noire
demi-soupir	croche
quart de soupir	double-croche
huitième de soupir	triple-croche
seizième de soupir	quatruple-croche
trente-deuxième de soupir	quintuple-croche

Paragraphe Humour : (Chapitre III)

Le bon président
Un homme (ou une femme) qui connaît bien le fonctionnement de la chorale pour l’avoir pratiquée pendant de nombreuses années, il est expérimenté, compétent et respectable. Il a une bonne présentation.
Les chevelus en jogging avec percing à la narine ont peu de chance d’hériter de la fonction. Il sait écouter ses interlocuteurs, entendre leurs doléances, analyser les problèmes, définir les objectifs, planifier les actions et en fin de compte mener à bien ses projets personnels en ne tenant compte de l’avis de personne.
Donc le président doit être entêté. Cependant un obstacle subsiste, le chef de chœur ! Et c’est bien là le drame du président car il doit savoir humblement s’effacer devant le maestro au moment de recueillir les fleurs du succès car, malgré ses responsabilités, le président ne tient pas la baguette ! Cependant le président saura se rattraper et briller en particulier quand il fera des discours. Mais que serait une chorale sans ce fameux …

Chef de chœur
Le chef de chœur rayonne sur ses ouailles, se pavane parmi sa cour. Caractériel, il (elle) s’enflamme volontiers au moindre couac, devient tout rouge et pique des colères noires. Mais c’est pour le bien de la collectivité.
Capricieux, il change souvent d’avis. Il est quelquefois bizarre mais c’est un artiste. Qu’il soit devenu chef par vocation, par un concours de circonstances ou par le plus grand des hasards, qu’il soit chanteur sur le déclin ou jeune prof de musique, qu’il soit bénévole ou rémunéré, il est avant tout un être travailleur, un utopiste ambitieux et surtout un homme(femme) extrêmement patient. Pour accomplir sa tâche il doit avoir un moral très solide. Parmi ses nombreuses responsabilités, nous citerons en vrac, le recrutement des choristes, le choix du répertoire, l’élaboration d’une saison équilibrée, l’organisation des répétitions, l’animation du groupe. Il doit être un bon communicateur.

Bref un vrai chef de chœur est tout cela à la fois : sélectionneur, entraîneur, soigneur, éducateur, psychologue, psychiatre… Et, en plus, il doit être MUSICIEN. Alors qu’on l’aime ou qu’on ne le supporte pas, qu’il soit respectueux ou insultant, sympa ou mal embouché, qu’il suggère la musique ou que l’on ne comprenne rien à sa battue, le chef est le chef, il faut lui obéir : un point c’est tout !

Ps : Il faut bien avouer que le nôtre est particulièrement sympa et cool ne l'empêchant pas d'être sérieux et rigoureux dans son travail, de nous emmener  tous(tes) là où il veut aller dans une ambiance chaleureuse et appréciée. Merci encore...

Pas de répétition lundi prochain (Pentecôte) et rendez-vous le 1° juin

Bonjour à tous,

• Attention : Le concert du 30/05/2015 n'est pas validé pour cause d'organisation. Soit la date sera gardée mais dans une autre commune soit la représentation se fera à St Martin d'Aubigny mais en 2016 et surtout avec 30% de chants sacrés sinon Dieu ne nous le pardonnerait pas (enfin surtout Mr le curé du lieu). Plus d'informations à venir, lundi prochain.
• Ce lundi soir, grosse affluence de sopranos et quelques nouvelles personnes venues participer ou écouter. Après le traditionnel échauffement la répétition commence par :

- "Quand mon mary" : Sans problème.

- "Tout va très bien Mme la Marquise" adopter un ton théâtral.

- "La cucaracha" le contrôle technique imposé,  après la prestation "maracasienne" de la semaine dernière n'est pas terminé mais la version simple de ce soir peut être validée très prochainement.

- "How high the moon" poursuite de l'apprentissage de ce nouveau chant (jazz) avec une partie du chant à l'unisson entre les altos et les hommes.

- "La Nuit" bien insister sur  les nuances.

- "Prepare ye" : Un gospel que le shérif Florent   perçoit d'une façon"western". Aussi l'entame du chant par les basses doit se faire de manière très douce sans variation de ton, s'imaginant chevauchant d'un pas lent et monotone dans les hautes plaines américaines où leur virilité innée ne s'affirme que par leur timbre vocal. Fermez les yeux la prochaine fois, écoutez vos amis les basses et vous serez transportés dans le Grand Canyon en 5 secondes chrono (Magique les Basses!!!) 

- "Sicut Erat" : Magnifique à condition d'avoir une entame à la hauteur et de ne pas baisser de ton. Des "a" et "é" hauts et clairs, bouche ouverte et levez la tête  vous verrez sans doute les anges applaudir relayés par Mr le curé!!!

Définition : L'expression jouer ou chanter à l'unisson se dit quand plusieurs pupitres d'un orchestre ou d'un chœur exécutent simultanément une mélodie identique, même si elle est entendue sur une ou plusieurs octaves. Par exemple, le début du premier thème du premier mouvement de la Symphonie n°9 de Beethoven est joué à l'unisson par tout l'orchestre et sur cinq octaves.

LOGO  

Un logo pour Méli-Mélo? Pouvant se retrouver imprimer sur différents supports.Quelques exemples dans la rubrique "Album" et "Logos"et si vous avez des idées n'hésitez pas à les soumettre.

Paragraphe Humour : (Chapitre II)

Celui qui a «de la voix»
Pour obtenir une sonorité harmonieuse il est nécessaire d’homogénéiser le timbre des pupitres. Les voix les plus timbrées se voient sommées de rentrer dans le rang. Alors malheur à celui qui possède un bel organe. Celui qui a de la voix sera souvent prié… de se taire.

Le sensible

Un moindre pianissimo l’émeut, il aime la musique et souvent elle le bouleverse. Il a souvent la larme à l’œil  et au premier problème relationnel, il en perd le sommeil et fond de cinq kilos. Il souffre en silence mais la musique finit par le consoler de tous ses maux.

Le râleur

Il n’est jamais content, n’aime pas le programme, trouve que l’on apprend trop vite ou trop lentement, que le calendrier est trop chargé ou trop maigre.. De toute façon la tenue de concert est ridicule et il ne supporte pas la façon de travailler du chef…. Il se demande ce qu’il fait là. Les autres se posent la même question !

Celui qui rechigne à chanter en étranger
Il veut bien chanter n’importe quoi, mais surtout pas en étranger. Il a l’oreille musicale, mais pas la mémoire des sons. Sa prononciation est laborieuse, et maladroite. Il bute sur chaque mot. C’est une souffrance pour lui et pour ses voisins.

L’enseignant
Il commet parfois l’exploit de maîtriser les rudiments du solfège. De plus il est souvent ouvert aux attentes du chef. C’est un élément fort appréciable pour une chorale. Bien qu’ayant appris, à l’IUFM, à placer efficacement son larynx afin d’éviter l’extinction, lorsqu’il chante, l’enseignant a beaucoup de mal à retrouver les bonnes sensations. Celui-là qui ne peut s’impliquer sensuellement, le fait…
pédagogiquement…

L’informaticien
Il rentre toutes ses partitions dans le programme de son ordinateur et les réécrit en plus gros. Car il travaille ses chants au bureau. Souvent il arrive à la répétition avec une autre version d’une œuvre, découverte par inadvertance sur internet. Il est alors tout fier d’exhiber sa trouvaille. Pour lui, la musique reste avant tout une discipline mathématique et le solfège un code binaire. Il ne communique d’ailleurs avec les autres choristes que par courrier électronique. Rien d’étonnant, alors, à ce que, parfois au beau milieu d’un chant, il bugue ! Et il y aurait encore le psychologue, le dragueur, l’étudiant fauché, le naïf, l’étourdi, celui qui a de l’ambition…le couple âgé, le juriste,

Tiens le juriste
Il ramène tout aux statuts de l’association et à la loi. Il intervient lors des assemblées générales pour remettre les responsables sur les rails dès lors que ces derniers s’en écarteraient un tantinet. Avec lui on ne peut pas dévier. Il est la garantie morale et l’assurance juridique de la chorale.

Et enfin très rare : le choriste normal
Celui-là n’affiche pas de tare particulière, il ne jalouse pas ses congénères, est né équilibré, n’a pas l’esprit tordu mais aime simplement chanter. Il n’a pas une voix extraordinaire, mais juste. Il possède quelques notions de solfège. Il a bon caractère, ne médit jamais. Il aime bien tous styles : classique, romantique, même la variété. Celui-là ne se fait pas remarquer, on l’oublierait presque, sinon aux concerts : car c’est lui qui assure le mieux. C’est le choriste idéal, le préféré du chef de chœur. Un cas … très rare 

Il y aurait encore l’inquiet, le cadre, l’agressif, le soliste et bien d’autres...

A suivre...

Bonjour à tous,

Ambiance chaude ce lundi soir dans la salle au propre comme au figuré. Chaleur moite, sol glissant et dangereux en fin de soirée (une soprano au sol) et échange doux-amer entre notre chef de chœur et notre réalisatrice de TV-Chouin  (humour!!)

Premier chant revu "Tout va très bien Madame la Marquise" reste un dernier coup de collier à donner par nos amies altos, suit "La Cucaracha" version sans maracas correcte mais non validée avec cet accompagnement instrumental quant à la version jonglée, chorégraphiée et costumée, elle ne nous a pas encore était proposée. Arrêt de la répétition pour Contrôle technique obligatoire avant toute représentation publique mais Florent va trouver, courage...

Poursuite par l'apprentissage d'un nouveau chant "How high the moon" standard de jazz interprété par Ella Fitzgérald entre autres,la prononciation de heaven et bien "héven et non hiven" comme l'a si bien dit Florent maîtrisant beaucoup mieux la langue de Shakespeare  que celle de Goethe puis "Lascia ch'io pianga" qui sera chanté en commun lors du prochain concert avec la chorale de Marigny, une révision pour la majorité des choristes mais un apprentissage pour de nombreux "nouveaux" pour lesquels il serait peut-être souhaitable de passer un petit peu plus de temps (il le vaut bien!!).

Les trois derniers chants revus furent "Sicut Erat" vivement l'interprétation dans un lieu adéquat, "Prepare ye..." et enfin "Peter gun" avec un tempo de basse(au complet ce soir) vif, rapide (à leur image!!). 

"How High the Moon"

Nouveau chant au programme de Méli-Mélo. Chanson écrite par Morgan Lewis (1906-1968) (musique) et Nancy Hamilton (1908- 1985)(paroles) en 1940. Interprétée par de nombreux chanteurs(euses) comme Ella Fitzgérald où  par Lola  Albright dans un épisode de Peter Gunn. C'est la chanson jouée par les Beatles quand ils se sont réunis pour la première fois.

Morgan Lewis était un compositeur et chorégraphe américain ayant collaboré à de nombreuses comédies musicales

Nancy Hamilton était une actrice américaine, dramaturge, parolière, productrice et réalisatrice.

Paragraphe : Humour (Chapitre I)

A l'instar de notre chant  "Méli-Mélo" voici une autre caricature où chacun pourra se reconnaître  et surtout reconnaître les autres et mettre un visage sous quelques descriptifs

ANTHOLOGIE DU PORTRAIT DE CHORISTE -

Caricature décrite par Jean BOUCHON, personnage partagé entre la musique et la littérature et Directeur de l'Académie de Musique de Nice depuis 1984.

Le sans gène:
Il a l’air de souffrir quand c’est un autre qui chante. C’est pour cela qu’il se bouche toujours une oreille.
Bruyant il parle haut, interpelle le chef. Chaque chorale a son sans-gêne, et elle doit faire avec…
Le paresseux:
C’est un homme doux, un rêveur qui s’est fourvoyé dans une chorale et ne sait pas comment s’en sortir, alors il reste. De pareils choristes ne sont pas dangereux. Ils donnent au public l’illusion du nombre.
Le touriste:
On le voit de temps à autre débarquer dans la salle de répétition. On ne sait pas trop s’il fait vraiment partie de l’équipe. Il ignore quasiment tout du répertoire mais cet authentique figurant sera présent le jour du concert pour faire du play back et c’est lui qui s’inclinera le plus bas, pour saluer….
Le sportif…
En répétition, campé sur ses pieds tel un haltérophile, il bombe bien le torse pour prendre sa respiration, se met en apnée avant d’attaquer les notes et devient tout rouge avant d’expulser le moindre son. Il chante de la gorge, tout en force.. : plus c’est fort, mieux c’est….
Le (rare) ténor:
Heureuse la chorale qui possède des ténors. Qu’ils soient bons ou mauvais, les ténors sont des êtres très chers. Quoi qu’il en soit, devant la pénurie, baptise-t-on volontiers «ténor» un malheureux baryton qui souffre le martyr dans les aigus, mais qui ne se plaint pas, fier qu’il est d’être un objet précieux…
Celui qui s’ennuie…
Consulte souvent sa montre. Il a toujours disséminé parmi ses partitions, quelques articles intéressants à reluquer, quelques revues ou à défaut quelque chose à manger…. Il bouge beaucoup sur place ou s’assoupit inopinément selon le cas. La plupart du temps il pense à autre chose, il observe les murs de la salle et il souffle beaucoup. Si c’est une dame, on peut la voir consulter ses messages sur son portable ou, entre deux soupirs, se limer les ongles…
Le donneur de conseil:
A force de l’écouter on finit par faire les mêmes erreurs que lui. C’est lui qui, généralement, offre généreusement son temps en faisant perdre le leur aux autres.
Le bavard:
Il a mis au point une technique lui permettant de chanter et de parler en même temps…
Le distrait:
Il est rarement à la bonne page… Son classeur est un fouillis indescriptible : les chants sont rangés dans n’importe quel ordre, on y trouve aussi bien la liste des commissions. Il rêve, oublie les départs et doit rattraper les autres en cours de route.
Le braillard:
Il chante plus fort que tout le monde dès lors qu’il croit savoir sa partie…. il n’a qu’un seul credo : fortissimo. Il est moins grave qu’une épidémie, mais fait beaucoup plus de bruit…
Celui qui a passé l’âge:
On l’a déjà éjecté de plusieurs chorales mais il insiste. Sa voix chevrote, il manque d’air… Ayant perdu une partie de son acuité auditive il avance au juger et improvise beaucoup.
La complexée:
Le plus difficile est pour elle est … de chanter ! Aussi a-t-elle une toute petite voix. Elle n’attaque jamais franchement les notes, surtout dans la nuance forte ; elle redoute les couacs… Celle-là peut chanter faux sans que cela dérange quiconque. Avec son demi-décibel elle est inaudible.
Le consciencieux:
Obsédé des annotations, celui-là note tout sur ses partitions. Il souligne, surligne, multiplie les ajouts, les couleurs, fait des renvois, des commentaires. Personne ne s’y retrouverait. Pas même lui.

A suivre...

Bonjour à tous,

Enfin de retour après cette longue interruption printanière!!

• Concert privé de Fontenay avec une trentaine de choristes et une belle proportion de basses. Une dizaine de chants interprétés dans une ambiance festive et dans une salle où le retour sonore ne pouvait pas rivaliser avec celui d'une église. Accueil chaleureux et remerciements personnalisés de notre hôte-choriste fêtant ses 60 ans et sa retraite, par une petite chanson valorisant cette belle formation qu'est Méli-Mélo 
• Ce lundi soir, un petit échauffement vocal et c'est parti avec au menu,mise en bouche "Tout va très bien Mme la Marquise" qui après la première représentation publique, samedi dernier, méritait une petite mise au point.
• En plat principal "une cucaracha" accompagnée de ses maracas maniées de mains de maître par notre performant Florent mais après une mise au point ponctuée de noms d'oiseaux" m...de, m...de!!! et surtout ne pas oublier de donner du rythme au chant.
• En dessert "Prepare ye..." avec une révision axée sur nos amis ténors.
• En pièce montée "Sicut érat" qui se peaufine, le plus dur étant les liaisons entre les pupitres. A noter le rôle important,primordial, essentiel des ténors dès le début du chant. Bien sûr si ce début est manqué tout le chant sera loupé, mais ne mettons pas la pression sur nos chers ténors qui sauront relever le défi.
• Pour terminer "Show must go on" le menu de la soirée étant peut-être trop copieux ce "Show must..." fut indigeste donc à revoir.

• Pub : Ce week-end marché de potiers à St Gabriel-Brécy avec le dimanche 3 mai dès 14:30 un concert jazzy avec les jeunes musiciens de "made in P.O.T" sous la direction de notre éminent chef de chœur Florent Cyprien
• Nb : Une pensée pour notre ami Michel au Népal depuis dix jours qui était loin de la capitale lors du tremblement de terre ( tout va bien pour lui,son épouse et ses amis)

 Biographie Michel Polnareff

Michel Polnareff est un auteur compositeur interprète né à Nérac (Lot et Garonne) le 2/07/1944

Il passe toute son enfance dans la musique. Son père Leib Polnareff  a écrit des chansons pour Piaf et Mouloudji, c'est d'ailleurs à lui que l'on doit l'adaptation française de la chanson russe Le Galérien. Sa mère Simone Lane, d'origine bretonne, était danseuse.
Michel Polnareff commence le piano à quatre ans et reçoit à douze ans un premier prix de solfège.

À 20 ans en 1964, il quitte le cocon familial qu'il juge étouffant, et s’installe sur les marches du Sacré-Coeur avec une guitare achetée avec ses économies. Ses premières notes seront celles de "La poupée qui fait non ". Il devient beatnik, pacifiste et fait la manche en reprenant les standards rock de l’époque."La poupée qui fait non" sort le 26/05/1966. Cette chanson connaît un véritable triomphe et sera reprise par de nombreux artistes.

Polnareff possède un style anglo-saxon (tout comme Gainsbourg ou Dutronc), des mélodies suivant parfois une ligne classique (telle Âme câline), un look androgyne (qui ne cesse d’évoluer), et écrit certains textes prônant la liberté sexuelle avant l’heure.

Le 25 octobre 1967, il monte pour la première fois sur la scène de l'Olympia. Il enchaîne les succès comme "Dans la maison vide ou Tous les bateaux, tous les oiseaux". En 1970, il revient à l'Olympia et entame une tournée. Sur scène, il innove, mi-concert, mi-spectacle, les musiciens sont installés sur une scène verticale et de nombreux automates envahissent la scène. Première dépression en 1970 suivie de nombreuses autres.

Après de nombreux tracas avec le fisc français il finit par s'exiler, le 10 octobre 1973 aux USA et par s'installer à L.A jusqu'en 1984. Puis il revient en France écrit des musiques de film et enregistre des remakes et un nouvel album il remonte sur scène aux USA en 1995. Il faudra attendre 2007 pour le revoir en concert en France à Bercy. En 2008 Il repart à L.A .Il sort  un dvd de ses différents concerts

Lettre à France (chanson enregistrée sur le 2°cd de Méli-Mélo)

Sortie comme single en 1977. Polnareff, alors en « exil » aux USA, y exprime sa nostalgie pour la France.

Qui a tué Grand maman  (chanson enregistrée sur le 1°cd de Méli-Mélo)

Sortie en 1971. Chanson nostalgique et écologiste qui dénonce le monde moderne mécanisé et sa fuite en avant.

• Ayant épuisé les biographies d'auteurs en rapport avec le répertoire de Méli-Mélo, à partir de la semaine prochaine : Rubrique HUMOUR à suivre sur plusieurs semaines

A la semaine prochaine

Bonjour à tous,

Retour vers la dernière répétition de ce lundi soir où les rangs des altos étaient  plutôt clairsemés et qui, avec leur discrétion habituelle, avaient laissé le premier rang complètement vide ce qui eut pour effet de remarquer les nombreuses absences.

• Le premier chant répété fut "Tout va très bien Mme la Marquise" qui réclame  de la théâtralité dans son interprétation (un ton enjoué et interrogatif au début et devenant de plus en plus inquiet)
• "Quand mon mary" : Bien
• "La Cucaracha" : Tout s'arrangea malgré un petit faux départ des altos
• "Prepare ye..." : Les ténors sont des flèches, des flèches vont être notées par notre chef de chœur sur sa partition pour mieux les diriger sur ce chant
• "Sicut Erat" : Toujours les ténors dans la lumière qui, avec leur habituelle agilité vocale, doivent, dès la 43ième mesure tel Tarzan virevoltant de liane en liane, surfer sur les notes de "Saeculooooooooooooooooooooooooorum" (Quel talent!!!)
• "Peter Gun" : Ok
• "Show must go on" : Encore une fois une belle interprétation validée d'un "pas mal" par notre exigeant chef

NB : Pour la soirée de Fontenay le 25/04 rdv vers 19:45 pour débuter à 20:00. Il n'y a pas de programme pré-défini aussi amener les chants de cette année ainsi que ceux de l'an dernier.

 Biographie de J BREL

Né le 8 avril 1929 à Schaerbeek (Belgique), Jacques Brel commence à écrire dès l'âge de 15 ans, inspiré par la lecture de Jules Verne et de Jacques London. Après avoir créé une troupe de théâtre, il entre dans la cartonnerie familiale qui l'emploie entre 1947 et 1953. Passionné par la musique classique, il décide de se lancer dans la chanson et compose ses premières mélodies. 1951, année où Jacques Brel commence à chanter malgré la désapprobation de sa famille. En 1953, il se rend à Paris pour être auditionné. Pour gagner sa vie, Il enseigne la guitare et passe à l'Olympia en lever de rideau. Il se fait remarquer par Bruno Coquatrix. En janvier 1955, Jacques Brel fait ses débuts à l'Ancienne Belgique et continue à se produire en vedette américaine dans des tournées. En 1955, il s'installe avec sa famille à Montreuil et sort son premier 33 tours. 1956 est l'année de son premier grand succès, "Quand on n'a que l'amour". En 1959 il est tête d'affiche à Bobino et interprète "Ne me quitte pas" et "La Valse à mille temps". La mort de ses parents marque un changement de registre dans ses chansons. En 1964, sort "Amsterdam", suivie de "Ces gens-là" en 1966. Jacques Brel donne son dernier récital en mai 1967. Il fait ses premiers pas au cinéma. Atteint d'un cancer du poumon, il se retire aux Iles Marquises. Il enregistre son dernier 33 Tours, "Les Marquises", en 1977 et s'éteint victime d'une embolie pulmonaire lors de son hospitalisation pour l'aggravation de son cancer le 9 octobre 1978 à Bobigny. Il est enterré non loin de Paul Gauguin  au cimetière d'Atuona, commune d’Hiva Oa, aux îles Marquises.

Analyse de "Quand on a que l'amour" interprétée par Méli-Mélo sur son 1° CD

Chanson écrite en 1956, caractérisée par le « crescendo brélien »(progression dramatique dans l'écriture et l'interprétation). La force du texte réside notamment dans l'emploi sans cesse repoussé au dernier vers de l’apodose*, proposition principale qui succède à une série de subordonnée conditionnelle. Sortie en 1958, "Quand on a que l'amour" est le premier véritable succès de Brel

*L'apodose (du grec ancien « action de rendre », « restitution ») désigne :

la proposition principale qui, placée après une subordonnée conditionnelle (la protase), en indique la conséquence ; par exemple :

"Quand on a que l'amour".....vers maintes fois répété pendant la chanson (la protase) qui engendre la condition

"Alors sans avoir rien, Que la force d'aimer, Nous aurons dans nos mains, Amis le monde entier (l'apodose) qui indique la conséquence

A noter que la chanson fut écrite pendant la guerre d'Algérie et témoigne de la propre opposition du chanteur à cette guerre. Bien que cette chanson soit imprégnée d’un idéalisme chrétien, elle est néanmoins significative et annonciatrice des chansons à venir. Brel tente de décrire ce qu’il voit, en ne mettant pas l’accent uniquement sur ce qui est beau ou sur ce qui devrait être, mais sur ce qui est. Il tente de décrire les sentiments d’impuissance ressentis face à la guerre et aux autres injustices sociales.et la version anglaise (« If we only have love ») sera reprise dans les manifestations contre la guerre du Vietnam aux Etats-Unis.

(Qu'est ce qu'on s'instruit sur le site de Méli-Mélo !!!!)

Prochain rdv dans un mois (lundi de Pâques et deux semaines de vacances scolaires)...

Bonjour à tous,

Yes!!! Enfin  l'apprentissage de "Sicut Erat" est terminé après tant d'années d'efforts, de sueur versée plusieurs personnes ont commencé cet apprentissage et ne sont plus présentes au sein de la chorale d'autres choristes(de grande qualité!!) ont pris le relais et fini le job; assez plaisanté mais  encore une fois, avec de la persévérance on y arrive, mais reprenons la chronologie de la soirée.

Après le traditionnel échauffement vocal nous débutons par "Tout va très bien..." : Encore un  peu de travail de peaufinage; "Quand mon Mary" : Bien marqué le tempo; "Tête en l'air" : Ok; Une "Cucaracha" de bonne facture après la mise au point sur le rôle de chaque pupitre; "Giovani Liete" : Ne pas oublier de bien "tenir" le dernier liete avant le trio de "nostro signor"; Un grand bravo à tous pour un"Sicut Erat" enfin terminé, bien sûr il reste du travail mais "on tient le bon bout"; "La Nuit" et enfin "Show must go on" se terminant tel un bouquet final par les FELICITATIONS DU CHEF DE CHOEUR (quand on connait son exigence et sa rigueur!!...) et après vérification il ne neigeait pas donc il était bien dans son état normal.

Donc une bien belle soirée de répétition

Nota Bene

• Quelques dates de concerts futurs sont notées dans l'agenda du site.
• N'oubliez pas le sondage sur le dernier CD (3 clics) et un petit commentaire serait le bienvenu pour améliorer la future production et organisation du prochain cd
• Lors des prochains concerts plusieurs des nouveaux chants appris feront leur entrée au répertoire de Méli-Mélo

 Georg Friedrich HAENDEL  

Georg Friedrich Haendel ou Händel est un compositeur allemand, devenu sujet britannique, né le 23 février 1685 à Halle en Allemagne et mort le 14 avril 1759 à Londres. Inhumation à l'Abbaye de Westminster.

Oeuvres : Le Messie, Rinaldo, La Sarabande, ses musiques de pleine air comme Water Music....

Il est avec Jean Sébastien Bach le roi incontesté de la musique Baroque, il consacra 35 ans a l'écriture d'opéras en italien (plus de 40 partitions d'opéras seria) avant d'inventer et promouvoir l'oratorio en anglais dont il est un des maîtres incontestés

Opéra séria  : Opéra écrit en italien au caractère noble et « sérieux » ce qui l’oppose à l'opéra bouffe, de caractère comique et enjoué, héritier de la tradition de la commedia dell'arte( ex: Don Giovanni de Mozart)

Un oratorio : Est une oeuvre lyrique dramatique représentée sans mise en scène, ni costumes, ni décors.

L’opéra Rinaldo dont Lascia ch'io pianga fait partie est joué le 24/02/1711  

Contexte

Haendel, alors maître de chapelle du futur roi d'Angleterre, arrive à Londres en novembre ou décembre 1710. Cette même année a été donné le premier opéra chanté à Londres de bout en bout en italien. Haendel est déjà un compositeur reconnu et, malgré une activité musicale certaine où l'italianisme domine, l'Angleterre est en attente de nouveauté depuis la mort de Purcell en 1695. La tentative de Purcell de créer un opéra national anglais était restée lettre morte faute de successeurs.

Théme

Le sujet, qui a pour source  "la Jéruzalem délivrée"  écrit par Le Tasse(auteur italien) en 1581 évoquant les amours d'Armide, a été choisi par le directeur du Queen’s Theatre et confié au librettiste Giacomo Rossi. Ce dernier en fait l'adaptation non sur la version originale en italien, mais à partir d'une traduction anglaise. Le livret étant en italien, cette double traduction a conduit certains commentateurs à dénoncer une sorte de forfaiture. Haendel compose la musique en deux semaines en utilisant de nombreuses reprises, le compositeur recyclant des airs de ses propres cantates, voire empruntés à ses collègues italiens. Ainsi l'aria « Lascia ch'io pianga » est une reprise d'une œuvre antérieure ainsi que bien d’autres écrits. Ici réutilisation de l'aria "Lascia la spina" qui fait partie de l'oratorio "Il Trionfo del tempo e del disinganno" daté de 1707. Ce ré-emploi musical était habituel dans les opéras; Vivaldi en usait couramment.C'est la qualité de la musique du compositeur, quoique inégale, qui sauve les longueurs et les maladresses du livret.

L'opéra est conforme au style d'opéra seria à grand renfort de machinerie et d'effets visuels spectaculaires associant guerre et magie. Hill, le directeur du théâtre va jusqu'à introduire à la première un lâcher d'oiseaux dans la scène du bocage du premier acte qui impressionna fort les spectateurs.

Lascia ch'io pianga

L'air d'Almirena ( princesse emprisonnée et  promise à Rinaldo) à l'acte II, est l'un des plus beaux écrits par Haendel. La déploration évite tout sentimentalisme et confère à l'attitude d'Almirena une admirable dignité.

Lascia ch'io pianga mia cruda sorte,                                      

E che sospiri la liberta !
E che sospiri la libertà！

Lascia ch'io pianga mia cruda sorte,
E che sospiri la libertà！

Il duolo infranga queste ritorte de miei martiri sol per pietà,
de miei martiri sol per pietà.

E che sospiri la libertà！

TRADUCTION

Laisse-moi pleurer sur mon sort cruel

Et aspirer à la liberté !

Et aspirer à la liberté !

Puisse la douleur briser les chaînes
de mon martyre, par pitié !

Et aspirer à la liberté !

À noter
Les paroles écrites les plus référencées et chantées pour le vers suivant sont "Mia cruda sorte" mais il existe aussi la variante "la cruda sorte", moins fréquente. La version chantée comportant le vers "la dura sorte", n'est jamais écrite dans  les livrets d'opéra. Il a été dit que "la dura sorte" serait une "erreur" de la part de Cecilia Bartoli au cours d'un récital et qui a été reprise essentiellement par des chorales. La partition arrangée pour choeur daterait peut-être de cet incident d'interprétation.
 

Réception du Public

L'opéra obtient dès la création un grand succès. Il est donné quinze fois en 1711, neuf fois l'année suivante. Il sera repris chaque année jusqu'en 1717, Haendel apportant quelques modifications surtout dues aux changements de distribution.

En 1731, la reprise de l'opéra se traduit par un remaniement beaucoup plus important (version II) du fait de changement de tessiture qui affecte pratiquement tous les rôles, Haendel modifie également le dénouement en vouant Armida et Argante aux enfers. Cette version est donnée le 6 avril 1731 également au Queen's Theatre. Les productions modernes utilisent surtout la première version.

Cette première production londonienne inaugure pour un quart de siècle la relation passionnée entre le public et le compositeur. Ce dernier deviendra le maître incontesté de l'opéra de Londres y imposant à la fois ses propres œuvres, mais aussi le choix de ses interprètes (castrats et prime donne italiens) qu'il fit engager à prix d'or.

Bonne semaine....

Bonjour à tous et à toutes et heureux de vous retrouver.

• Quelques nouveautés sur le site : Tout d'abord une rubrique "commentaire" disponible sur chaque billet où tout le monde peut s'exprimer
• Une nouvelle rubrique intitulée "Sondage" en page d'accueil voit le jour. Ce premier sondage porte sur votre avis concernant le dernier CD et surtout notez vos commentaires qui pourront être utiles en prévision du prochain, si vous voulez garder l'anonymat notez un nom fictif (sondage ouvert jusqu'au 31/05/2015)
• Ce lundi soir beaucoup de monde présent pour la répétition entre autres les basses dont une grande partie  avait fait apparemment défection la semaine dernière. Après l'habituel échauffement le premier chant revu fut "Tout va très bien Mme la marquise" sans doute au programme du prochain concert, suivi de "La Cucaracha" avec une  nouvelle  organisation du chant entre les pupitres, Synthèse : le chant débute par "le riff" ou "begleitsatz"chanté par tous puis les Sopranos chantent le 1°couplet  tandis que les autres pupitres reprennent le riff, ensuite tout le monde reprend le 1° couplet puis tous les pupitres reprennent le riff et enfin enchaînent sur le 2°couplet pour terminer. Toujours donner du rythme "ne pas traîner les godasses" dixit l'excellentissime chef (petite critique des ténors sur les basses qui ne prononceraient pas les "ass" vite remis à leur place par ses êtres virils mais si fragiles que sont les basses !!!) Reprise de "La Nuit" un peu tristounette et sans âme ce soir  où "les voix devraient s'épanouir tel un nuage s'effaçant et laissant resplendir la lumière" (encore une magnifique métaphore de Florent) mais sans doute l'approche de la prochaine éclipse solaire vint obscurcit la magnificence  de nos voix, ensuite ce fut au tour de "Tête en l'air" d'être repris, ne pas oublier d'avoir "la banane" puis un grand moment, terminer le chant d'Antonio "Sicut erat" qui, s'il tient ses promesses, exécuté dans des lieux propices, devrait produire  de merveilleuses sensations. Enfin pour terminer cette soirée "The prepare ye..."  .
• Pub

De la  part de Laurence  pour une bonne cause puisque qu'une partie de la recette est reversée pour lutter contre le cancer du sein 

NB : Contrairement au Calvados, la Manche (département d'ouverture et de modernisme permet aux hommes de s'inscrire à cette belle manifestation mais uniquement vêtus en rose ( suggestion : peut-être que notre cher Père Noël déjà habillé de rouge  avec une lessive javellisée pourrait ....)

Rappel pour contacter Laurence : 0613048276 ou Laurence.jeannette@orange.fr

 Biographie de RAY VENTURA 

Raymond Ventura, dit Ray Ventura, né le 16/04/1908 à Paris et mort le 29/03/1979 à Palma de Majorque en Espagne, est un compositeur, arrangeur, chef d’orchestre, éditeur de musique et producteur de cinéma français.Il joue un rôle non négligeable pour la promotion du jazz en France au cours des années 1930.Il était l’oncle du chanteur et guitariste Sacha Distel.

En 1929, le groupe se produit quelque temps au casino de Deauville, où il est remarqué par un des administrateurs de la Compagnie Générale Transatlantique qui propose aux jeunes gens de leur offrir une croisière aller-retour jusqu'à New-York, pour prix de leur participation à l'animation du bord. Ray Ventura, Paul Misraki et Loulou Gasté sont alors tous trois âgés de 21 ans, et ces grands jeunes gens sympathiques et dynamiques, jouent leur musique avec un entrain et une bonne humeur des plus communicatifs. Ils enregistrent leur premier disque cette année 1929, et enchaînent ensuite les concerts à partir de 1931-32 dans les grandes salles parisiennes et bientôt des tournées à travers toute la France, en attendant que Ray Ventura n'ouvre son propre cabaret sur les Champs-Elysées en 1936, alors que Tout va très bien Madame la marquise est sur toutes les lèvres. La plupart des grands succès des Collégiens de Ray Ventura sont écrits par Paul Misraki (pour la musique) et André Hornez (pour les paroles).

C'est sous l'influence de l'orchestre de Ray Ventura - dont les musiciens sont également comédiens et chanteurs - que les orchestres à sketches se multiplient en France.

À la déclaration de guerre, en septembre 1939, il est incorporé au Train des Équipage dans l'est de la France. Après la défaite en juin 1940, il se réfugie en zone non-occupée. En 1941, avec son orchestre il fait plusieurs tournées en Suisse où il enregistre quelques disques. Etant de confession juive comme plusieurs de ses musiciens, ils subissent les persécutions antisémites, il quitte la France en novembre 1941 ( avec entre autres Henri Salvador, Aslan, Misraki, Vola)  et part en tournée en Amérique du Sud notamment au Brésil et en Argentine où il enregistrera des disques.^.

Leur retour en France à la Libération sera triomphal. Ray Ventura crée alors une nouvelle formation (1945-1949) qui remporte de nouveaux succès (Maria de Bahia, 1947 ; La Mi-Août, 1949, deux chansons de Paul Misraki). Ils jouent dans plusieurs films, ce qui contribuera largement à étoffer leur popularité et à diffuser leurs chansons en 'tsf' dans toutes les régions de France.

Au cours des années 1960, la mode des orchestres à sketches se raréfie un temps, et face à l'importance prise par le disque et la radio, cette formation due au grand nombre de chanteurs et musiciens devient une formule trop coûteuse pour rester viable. Ray Ventura quitte la scène pour se consacrer à l'édition musicale (il contribuera ainsi à lancer Georges Brassens), tandis que la plupart de ses Collégiens tentent l'aventure d'une carrière solo. Tous ne réussiront pas, bien sûr, mais certains comme Henri Salvador, Henri Genès, Philippe Lemaire ou Sacha Distel tireront fort bien leur épingle du jeu, et dix ans plus tard, d'autres groupes, comme celui issu de l'Olympia boulevard des Capucines à Paris, avec ses jazzmen, forment le Big Band de l'Olympia qui sera même engagé par Quincy Jones pour accompagner Franck Sinatra.

Retiré à Palma de Majorque, Raymond Ventura s'y éteindra en 1979, au moment où, avec la mode rétro des années 1970, Le grand orchestre du Splendid redonne une seconde jeunesse au style et aux plus grands succès d'avant-guerre de Ray Ventura et réenrégistre certains titres (Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?)

Ray Ventura est enterré à Paris.

Quelques succés

• Tout va très bien Mme la marquise (1935, musique de Paul Misraki, paroles de Paul MIsrachi, Bach et Henri Laverne)
• Ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine (1936, musqiue de Paul Misraki)
• Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ? (1937, musique de Paul Misraki, paroles de André Hornez)
• Siffler en travaillant (1938)
• Les chemises de l'archiduchesse (musique de Paul Misraki)

Histoire et analyse de la chanson

(Cette histoire humoristique dénonce en fait l'état d'esprit de la France d'avant-guerre avec son optimisme à toute épreuve)

Sa création résulte, selon Paul Misraki lui-même de l'échec d'une première soirée de tournée de Ray Ventura et ses Collégiens, dans le sud de la France. L'ambiance a été morose, et l'orchestre n'est pas parvenu à réchauffer la salle. Les musiciens sont catastrophés et cherchent tous une idée pour relancer le spectacle. C'est Coco Aslan qui semble avoir suggéré l'idée du "sketch avec la Lady écossaise". Paul Misraki se met alors au travail, trouve assez vite le "départ" (les premières notes), puis compose toute la nuit, avec comme compagnon un camembert, qu'il mangea en entier. Au petit matin, le compositeur s'accorde une ultime fantaisie : le "pont" qui commence par "un incident, une bêtise...", en rupture totale avec le rythme et l'ambiance de la chanson jusque-là. Et le soir, c'est un triomphe.

Chantée à trois voix à l'origine, la chanson raconte une conversation téléphonique entre une vieille aristocrate et son valet James qui lui fait part des catastrophes survenues dans son château pendant son absence de deux semaines (de manière antéchronologique, depuis la mort de sa jument jusqu'au suicide de son mari, chacune de ces catastrophes étant la conséquence directe de la précédente, plus grave encore).

Ses auteurs, Charles Bach et Henry Laverne, et son interprète, Ray Ventura, se moquaient par là de l’optimisme forcené que montraient les gouvernements français successifs devant la montée du nazisme. La création des premiers camps de concentration, l'incendie du Reichtag, les lois de Nuremberg...n’inspiraient aucune inquiétude. Il était plus facile de dire que « tout allait bien » ! Cette indifférence française participa à l’enchaînement d’autres événements historiques hors de France, telles la guerre d'Espagne ou l’invasion de la Tchécoslovaquie et de la Pologne. Tout continuait à aller bien en France… jusqu’au 10 mai 1940, où l'on prit conscience de la réalité et des conséquences du "laisser-faire" .

A la semaine prochaine...

Désolé  pas  d'article  cette  semaine

Ouf !! Pas de blog polèmique cette semaine (cf article du 02/03 ) Une mise au vert ou plutot au blanc du webmaster s'imposait  (vous remarquerez l'extrême souplesse sur ses appuis et je trouverai insultant toutes critiques !!!)

Chantez bien!! A la semaine prochaine...

PS : Des photos des derniers concerts et des extraits de vidéos du concert en l'église St Jean de Caen sont sur le site (merci à Michel)

Bonjour à tous,

Bilan du dernier concert organisé par l'Arche de Dolanji. 

(texte modifié par R Vicquelin le 05/03/2015 22:00 visant l'apaisement après l'appel téléphonique de la présidente de ladite chorale qui s'était sentie insultée par le texte original)

Chacun jugera du "professionnalisme" d'une chorale qui vous plante à 24h d'un concert. Heureusement Canal flûtes et Méli-Mélo (la chorale qu'il vous faut) honorent toujours leurs engagements. Méli-Mélo combla en partie le "trou" laissé par l'adjonction de trois chants supplémentaires. Malheureusement tous les choristes n'avaient pas ses chants dans leur répertoirepeut-être aurions-nous pu tester la chaîne téléphonique mise en place il y a quelques semaines pour ce genre de problème.

Le cadre était parfait, un vaste espace pour l'installation de la cinquantaine de choristes, une résonance remarquable (trop ??), un public d'une centaine de personnes, le tout dans une température frisquette. Par contre une sono trop légère ou non utilisée pour entendre les responsables de l'association présenter leur belle organisation ou remercier les participants, le public.

La 1° partie  fut assurée par Canal-flûte de manière très "pro" avec des explications précises, claires et audibles et eux aussi perturbés par l'absence de leur responsable-clavier,Franck (excusé pour fracture : Aie!!!) et toujours cet ajout du saxo très plaisant. Puis vint le tour de la chorale  Méli-Mélo d'entrer en piste mais comme les férus de course de Formule1 le savent bien, avant le départ d'une course il y a un tour de chauffe pour monter  les pneus en température sinon c'est le décor assuré et malheureusement c'est ce qui arriva à Méli-Mélo qui voulut démarrer sur les chapeaux de roues et se planta lamentablement dès les premières notes de "Mi Libertad". Heureusement l'excellentissime pilote, Florent, un laps de temps surpris par ce faux départ repris ses troupes en main rapidement et après un nouveau départ tout le concert se déroula normalement. A noter une entame de "Giovani Liete" puissante et beaucoup plus légère qu'au dernier concert (quel pouvoir d'adaptation des barytons-basses!!) Pour terminer pas de rappel tant pour Canal-flûtes que pour la chorale mais peut-être pas assez de public dans un cadre qui devient du coup un peu trop grand et pesant par rapport à un lieu plus intimiste.

• La répétition de ce lundi soir débute par les remerciements de Michel, membre de l'association l'Arche de Dolanji, le rapport recette/public fut bon et cet argent va contribuer à la poursuite des missions éducatives .

Bilan globalement positif de la part de Florent qui déplore malgré tout des altos trop timides dans leur expression tant vocale que dans leur positionnement (Il faut qu'elles prennent conscience de leur potentiel qui est si grand!!).

LE PLACEMENT : Voilà le point négatif des concerts en général où les sopranos s'étalent, les hommes attendent les directives du chef et les altos se cachent. S'en suit une explication familiale entre notre chef respecté et sa talentueuse compagne soprano qui lui reproche également un mauvais placement (après la neige l'orage grondait!!) mais tout s'apaisa rapidement.

Les chants étudiés débutèrent par "Tout va très bien Mme la Marquise" besoin d'énergie et ne pas "traîner" sur les fin de phrases, "La Cucaracha" vue en entier avec toujours ce 2° couplet difficile à prononcer avec tous les mots en "asssss" et pour terminer"Sicut erat" où la fin se rapproche. Conseil de Florent : "Faire de "beaux A" s'il n'avait été musicien, il aurait été poète.

• Le concert du 18/04/2015 à HSC est reporté au 03/10/2015 organisé par le Secours Populaire
• Le lot de notre lauréate "1000ième visiteuse" sera une place de concert de son choix
• Des photos des derniers concerts ainsi que des extraits de film seront mis prochainement sur le site
• Demande à Florent lors de la présentation de Méli-Mélo en fin de concert (comme il le fait si bien!!) de dire bien sûr que le public peut nous retrouver après le concert en achetant nos CD , en pouvant venir assister aux répétitions  et sans oublier notre site internet qui est une corde supplémentaire à notre arc dans cette ère médiatique d'aujourd'hui.

Vocabulaire Latin

Le "Oui" et le "Non" en latin vaste question et pas si facile d'y répondre, il existe sans doute en langue parlée par contre à l'écrit les romains faisaient des périphrases

Oui à l'écrit : ita et reprise du verbe (un peu comme en anglais : Yes, I do!)   Non à l'écrit : minime, non

"Il y avait une grande différence entre le latin écrit, qui acquiesçait ou niait avec une périphrase, et le latin parlé. Pour dire oui ou non, celui-ci employait un certain nombre d'interjections ou de tournures, qui ont finalement donné nos oui-non:
"Non" vient bien sûr du latin "non" qui fut écrit "nen", donnant notre négation "ne".
"Oui" vient de l'expression "hoc est" (c'est cela). L'expression se réduisit peu à peu "à hoc", puis à "o". Au XIII° siècle, "ni oui ni non" se disait "ni o ni non". Oui il... se disait o il... puis les deux mots se soudèrent pour devenir oïl. Et c'est ce mot oïl qui devint notre oui.
"Si" vient lui de "sic" (ainsi)."

Citation du jour

"Je mets ensemble les notes qui s'aiment" (Wolfgang Amadeus Mozart)

  Biographie de Franz SCHUBERT 

Franz Peter Schubert est un compositeur autrichien né le 31 janvier 1797 à Lichtenthal, quartier de Vienne et mort dans cette même ville le 19 novembre 1828.

Bien que mort à 31 ans, Schubert est l'un des grands compositeurs du XIX siècle et le maître incontesté du lied (poème germanique chanté par une voix, accompagné par un piano ou un ensemble instrumental).

Fils d’instituteur, son père lui apprend le violon, son frère le piano, très doué en éducation musicale, il grimpe les échelons jusqu’à devenir chef d’orchestre. Puis il commence à composer dès 1810, ses premières compositions sont des fantaisies et des danses pour piano, des lieder. Viennent ensuite des quatuors à cordes pour l'ensemble familial, des ouvertures, des ensembles vocaux pour la classe de Salieri et en 1813, sa1^re Symphonie en ré majeur, et son premier opéra.

En 1817, il entreprend six sonates pour piano et compose de nombreux lieder, dont Die Forelle (« La Truite »).

Fin 1822-début 1823, Schubert contracte une infection vénérienne. Différents indices (symptômes, déroulement ultérieur de la maladie) laissent penser qu'il s'agit de syphilis. Par la suite sa santé, malgré quelques rémissions, ne cesse de se dégrader, ce à quoi contribue le traitement au mercure habituel à l'époque.

En 1825, il découvre la poésie de Walter Scott, qui lui inspirera dix compositions, dont les sept chants tirés de Das Fräulein vom See (« La Dame du lac ») qui seront publiés en 1826, en édition bilingue. L'un de ceux-ci, Ellens dritter Gesang (« Troisième chant d'Ellen »)  atteindra très vite une immense popularité sous le nom d'Ave Maria

Un an après la mort de Beethoven, le 28 mars 1828, a lieu le premier concert totalement consacré à ses œuvres. C'est un grand succès, un peu éclipsé toutefois par la présence à Vienne de Paganini. À l'automne, Schubert emménage chez son frère Ferdinand. Bien qu'atteint de syphilis, après deux semaines de maladie, il meurt de la fièvre typhoïde (ou typhus abdominal) le 19 novembre 1828 à 31 ans. Sa dépouille reposa d'abord au cimetière de Währing, non loin de celle de Beethoven, avant d'être transférée en grande pompe en 1888 dans le « carré des musiciens » du cimetière central de Vienne, où sa tombe voisine aujourd'hui celles de Gluck, Beethoven, Johannes Brahms.

À sa mort à l'âge de trente et un ans seulement, Schubert laisse un millier d'œuvres. Schubert a écrit pour tous les genres musicaux, excepté le concerto. Influencé par Haydn et Mozart, son art est cependant très différent. Il ne fut pas reconnu de son vivant, de nombreuses œuvres n'ayant été jouées pour la première fois que bien après sa mort.

Bonne semaine à tous(tes)

Bonjour à tous 

• Enfin de retour après 15 jours de pause vocale avec déjà la pression du prochain concert le 28 février. Pendant cet  intervalle de temps comme vous avez pu le lire dans l'article précédent notre 1000ième visiteuse du site s'est faite connaître et quelle visiteuse !! Quasi indispensable lorsque Méli-Mélo interprète Resham Phiriri  puisqu'elle est première percussionniste en chef, miss tambourin d'or (poste envié et recherché dans toute chorale comme peut l'être le premier violon d'un orchestre symphonique).
• A noter également  que le livre d'or commence à s'étoffer doucement mais sûrement avec divers témoignages de soutiens, de souvenirs d'ancien(nes) choristes.
• Deux concerts à venir et à confirmer : le 18/04/205 à Hérouville à La Fonderie ; le 30/05/2015 à St Martin d'Aubigny dans La Manche (près de Périers) avec la chorale de Marigny de Franck Jourdan
• Ce lundi après l'habituel échauffement vocal, 45 minutes de "Cucaracha" intensive avec apprentissage du 2°couplet, du rythme ++ demandé par Florent et des fins de phrases courtes, ensuite ce fut "Tout va très bien...." reste la Coda à voir, "Giovanni Liete" avec une remise en ligne des Basses qui étaient un peu trop "brutes de décoffrage" au dernier concert et pour terminer "Sicut erat" reste toujours la dernière page à étudier suivi de "Show must go on" Eh  oui ! Ce soir la neige n'était pas au rdv donc les compliments non plus comme quoi il faut vivre et savourer les moments présents.

Rappel : Concert samedi 28/02/2015 à 20:00 en l'église St Jean de CAEN.  Canal flûtes en premier suivi de la Schola de l'Odon et Méli-Mélo pour finir.

• La liste des chants est la suivante : 

Mi Libertad, Tête en l'air, Quand mon mary, Resham Phiriri, Prepare ye, Giovani Liete, Méli-Mélo, The Show must go on, (Peter Gunn si rappel) 

Chant commun : Resham Phiriri ou Più non si trovano 

Attention : Tenue noire et cahier de chant rouge pour les concerts.

Vocabulaire

On entend souvent les termes "soprane" "altis" qu'en est-il vraiment?

Une soprano, des sopranos (en français) des soprani (en italien) soprane (s) est un terme absent du Littré et du dictionnaire de l'Académie française par contre il existe en allemand

Une alto, des altos ( en français) si on se réfère à l'italien le nom alto est masculin, devient "alta" au féminin et au pluriel "alte" d'ailleurs dans le chant italien pour les femmes comme pour les hommes le terme "contralto" et "contralti" est utilisé

Dans un autre domaine un scénario des scénarios et non des scénarii qui est sa forme snobinisante.

Because (The Beatles) 

Because est une chanson des Beatles, parue sur l'album Abbey Road, le 26 septembre 1969 au RU et le1^er octobre aux USA. Le morceau a été composé par John Lennon

Because est caractérisée par l'usage du clavecin électrique (Baldwin) et d'un synthétiseur Moog, ainsi que par ses parties vocales chantées en harmonie à trois voix multipliées trois fois, ce qui donne un chœur imaginaire de neuf voix.

Because serait en fait la Sonate au clair de lune de Beethoven jouée à l’envers. Bien que cela ne soit pas tout à fait exact, c’est bien l’œuvre du compositeur allemand qui a inspiré John Lennon. Celui-ci se reposait sur un canapé pendant que Yoko Ono, sa seconde femme, jouait le premier mouvement de la Sonate sur le piano. Il explique : « Yoko jouait cette sonate au piano. Je lui ai demandé si elle pouvait jouer les notes à l’envers. Et j’ai écrit Because autour de ça ».

Les paroles peuvent être qualifiées, pour reprendre un mot que Lennon aimait utiliser, de "cosmiques". Elles évoquent les émotions fulgurantes et ineffables que peuvent susciter la nature (le ciel me fait pleurer, le monde me bouleverse, etc.). le refrain ("love is old love is new, love is all love is you") est organisé autour d'assonances et d'oppositions (ancien/nouveau, tout/toi). Un peu lassé par les exégètes voulant faire dire à ses textes des choses qu'il n'avait jamais pensées, Lennon a dit un jour à propos de Because que «les paroles parlent pour elles-mêmes, il n’y a pas de références obscures ».

La chanson se présente sous la forme d’une harmonie à trois voix— celles de John Lennon, Paul Mc Cartney et George Harrison— enregistrées trois fois, pour aboutir à neuf voix en tout. Il s'agit d'un des rares morceaux des Beatles où il n'y a pas de couplet entre le "solo" (c'est-à-dire le passage instrumental, sans paroles, sur la grille d'accords du couplet), et la fin du morceau.

La chanson démarre par une partie d’épinette électrique jouée par George Martin, rejointe par la guitare de John Lennon passée au travers d’une cabine Leslie, ce qui donne un effet tournoyant, avant que n’arrivent l’harmonie à neuf voix et la guitare basse. C’est une des chansons de l’album sur laquelle on entend le synthétiseur Moog joué par George Harrison. Les Beatles furent parmi les premiers groupes de rock à expérimenter ce nouvel instrument.

On peut entendre aujourd’hui des versions a cappella de Because sur les compilations Anthology 3 en 1996 et Love en 2006. Because est finalement une des rares chansons chantées intégralement en harmonie par Lennon, McCartney et Harrison.

Bonne semaine...

CONCERT CHU CAEN  du 11/02/2014

Il faut savoir qu'environ 10% des choristes de Méli-Mélo ont un lien particulier avec le CHU (actifs ou retraités) et c'est avec une certaine émotion qu'ils participaient à cette soirée. Deux nouveaux chants furent présentés en exclusivité dans notre capitale régionale qui ne le sera peut-être plus l'an prochain puisque la Normandie va retrouver ses anciennes frontières ducales dès 2016. Donc un concert collector avec celui du 28/02/15 prochain en faveur de l'Arche de Dolanji (à noter que Florent retient maintenant le nom de cette belle association : comme quoi un travail  de fond est toujours payant)

L'accueil des organisateurs fut soigné et sympathique comme lors de  tous ses rdv mensuels de soirée-concert. Une assemblée d'une soixantaine de personnes était présente pour écouter la chorale Méli-Mélo, composée ce soir d'une quarantaine de choristes. Les deux nouveaux chants furent de bonne facture et les autres prestations s'enchaînèrent comme d'habitude jusqu'à Peter Gunn ( rappel : nom du détective privé de la série tv américaine des années 50-60 ) car là notre éminent et vénéré chef de chœur a remporté "le Gérard d'or toutes catégories" du plus gros gaffeur de l'année avec pour lot un gilet de sauvetage et une paire de rames et il dût ramer très fort pour rectifier son erreur linguistique en écorchant le nom de l'arrangeur du chant Jeff FUNK en Jeff FUCK ( toutes nos excuses à sa famille )

Merci encore à Florent  m'obligeant d'expliquer à mes ex-collègues présents dans la salle que je n'étais pas "ce gros lourdingue assoiffé" qui caractériseraient les Basses mais cet être subtil et raffiné qu'il ont toujours connu (un ténor contrarié!!). Enfin le concert se terminait sur le rappel habituel et participatif du public vers 20:30.

Elle entre dans l'histoire en ce 10/02/2015

La 1000ième visiteuse du site  Chorale Méli-Mélo de Tilly sur Seulles

Femme la plus enviée du canton, soprano (forcément) elle a gagné, elle ne sait pas quoi, nous non plus mais nous allons trouver et j'espère qu'elle acceptera un petit papier dans un de nos prochains articles et comme le dit si bien Maurice "elle a tapé dans le mille" A noter que ce mardi 10 février a été le jour du record de visites depuis la création du site.

La prochaine récompense  sera pour le 10000ième visiteur ou peut-être le 5000ième si la trésorerie peut supporter cet effort financier car vu le tarif des CD qui va decrescendo ??? Les caisses vont se remplir moins vite que prévu d'ailleurs le prochain virement en Suisse est annulé (Humour!!! précision pour nos amis du fisc qui lisent le bloc régulièrement)

Bonne semaine, bonnes vacances et Rdv pour l'article du 24/02/15

Bonjour à tous,

Punaise !! Quelle soirée...En effet tout commença par ce petit insecte qui s'invita à notre réunion hebdomadaire pendant l'échauffement vocal, traversant le centre de la pièce, il fut attiré par le son mélodieux du piano et entreprit l'ascension de l'instrument sous l’œil bienveillant de notre chef de chœur. Celui-ci, tout en sensibilité, fit tout son possible pour ne pas gêner la progression de la bête malgré quelques appels au meurtre de l'assemblée. Enfin sous la pression de tous (tes) il se contraignit à évacuer l'animal à l'extérieur. Il était 21:00 et déjà cette attitude aurait dû nous interpeller.

La répétition débuta par "Quand mon Mary", "La Nuit", "Tout va très bien Mme la marquise" (enchaînant les 4 couplets, il ne restera que la "Coda" à voir), "Prepare ye..."  21:35 les compliments commencèrent à tomber, d'abord pour les basses puis à 21:40 ce fut au tour des altos de s'entendre dire qu'elles étaient les vedettes, que le rythme devait être "dance" (le pressentiment de 21:00 se confirmait "Florent n'était pas dans son état habituel") certes les sopranos n'avaient pas été félicitées mais elles sont tellement parfaites!!! Quand aux ténors les remarques étaient faites tout en diplomatie et encouragements. Que ce passait-il ??

Nous poursuivions par "La cucaracha" 21:50 là Florent réclama pour lui, sombrero, maracas, mojito, stage de danse mexicaine pour diriger ce morceau (du délire), "Peter gunn" 22:00 de nouveau, le pupitre des basses fut complimenté.

Pris d'une inspiration soudaine, Florent ouvrit les rideaux, tout s'éclaira enfin, sur ce comportement bizarre, il neigeait !!! Les compliments, le délire, la gentillesse s'expliquaient. En fait, il est si sensible que tout changement brutal de la météo entraîne chez lui un changement d'humeur soudain (attention lors de la prochaine tempête). Dès lors nous écourtâmes la répétition en revoyant rapidement "Giovani Liete" et  "The show must go on".

• Le concert au CHU le 11/02/2015 débutera à 19:30 (rdv à 19:00 pour les choristes dans hall niveau 1 de la tour). Le programme sera le suivant  : Mi Libertad, Tête en l'air, Quand mon mary, Resham Phiriri, Prepare ye, La Nuit,  La Porcelaine de Bx,  Peter Gunn, Giovani Liete, Méli-Mélo, The Show must go on.

• Attention : Tenue noire et cahier de chant rouge pour les concerts.

• Dernière minute:Dominique Griès, talentueux choriste (basse), nous rappelle que  trois représentations de "Orphée aux enfers" d'Offenbach auront lieu au Zénith de Caen les 25-26-27 Avril 2015. Des places à prix préférentiels (de 18 à 47€) sont disponibles pendant encore tout le mois de février. Intéressés ? Contactez Dominique à l'adresse suivante Dominique.gries@ac-caen.fr

AVIS : Les statistiques prévoit que notre 1000ième visiteur  va consulter le site sous 15 jours, Un séjour  au sport d'hiver en hôtel ******* lui sera offert (non trop commun) mais plus sérieusement, je l'invite à se faire connaître (il suffit qu'il regarde le compteur) et envoie un message avec ses coordonnées le jour de sa connexion via la messagerie (ainsi Florent sera au courant) et on essaiera de marquer cet événement. Ensuite il faudra attendre le 10 000ième !!

 Les Nocturnes de Mozart 

Le Nocturne

En musique, un nocturne est une forme musicale qui a beaucoup évolué au cours du temps. Au XVIIe siècle, ce mot désignait une suite de pièces de divertissement pour petit ensemble instrumental, exécutée le plus souvent de nuit et en plein air. Tandis qu’au XIXème siècle, le nocturne a connu ses plus belles et célèbres incarnations au travers du génie de Chopin qui en a écrit 21 pour piano.

Histoire de l’oeuvre

Lorsqu’il était à Vienne, durant la période 1787 – 1788, Mozart fréquentait très régulièrement les salons de la famille Jacquin. Le baron Joseph Nikolaus von Jacquin (1727 – 1817), célèbre professeur de botanique et de chimie aimait recevoir les cercles scientifiques, artistiques et intellectuels de la capitale. Pour ces soirées du mercredi chez les Jacquin, Mozart écrivit, pour le plaisir, un certain nombre de pièces vocales et instrumentales, dont les six nocturnes pour trois voix et clarinettes.

Les poèmes italiens

Quatre de ces chansons sont composés sur des vers de Pietro Metastasio (1698 – 1782), le librettiste le plus respecté du XVIIIe siècle.

Voici quatre nocturnes faisant partie du répertoire de Méli-Mélo avec leur traduction

 Due pupille amabili (KV 439)

 Luci care (KV 346)

En se référant aux yeux de sa dulcinée par le mot « luci », le poète (qui est anonyme) utilise une allégorie traditionnelle de la poésie confondant les yeux, la lumière et l’amour.

Più non si trovano (KV 549)

Se lontan ben mio (KV 438)

Bonne semaine, bonnes vacances et merci à Florent de m'avoir inspiré et permis de délirer un max en cette belle soirée hivernale et NEIGEUSE...

(la semaine prochaine pas d'article pour cause de vacances mais une petite édition spéciale le 12/02 post concert CHU)

Bonjour à tous,

Huit chants répétés ce lundi dans une grosse chaleur ambiante.

• Mi libertad (attention aux voyelles) ; Tête en l'air (efficace) ; Quand mon mary (exécuté à un rythme d'enfer(prévoir un poste-urgence avancé) et bien regarder le chef pour la fin)
• Prepare ye (toujours un peu laborieux pour les hommes) ; Tout va très bien Mme la Marquise (ça progresse vite, saupoudrage d'une pointe de comédie dans le ton)
• Giovanni Liete (valeur sûre) ; La cucaracha (encore du travail pour une belle harmonie) ; Show must go on (perfectible)

Rappel : Rdv  LE  11/02/2015  19:30  Concert  au  CHU  de  CAEN

              Rdv  LE   28/02/2015   20:00   église   St  Jean   à   CAEN

                              (Faites le savoir autour de vous pour soutenir une belle cause)

The Voice (Chapître V)

La voix de poitrine ou de coffre

Vous utilisez ce registre sans le savoir : c’est le registre de la parole, on l’appelle également « mécanisme lourd ». On s’en sert pour appeler quelqu’un dans la rue, pour parler devant une assemblée, voire pour vendre du poisson au marché… On pourrait presque parler de « voix pleine ». En chant, surtout dans la variété, c’est le registre le plus utilisé, car celui qui semble le plus naturel. Le larynx reste dans sa position naturelle et les cordes vocales sont sollicitées à 100 % pour émettre les sons. On notera que contrairement aux femmes, les hommes ont moins le choix et utilisent quasiment toujours ce registre, même si certains chanteurs récents ont un peu changé la donne.

La voix de tête

C’est le registre qui sert pour le cri strident ou pour la voix de fausset chez l’homme : c’est enfin la voix du petit garçon qui n’a pas encore mué, on l’appelle aussi « mécanisme léger ». Généralement, on ne s’en sert que pour faciliter l’émission de notes très aiguës. C’est le larynx qui, en basculant en avant, permet ce changement de registre ou « passage ». Le passage entre la voix de poitrine et la voix de tête existe chez tout le monde : c’est un mécanisme qui sert à protéger à la fois la voix et l’oreille interne.

La voix mixte  ou mixée 

Il existe un registre intermédiaire entre la voix de poitrine et la voix de tête : c’est la voix mixte. Sur des voix non travaillées, le passage entre ces deux modes se remarque, on a l’impression d’entendre un adolescent en train de muer avec des sautes brutales du grave à l’aigu et inversement. Chez les voix très travaillées, la voix mixte est une sorte d’illusion sonore qui empêche l’auditeur de remarquer ce fameux passage. Le mécanisme est compliqué à expliquer mais en gros, les cordes vocales effectuent un mouvement de traction suffisant pour que la partie musculaire de ces cordes rejoignent parfaitement le tendon auquel elles sont reliées. Mais ce registre est réservé aux chanteurs ayant une sacrée technique, surtout chez ceux qui ont fait du chant lyrique. On l’appelle « voix mixte » car c’est une voix de poitrine dans laquelle on entend des harmoniques très aiguës qui ressemblent à celles de la voix de tête.

Une autre manière de voir

Toute cette théorie de classification des voix est intéressante pour mettre des mots sur un phénomène physiologique, mais il ne faut pas s’en contenter. L’essentiel pour un chanteur est de considérer sa voix avant tout comme un clavier (comme celui d’un piano, par exemple) et de chercher à rendre la voix homogène sur toute son étendue. Comment ? En cherchant patiemment, en fonction de chaque note de votre « clavier » vocal, les plus belles résonances possibles ; c’est une question d’habitude.

Pour conclure, vous devez rester vous-même. Ne cherchez donc pas à être quelqu’un d’autre ou à imiter la voix de quelqu’un que vous admirez, car vous risqueriez des problèmes vocaux assez pénibles. Souvenez-vous que c’est VOTRE voix à vous que les gens veulent entendre, et parfois, c’est dans un registre inattendu que vous ferez le plus d’effet. Bref, le mimétisme vocal est formellement proscrit !

Fin

 Biographie de Boby Lapointe

Robert Lapointe, dit Boby), né le 16/04/1922 à Pézenas (Hérault), mort à 50 ans dans cette même ville le 29/06/1972, est un auteur-interprète français, surtout connu pour ses textes parsemés de calembours, de contrepètries.

Enfance et études

Fort en maths, comme il le raconte lui-même dans ses mémoires, son côté fantasque et farceur se révèle très tôt. Dès son adolescence, avec quelques camarades de jeu, il prend plaisir à narguer le bourgeois et à ridiculiser la société bien-pensante et le clergé. Cependant, son rêve est de voler : il ambitionne de devenir pilote d'essai et se montre bon en sciences.

Après avoir obtenu son bac, il commence à préparer le concours d'entrée à deux grandes écoles françaises : l'Ecole centrale et Supaéro pour assouvir sa passion de l'aviation et des maths. Louis Leprince -Ringuet, à qui Boby Lapointe présenta un traité de mathématiques, fut impressionné par sa rigueur de raisonnement et lui confia qu'il aurait pu se lancer dans la recherche. Il créa par la suite un mode de calcul basé sur le binaire, appelé la numération Bibi.

La guerre

À l'âge de 20 ans, il doit abandonner ses études et est envoyé en Autriche en 1943 au titre du STO. Éternel insoumis, il s'évade la même année et rejoint, en mai 1944, sa région natale.

Son amour des mots et son envie d'écrire le poussent, à partir de ce moment, à composer des chansons dont le style est très marginal, tout en calembours, jeux de mots et contrepètries : un style trop intellectuel pour qu'on lui donne facilement sa chance. Il rédige également un recueil de poésies et un traité sur les calembours. Il cherche des interprètes pour ses chansons, mais son style rebute : lors d'un gala de la chanson, les Frères Jacques qu'il y rencontre déclinent sa proposition, un peu effrayés par la complexité des textes truffés de jeux d'esprit.

Débuts et succès

En 1946, il s'installe à Paris, où il ouvre un commerce de layettes. L'affaire ne marche pas et la boutique met la clé sous la porte. Lapointe change de métier pour devenir installateur d'antennes de TV, sans arrêter l'écriture.

C'est en 1954 qu'il débute officiellement sa carrière musicale : Bourvil choisit une de ses chansons (Aragon et Castille) pour un passage musical où Bourvil chante, dans le film. Lapointe est enfin introduit dans le milieu parisien.

Il fait ses grands débuts en tant que chanteur dans un cabaret parisien. Il y croise Devos, Brassens, avec qui naît une sympathie réciproque. En 1960 et 1961, Lapointe enregistre deux disques avec notamment les chansons Marcelle, Le Poisson fa, Bobo Léon et Aragon et Castille qui rencontrent enfin le succès.

Les compositions suivantes ne démentent pas ce succès : L'Hélicon, Ta Katie t'a quitté, Saucisson de cheval, Comprend qui peut,Méli-mélodie, Le Tube de toilette, La Maman des poissons…

Les années difficiles

Dans les années 60, Lapointe et Brassens enchaînent les tournées et les récitals. Mais son côté fantasque lui fait commettre des erreurs. Quand il ouvre un café-concert, Le Cadran Bleu, la faillite survient rapidement. Brassens le secourt en épongeant une partie des dettes et l'aide à trouver des petits boulots pour vivre. Mais la période yéyé a commencé et le style musical de fanfare, sur lequel toutes les chansons de Lapointe sont basées, ne fait plus autant recette, ni sur les ondes, ni dans les bacs.

Lapointe reprend donc une carrière plus cinématographique, il est ainsi le demeuré brutal de Max et les ferrailleurs ou le chauffeur de bétaillère dans Les choses de la vie. Dans le même temps, Joe Dassin pousse Lapointe à signer un nouveau contrat chez Fontana/Philips tout en devenant son producteur.

En 1968, il invente le système bibi-binaire, système de numération qui préfigure une voie que suivra l'évolution de l'informatique. Ce système sera publié en 1970 dans le livreLes Cerveaux non humains, introduction à l'Informatique 

Il continue à chanter toutefois, et sa dernière apparition en public a lieu en première partie d'un concert de son ami et fan Pierre Perret à Bobino. Sa dernière apparition à la télévision remonte à l'été 1971.

Atteint d'un cancer du pancréas, Boby Lapointe décède à cinquante ans, en 1972, à Pézenas où il est enterré. Il a enregistré une cinquantaine de chansons.

A la semaine prochaine...

Bonjour à tous,

• Après la distribution de quelques chants à de nouvelles choristes-altos qui sont apparemment des anciennes ayant fait un break. La répétition de ce lundi soir débute par une "cucaracha" partant sur un rythme d'enfer et obligée d'être ralentie car prise en excès de vitesse et entraînant les sopranos dans le décor. Suivent "Quand mon Mary" puis "L'Hymne à la Nuit" "Prepare ye..." encore un peu de travail surtout pour les hommes sur ce chant 
• "Tout va très bien Mme La Marquise" nouveau chant, bien dans l'actualité, avec une harmonisation de Norbert OTT écrite pour chauffer une salle où chaque pupitre devrait être mis en lumière. Ok! Mais des lumières dans la lumière? A voir!! Chant datant de 1936 et grand succès de l'orchestre de Ray Ventura et ses collègiens et surtout une partition pas facile pour les altos qui encore une fois doivent chanter un air différent d'un thème principal si connu (courage!!) Pour terminer un "Sicut erat" de belle facture (plus qu'une page) avec des sopranos battantes voire combatives envers notre chef de chœur si tolérant et à l'écoute de tous
• Pèle-mêle : Définitions du vocabulaire employé par notre cher Florent pendant cette répétition(quel savoir!!)

Le riff (abréviation de l'expression anglaise ou « refrain ») est un court motif musical, c'est-à-dire une combinaison d'accords ou un refrain joués de manière répétitive par la section rythmique ou le musicien soliste d'une formation musicale.Il constitue la base musicale et/ou rythmique ou bien encore l'accompagnement d'une composition et c'est typiquement l'accroche d'un morceau, la signature reconnaissable qui fait que lorsque l'on évoque un morceau précis à quelqu'un, le riff fredonné « parle » immédiatement (mot employé pour la Cucaracha)

Le chant responsorial La technique responsoriale consiste à ce qu’une assemblée (un chœur) réponde aux appels d’un soliste ou d'un autre chœur soit en complétant la phrase, soit en la répétant. Cette technique est apparue à la Renaissance dans la musique occidentale mais on retrouve aussi ce procédé dans d’autres cultures : musique africaine, noire-américaine, les chants de marins, le chant religieux…(expression employée pour qualifier le chant "Tout va très bien Mme la Marquise")

1 soliste ou un chœur chante quelque chose (A) et le chœur ou le soliste lui répond autre chose (B,C,D,E,etc.)

Article de Michel, notre éminent ténor qui n'a pas seulement une voix mais également un coeur "gros comme ça" et nous raconte cette  belle histoire  qu'il vit avec son épouse et Tsering Palzom à travers l'association de L'Arche de Dolanji (Concert le 28/02/15)

   L’Arche de DOLANJI      

C’est pour moi et Carole ma femme, l’histoire d’une rencontre avec l’Association «  L’Arche de DOLANJI » via des amis, parrainant une jeune fille tibétaine vivant au Népal.

Notre désir d’accompagner un enfant dans ses études et de le parrainer dans la durée est ainsi né ! L’Arche de Dolanji nous a proposé en 2008 le parrainage de la petite Tsering Palzom, alors âgée de 5 ans. Tsering Palzom vivait alors auprès de sa famille dans le village de Dorpathan. Elle était scolarisée à l’école du village en partie financée par l’Arche de DOLANJI. ( matériels scolaires, salaire de plusieurs enseignants)

Le projet de se rendre au Népal se concrétisait en 2009 où nous nous rendions à Dorpathan et rencontrions pour la première fois avec ses parents et ses grands-parents,Tsering Palzom !

Tsering Palzom auprès de sa mère lors d’une assemblée des villageois sur la place principale de DORPATHAN.

    Tsering Palzom et sa maman, avec nous devant le domicile familial.

Dès 2010, grâce en partie au parrainage, les parents de Tsering Palzom décident de l’envoyer poursuivre sa scolarité à Karmandou dans une école réputée : « Manasarovar Académy ». Son frère aîné est à l’école en Inde au pensionnat de DOLANJI, point de départ de la création de l’Association.

Tsering Palzom et son frère qui a aujourd’hui 13 ans, ne rencontrent leurs parents qu’une à deux fois par an. Ils sont hébergés dans des pensionnats le plus souvent financés par des Associations étrangères ou des O.N.G.

Aidée par la directrice de l’école de « Manasarovar Academy » que nous avons rencontrée lors de ce voyage en 2009, Tsering Palzom nous envoie 2 fois par an environ un petit courrier rédigé en anglais, langue qu’elle commence alors à apprendre ; Elle parle déjà couramment le tibétain et le népalais !

En 2012, nous la rencontrons à nouveau au sein de l’école ! Elle a bien grandi !

Elle nous a, début décembre 2014, transmis un long courrier où, toujours en anglais elle nous décrit ses bons résultats scolaires, surtout en mathématiques et en science.Elle nous souhaite un bon Noël et une bonne année 2015 ! Elle nous questionne sur le climat dans notre pays, nous parle de ses amies qui sont aussi de bonnes élèves,

La personne qui l’a rencontrée dans son école à Kathmandou» le 8 décembre 2014 nous a  remis la photo ci-dessous

Tsering Palzom a désormais 11 ans.

Nous devons la revoir en avril 2015 à Katmandou lors de notre prochain voyage au Népal !

Voilà en quelques mots l’histoire de cette rencontre avec Tsering Palzom qui se poursuit au-delà des continents et des cultures.

L’Arche de DOLANJI pour qui notre chorale Méli Mélo chante depuis plusieurs années consécutives a permis cette rencontre riche pour nous humainement.

L’Association continue d’accompagner des étudiants de manière individuelle et de financer les salaires d’enseignants et le fonctionnement de deux écoles. Il s’agit là de gouttes d’eau dans l’océan des besoins de ce pays le plus pauvre du monde juste après Haïti !

Les concerts de Méli Mélo font partie de ces gouttes d’eau !!!

Merci à Florent et à tous les choristes !

                                                                               Michel JOURDAN

 Blog de « L'Arche de DOLANJI » : http://nepal-inde.over-blog.net/

NB : Bravo et encore merci Michel pour cette belle leçon de partage.

Surtout si un sujet vous passionne n'hésitez pas et venez nous le faire partager dans le petit journal de Méli-Mélo, cela ne peut qu'enrichir le contenu, vous ne serez pas hors sujet car le lien avec la chorale est direct puisque le lien C'EST VOUS

 Peter Gunn & Henry Mancini

Série télévisée américaine en 114 épisodes de 26 minutes, en noir et blanc,  diffusée entre 1958 et 1961. En France, la série a été diffusée à partir 1987

Synopsis

Cette série met en scène les enquêtes du séduisant détective privé Peter Gunn à Los Angeles.Outre son goût pour les femmes, l'alcool et les plaisirs de la vie d'une manière générale, Peter Gunn est également grand amateur de jazz qu'il écoute installé au comptoir du club Mother’s.

Peter Gunn fait une place importante à la musique, et particulièrement aux compositions de jazz moderne d'Henry Mancini la différenciant des autres séries de l'époque qui utilisaient une musique d'orchestre classique plutôt banale. Chaque pas de Peter Gunn semble accompagné par une musique de jazz innovante. Dans la plupart des épisodes, on retrouve des scènes se déroulant dans le nightclub Mother's. De vrais musiciens jouent les compositions de Henry Mancini durant les scènes tournées au nightclub Mother's.

La plus connue d'entre elles est le thème musical de la série, le Peter Gunn Theme, que l'on entendait au début, à la fin de la série et à certains moments clé. Ce thème est devenu rapidement un tube, faisant gagner à Mancini un Emmy Award et deux Grammys. Il est caractérisé par une ligne insistante de piano et de basse. Il a été repris par de nombreux artistes de blues, de jazz ou de rock, dont les reprises très connues des Blues Brothers.

 Enrico Nicola Mancini dit Henry Mancini   

Compositeur, arrangeur et chef d’orchestre américain de musiques de films, né le 16/04/1924 à Cleveland (Ohio) et mort le 14/06/1994 à Los Angeles.

L'une de ses compositions les plus connues est le thème du film  La Panthère Rose.

Enrico Nicola Mancini naît de parents italiens. Ayant anglicisé son prénom en Henry (ce qui lui vaudra le surnom de « Hank »), il commence à composer pour le cinéma au début des années 1950, notamment pour des films de science-fiction ou des westerns . Sa collaboration la plus fructueuse reste sans aucun doute celle qu'il a établie avec le réalisateur Blake Edwards pour lequel il a composé la quasi-totalité des musiques de ses œuvres depuis la série télévisée Peter Gunn en 1958, et ensuite de films parmi lesquels Diamants sur canapé en 1961,La Panthère Rose en 1963 etc...

 Il compose quelques célèbres chansons de films et grâce aux reprises effectuées par des chanteurs notoires comme Frank Sinatra, Andy Williams elles sont largement popularisées et récompensées. 

Il a son étoile sur le Walk of Fame d’Hollywood depuis 1982 et a été récompensé à plusieurs reprises : Oscar de la meilleure musique de film, de la meilleure chanson originale etc..

A la semaine prochaine...

Apaisement, relaxation, défoulement, joie de vivre tous ces mots pour qualifier nos rencontres du lundi soir dont le  Monde  devrait s'inspirer plutôt que de nous montrer son côté obscur,stressant, haineux,raciste qu'il nous a fait vivre ces derniers jours.

Bonjour et salutations aux reines et rois d'un soir,

• Le concert en faveur de l'arche de Dolanji est reporté au 28 février à 20:30 en l'église St Jean à Caen,  voir si un chant commun sera donné avec la chorale de l'Odon
• La répétition de ce lundi début par une "Cucaracha" façon Méli-Mélo où les sopranos débutèrent par le théme principal tandis que les autres pupitres étamèrent le théme d'accompagnement puis tout le monde se retrouva sur le thème principal (encore du travail...) puis enchaînement sur "Quand mon mary" et "Prepare ye..." qui seront sans doute au programme du prochain concert. Une petite révision de "Down bye the riverside" et de "La porcelaine de Bx" et enfin la dégustation de la galette des rois (Merci à Sa Majesté Florent I  "notre roi incontesté")

Rappel : La vidéo du concert du Lingèvres vous intéresse ? Faites-moi signe pour une copie 

The Voice (Chapitre III)

Soyez conscient de la souplesse de votre voix

La voix, ça n’est jamais qu’une soufflerie et un ensemble de muscles et de tendons. Si vous êtes capable de bien la travailler sur toute son étendue, non seulement vous provoquez un travail musculaire bénéfique à long terme (vous chanterez plus facilement et plus longtemps). Le secret, c’est de varier les plaisirs. Si vous travaillez uniquement vos aigus et que vous répétez vos exercices trop longtemps, la fatigue vocale se fera vite sentir et vous entendrez comme un voile sur votre voix (inutile de dire qu’il vaut mieux s’arrêter de chanter dans ces cas-là…). C’est beaucoup moins le cas pour le travail des graves, mais il n’est jamais bon de travailler sur une unique plage de notes. Prenez exemple sur ces athlètes qui courent le 100m et qui pourtant pratiquent d’autres sports (musculation, course de fond) pour développer toutes leurs capacités musculaires…

Le mécanisme qui permet une telle souplesse vocale s’appelle le changement de registre, et il existe trois registres vocaux communs (autrement dit, trois façons de chanter):

A suivre...

              LA BIO DU SAX 

Le saxophone est un instrument de musique  à vent appartenant à la famille des bois. Il a été inventé par le Belge Adolphe SAX et breveté à Paris le 21/03/1846. Il est généralement en laiton

Le corps du saxophone est composé de trois parties trouées ou collées : le corps conique, le pavillon et la culasse reliant les deux. Les clés (au nombre de 19 à 22 selon les membres de la famille et le modèle) commandent l'ouverture et la fermeture des trous latéraux percés sur le corps (ou cheminées). L'extrémité haute du corps est prolongée horizontalement par le bocal (démontable) qui porte le bec(en ébonite, en métal ou en bois), équipé d'une anche simple attachée avec une ligature.

Le son du saxophone est produit à l'aide d'un bec et d'une anche(en général en roseau, mais peut être aussi en matière synthétique). C'est la vibration de l'anche sur la facette du bec qui permet l'émission du son par mise en vibration de la colonne d'air contenue dans le corps de l'instrument.

Bien que métallique, le saxophone appartient à la famille des bois de par son mode de production des notes, par la vibration d'une anche en bois contre le bec. Il est cependant parfois considéré (à tort) comme faisant partie de la section cuivres dans les musiques populaires (telles que le rock, la pop, le rythme’n’blues, le funk ou la soul) où il est associé aux trompettes et aux trombones (instruments à embouchure).

De plus, comme il tend à se rapprocher de la sonorité des cordes (ceci est stipulé dans le brevet d'invention du saxophone), on peut de façon anecdotique en faire un "chaînon manquant" unissant cordes, bois, cuivres et percussions. Il présente quelques ressemblances avec la clarinette (notamment le soprano), dont il diffère cependant par sa perce conique au lieu d'être cylindrique. C'est d'ailleurs cette dernière particularité qui lui permet d'être un instrument octaviant (alors que la clarinette quintoie) : le but même d’Adolphe Sax lorsqu'il imagina son nouvel instrument.

La famille des saxophones conçue par Adolphe Sax comprenait 14 tailles, dont 7 sont utilisées aujourd'hui :

• le saxo contrebasse, très rare, en mi bémol
• le saxo basse, assez rare, en si bémol
• le saxo baryton, en mi bémol
• le saxo ténor, en si bémol
• le saxo alto, en mi bémol(courbe, et plus rarement droit)
• le saxo soprano, en si bémol(droit, courbe ou semi-courbe)
• le saxo sopranino, assez rare, en mi bémol

La société Adolphe Sax & Cie a été rachetée par la société Selmer&Cie en 1928. Depuis lors, l'entreprise Selmer a participé à l'amélioration de la fabrication des saxophones, ce qui lui a valu de conquérir le marché américain et de s'imposer en Europe. Les autres anciens facteurs de saxophones ont été progressivement supplantés par des marques internationales : Köhlert puis Keilwerth, Adler, Huller, Yamaha et Yanagisawa 

A lundi

La semaine prochaine ne manquez pas l'article d'un des nôtres qui montre que le Monde peut-être aussi beau, généreux, solidaire 

Bonne Année  2015 "éclatez-vous grave!" au sein de Méli-Mélo 

• Le blog de Méli-Mélo est heureux de vous présentez sa courbe de croissance pour ses six premiers mois de vie (son papa est fier de lui) Il s"appelle "Le petit journal Méli-Mélo" et il adore voir du monde.

• en vente également à L'Espace Musical  rue Maréchal Foch à Bayeux  
• A propos du CD,  j'aimerai faire un petit sondage en recueillant vos commentaires, vos critiques, vos suggestions pour en faire une synthèse (anonyme) sur le blog, en me les adressant via mon adresse mail ou le formulaire
• Nouvelle ligne droite pour Méli-Mélo en ce début d'année, à lire tous les vœux, tout le monde est motivé et heureux de se retrouver autour de son chef charismatique (anniversaire le 3 janvier pour mémoire), (sa phrase du jour : "entre les deux, le choeur balance" quel talent!!)
• Après le tour de chauffe, la répétition commence par "Quand mon mary" qui attend sa place dans le répertoire 2015, puis "La cucaracha" qui progresse bien, plusieurs versions seront testées lors des prochaines répétitions portant sur l'ordre entre refrain et accompagnement, "Sicut erat" (ça progresse gentiment) les sopranos vocalisent, les altos voyellisent (les a, o ,é bien clairs), les basses s'affirment, les ténors comme tous les autres chapitres doivent aller au bout des phrases et de l'avant, "Prepare ye" encore quelques efforts  et nous serons tous prêts ( "all ready to") et enfin "Show must go on" ou plutôt ("go an"au début pour finir en "on final") car tel faut-il le prononcer pour que la note soit juste (une vraie mécanique de précision ces choristes!!) et retour aux points stratégiques du chant, (les doum, doum, Ah! My soul ...) pour les ténors, (aching to be free.... my soul in painted) pour les basses et pour tout le monde ne pas être hésitant et timoré, "on donne tout"...
• La semaine prochaine à la fin de la soirée GALETTE DES ROIS et n'oubliez pas vos clés usb si vous voulez télécharger le concert de Lingèvres dans son intégralité
• Pour ceux qui n'ont pas eu le message, je rappelle que des extraits du concert de Lingèvres sont en ligne sur "Youtube". Vous pouvez y accéder soit par le site Méli-Mélo (vidéos)  ou directement sur "youtube"  et rechercher chorale méli-mélo tilly

NB : D'ailleurs pour toutes recherches sur internet concernant notre chorale toujours indiquer "tilly" car de nombreuses autres chorales se nomme "Méli-Mélo" en France (peut-être idée à creuser pour d'éventuels échanges)

Merci à Michèle et Catherine d'avoir ouvert "le Livre d'Or" et d'y avoir laissé les premiers messages

THE VOICE (Chapitre II)

La Classification des voix

Il existe de nombreuses subdivisions dans la classification des voix, mais autant aller à l’essentiel. On distingue trois types principaux :

- Les voix aiguës : Soprano (femme) et Ténor (homme)
- Les voix moyennes : Mezzo (femme) et Baryton (homme)
- Les voix graves : Alto (femme) et Basse (homme)

Cette classification permet de définir la voix de quelqu’un, afin de lui proposer les mélodies les plus adaptées. Il est donc capital de ne pas faire de diagnostic erroné sur sa propre voix ou sur celle de quelqu’un d’autre, car si on s'acharne à chanter des chansons qui ne conviennent pas, on se  fatiguera vite et surtout on risquera des problèmes plus graves (nodules, irritation des cordes vocales, etc.). Généralement, cette classification ne se fait avec un professeur qu’au bout de plusieurs mois. Et là encore, il faut faire attention car une voix se modifie parallèlement aux progrès obtenus. Plus la voix se « desserre », devient détendue et posée, plus les extrêmes (grave et aigu) se développent.

L’essentiel n’est pas de mettre une étiquette sur une voix ni de dire précisément de quelle note à quelle note une voix peut se déplacer, mais de l’amener progressivement vers l’équilibre magique « souplesse maximale / effort minimal ».

Pour mémoire, quand un professeur vous parle de votre tessiture, il désigne les notes sur lesquelles vous chantez complètement à votre aise (une dizaine de notes tout au plus) et où vous pouvez donner votre maximum, surtout au niveau de la diction. Le timbre, en revanche, c’est la « couleur » de votre voix, sa personnalité propre, ce qui fait qu’elle ne ressemble à aucune autre et qu’on s’en souvient souvent pendant des années....(La suite la semaine prochaine)

   Biographie de Guillaume COSTELEY 

"Quand l'ennui fâcheux vous prend" (1° titre du CD 2014)

Né en 1530 probablement vers Pont-Audemer et mort le 1/02/1606 à Evreux  01/02/1606 est un musicien et compositeur français de la Renaissance.

En 1560 Costeley devint organiste et valet de chambre du roi Charles IX ; il est en 1571-1572 organiste ordinaire du roi. Sous le règne d'Henri III, il est cité en 1574-1575 parmi les joueurs d’instruments aux gages de 240 livres. En 1576-1578 il est dit « organiste ordinaire » aux gages annuels de 375 livres, et cité encore en 1580 parmi les joueurs d’instruments.

En 1570, juste avant de s'établir à Évreux, il publia un vaste recueil de ses œuvres intitulé Musique de Guillaume Costeley.

En juin 1570 à l'âge de 40 ans, Costeley épouse Jehanne Blacquetot et s’établit à Évreux, où il achète un moulin dans la ville basse et, semble-t-il, arrête de composer. Il reste au service du roi, ne servant à la cour que par quartier, de janvier à mars. Il semble que son épouse lui ait apporté des biens considérables (en 1571 il peut offrir une maison comme cadeau de mariage à un de ses amis).

En 1570, il est cofondateur de la confrérie de Sainte-Cécile (patronne de la musique, fêtée le 22 novembre). À partir de 1575, cette confrérie donna naissance à un concours de composition musicale qui deviendra vite très réputé, et aidera au développement, dans la ville d'Évreux, d'un milieu artistique important. Ce concours sera ensuite imité en d'autres endroits. À Évreux, il dura plus d'un siècle.

Les œuvres de Costeley établissent un lien entre la chanson française polyphonique de la première moitié du XVIe siècle et celle des musiciens italianisants des années 1570-1580 ; elles contribuent également à développer l'écriture verticale et le sentiment harmonique, qui annoncent l’air de cour, genre qui apparaissait alors et qui continuera à se développer au XVIIe siècle.

Elles utilisent des intervalles harmoniques inusités et plusieurs d’entre elles alternent des passages d'homophonie et de contrepoint. Ce contrepoint n’est jamais contraint ni savant, et reste toujours au service du texte.

Costeley a aussi composé des pièces de circonstance (telles La Prise de Calais et La Prise du Havre).

L’élégance et la souplesse de son écriture font de Costeley « l'un des représentants les plus typiques de l'élégance, du charme, mais aussi du lyrisme de la chanson française au début de la seconde moitié du XVIe siècle »

Il est arrivé, bariolé

Toutes clés entremêlées

Croches, double-croches se mélangeant

Résultat : Un effet charmant

Méli-Mélo fête ses vingt ans

De douze titres différents 

Français, latin et népalais

Espagnol et même anglais

Oyez ces langues sur tout l'album

Vous serez cool un maximum

Bonne chance au CD nouveau

Et bon vent à Méli-Mélo

Bonjour et bonne lecture,

Allo, allo quoi!! La communication  Méli-Mélo : Pour diffuser un message urgent, un protocole d'appel est mis en place, chaque choriste a reçu la liste de son pupitre et a pour consigne de téléphoner à la personne suivant son propre nom si celle-ci ne répond pas? Il faut laisser un message et appeler la personne suivante.

• Le concert en faveur de l'Arche de Dolanji  aura finalement lieu à l'église St Jean.
• les consignes pour la vente du nouveau CD (voir billet du 08/12)
• La répétition de la soirée commence par un long temps consacré à "la Cucaracha" suivie par "Quand mon Mary" qui va sûrement intégrer le prochain programme puis  "The prepare ye..."qui est bien "dégrossi" et reste à  peaufiner, arrive "The Show must..." beau travail réalisé surtout  sur les points sensibles où souvent le ton baisse, poursuivre ce travail très régulièrement pour que nous arrivions sereins en concert et enfin "Sicut erat..." encore une page et sera la note finale.
• Rappel : Les réservations continuent en janvier pour les 3 représentations de "Orphée aux enfers" d'Offenbach qui auront lieu au Zénith de Caen les 25-26-27 Avril 2015. Des places à prix préférentiels (de 18 à 47€) sont disponibles. Vous êtes intéressés ? Contactez Dominique G à l'adresse suivante : Dominique.gries@ac-caen.fr

THE VOICE (Chapitre I)

Nous naissons tous égaux et pourtant nous sommes tous différents. La voix humaine n’échappe pas à cette règle : chaque voix est unique. De Barry White à la Castafiore, vous retrouvez toutes les nuances du grave à l’aigu. Vous avez également toutes les nuances du rauque à la pureté. Faire une classification des voix est donc un exercice périlleux, c’est pourquoi la suite est à lire avec précaution. On a vite fait d’abîmer une voix en la travaillant sur une plage de notes inadaptée. Le but de ces lignes est avant tout de  donner les principaux repères pour  aider à se situer soit-même dans les différents registres vocaux. Même si rien ne remplacera le diagnostic d’un bon professeur…

L'étendue vocale de Mr ou Mme tout le monde

N’importe quelle voix humaine, bien travaillée, est capable de souplesse vocale. Les gens qui ne savent absolument pas chanter sont bien capables de crier à pleins poumons en cas de grosse frayeur ou en cas d’exaltation. Généralement, les cris sont aigus et puissants, ce qui montre la souplesse naturelle de la voix. Donc disons-le tout net : avec de l’entraînement, tout le monde est capable de chanter sur  trois octaves (une octave, c’est l’intervalle de notes entre un « Do » et le « Do » suivant par exemple). C’est avant tout affaire de travail, de mental et de gestion de l’énergie. Bien entendu, les exceptions vocales peuvent monter plus haut (jusqu’à quatre octaves), mais contrairement à ce qu’on lit régulièrement dans les médias, AUCUN être humain ne peut chanter au delà de cinq octaves. C’est humainement impossible. (la suite la semaine prochaine.....)

 Biographique : Jacques HIGELIN 

Auteur-compositeur-interprète et comédien français, né le 18/10/1940 de père alsacien ( réquisitionné dans l'armée allemande) et de mère belge. Né avant 1967, il est, avec Pierre Arditti, un cas célèbre de non-transmission de la nationalité belge selon ce cas de figure, car la nationalité du père devait être belge, de même pour notre célèbre Johnny Hallyday car ses parents n'étaient pas mariés.

Il est le père du chanteur Arthur H, du comédien Kên Higelin et de la chanteuse Izïa Higelin. C'est un proche de Brigitte Fontaine, avec qui il collabore depuis le milieu des années 1960.

Musicalement, il se nourrit de plus en plus de rythmes africains. Il fait partie des artistes de gauche qui, comme Babara, Renaud, Maxime Le Forestier, s'investissent dans les pétitions diverses ou les concerts humanitaires. Il soutient François Mitterrand en 1988. La même année, il participe à l'hommage rendu à Léo Ferré à La Rochelle. Dans les années 1990, toujours présent sur scène, son image disparaît progressivement des médias. Et avec la crise du disque, il éprouve des difficultés à être produit. En 2003, toujours fidèle à Ferré, il participe à l'album hommage sorti pour les dix ans de sa disparition : c'est encore Jolie Môme qu'il choisit, mais cette fois avec une approche plus intimiste.

Le 1^er avril 2013, il publie Beau Repaire, nouvel album écrit et composé par ses soins. L'album reçoit un accueil critique enthousiaste, notamment de la part du magazine « Télérama » qui lui attribue ses « 4F » et souligne qu'il s'agit « peut-être du meilleur album d'Higelin, qui le remet enfin à sa place : au sommet de la chanson ». Les 10 et 11 juin, il remplit deux Casino de Paris. Il y chante trois heures le premier soir, et trois heures et quarante-cinq minutes le second. Les deux soirs, Sandrine Bonnaire et Izïa montent sur scène avec lui. À l'issue du second Casino, Jacques Higelin reçoit un disque d'or.

En janvier 2014, il est promu au grade de commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres (2014).

Bonnes fêtes de fin d'année et rendez-vous en 2015

Bonjour

Bienvenus sur le "Tuesday-blog" car c'est bien le mardi où la fréquentation est la plus importante. Dans le premier billet de janvier 2015 les statistiques seront publiées(accrochez-vous, vertigineux s'abstenir !!) 

• Remerciements des organisateurs de Lingèvres satisfaits de notre représentation et de la somme récoltée pour l'association Cadet Roussel.
• Le CD 2014 sera distribué le Lundi 22/12/2014 entre 19:00 et 20:00 à la salle des fêtes de Tilly (1 cd =10€ ; 5cd = 40€) Les chèques seront à faire à l'ordre de : musicabec
• Soirée "votation" comme disent nos amis suisses, plusieurs personnes ayant participé à l'enregistrement, souhaitaient avoir  un cd gratuit  après  vote : Majorité de NON. Puis une majorité de choristes ne veulent pas voir leur nom figuré sur le site pour diverses raisons : PAGE RETIREE (reviendra peut être, quand toutes les données seront collectées, sous la forme d' une carte départementale indiquant juste la provenance des choristes).
• Pas de photos du dernier concert par nos fournisseuses habituelles que sont Nicole L et Jocelyne P pour raisons techniques mais film à venir.

• Enfin retour au travail,notre Père Noël-ténor (cf : Publication du billet post concert) a quitté son habit rouge de mauvaises langues affirmèrent qu'il eu des trous de mémoire lors du dernier concert mais il a tellement de préoccupations en ce moment!!! Le principal étant qu'il n’oublie pas son job dans la nuit du 24 au 25 . Nous débutons par "Quand mon Mary" (du rythme réclamé par Florent) suivi de "Prepare ye...." (toujours du rythme) ces deux chants devraient être rapidement intégrés au répertoire, puis   "la Cucaracha" (encore du rythme) où l'accompagnement (begleitsatz) précède le chant principal et pour terminer la soirée "Sicut erat...." poursuite de l'apprentissage  et du rythme, du rythmeeeeeeeeeee

HISTOIRE    Nous avons chanté samedi soir à Lingèvres, il y a 70 ans c'était pas la même chanson. 

Quelques jours après le débarquement de Normandie, le village se trouve sur le chemin de la 50° Division d'infanterie britannique en route pour prendre le bourg de Tilly sur Seulles, mais celle-ci se heurte à une opposition allemande. Lingèvres est alors bombardé le 10 juin par un croiseur de la Royal Navy qui tire des obus de 152 mm et le village est investi  le 14 juin appuyé par l'artillerie de campagne et par des chasseurs bombardiers. Les Britanniques perdent 250 hommes pour libérer le village. La Panzer lehr division contre-attaque le jour même mais elle perd plusieurs blindés. Un aérodrome sera construit à proximité du village par les Alliés.

Trucs et astuces : en cas d'oubli

Conseil de "vieux" briscard de notre "jeune" et talentueux chef de chœur Si lors d'une représentation vous êtes perdu(e) dans le texte, le ton ou le rythme, pas de PANIQUE!!??... Ne regardez pas l'air hagard autour de vous, ne pleurez pas, ne fait pas mine de chercher la partition sous le tapis, pas de mains devant la bouche comme si vous aviez fait une grosse bêtise ou ne demandez pas aux autres où nous en sommes, restez CALME, SEREIN, DÉTENDU (qualificatifs pouvant s'accorder au féminin)  comme le Père Noël remuez les lèvres sans sortir de son ne faites rien qui puisse vous faire remarquer et tout se passera merveilleusement bien....(ouf)

Biographique : Nicolas SABOLY  

C'est un poète, compositeur et maître de chapelle français né en 1614 à Monteux et mort en 1675 en Avignon. Il a composé de nombreux chants de Noël en langue d'oc dont entre autres "Li a proun de gént" (Ah! Que de gens) inscrit à notre répertoire de Noël, qui forment un des monuments de la poésie occitane moderne et qui ont été constamment réédités jusqu'à nos jours.

Il est ordonné prêtre en 1635 et en 1639, Nicolas obtient la charge d'organiste et de maître de chapelle de la cathédrale Saint-Siffrein de Carpentras. Puis il part en Arles où il est également maître de chapelle de 1643 à 1646, puis à la cathédrale d'Aix-en-Provence (1652-1655), à Nîmes (1659). Il devient enfin maître de chapelle de l'église collégiale St Pierre d'Avignon avant 1668, jusqu'à sa mort

Sa carrière fut une carrière classique à cette époque pour les maître de chapelle et c'est à la composition de ses chants de Noël qu'il doit sa notoriété, on notera environs 220 chants de noël à son actif.

BILLET SPECIAL POST CONCERT

Quelle soirée ce samedi soir à Lingèvres ! Froid dehors, chaud dedans. En effet le cadre était propice à une belle prestation, une jolie église romane, chauffée, une installation de la soixantaine de choristes idéale (marches dans le chœur faisant office de gradins, pas de murs cachantcune partie des participants, une résonance parfaite). Une généreuse recette en faveur de l'association "Cadet Roussel",  qui bénéficie aux enfants leucémiques hospitalisés en hématologie pédiatrique au CHU de Caen."Une standing ovation" de la part d'un public chaleureux, participatif. Il faut dire que tout les atouts étaient de notre côté avec la participation en exclusivité mondiale du

Père Noël qui modestement le reste de l'année se fait appeler "Patrick" mais qui ce soir rayonnait et révélait sa vrai personnalité. Même la télé était présente!!  France 2 France-ChouainTV était présente avec comme "camérawoman", réalisatrice et productrice Stéphanie F...( sans doute en préparation pour le prochain festival de Cannes) qui filma toute la représentation. Le concert débuta par notre,devenu habituel, "trio de flûtiste" avec toujours cette originale association flûtes-saxo qui donne du "peps" à l'ensemble. Les chants se succédèrent sous des applaudissements fournis. La soirée aurait été idéale si le "Show must go on" final avait été parfait. Malheureusement sa qualité ne fût pas à la hauteur de nos espérances même si la fin fut meilleure qu'au dernier concert. Que faire?? Travailler, encore et encore pour arriver à une prestation régulière et performante car c'est dommage de terminer notre programme sur cette "fausse note". La soirée se termina par un double rappel des spectateurs et un buffet gâteau-vin chaud apprécié de tous.

Bonjour à tous(tes)

• Samedi prochain le concert de Lingèvres débutera à 20:30 avec en ouverture le même trio de flûtistes que la dernière fois puis en exclusivité "cantonnale" Méli-Mélo se produira avec le programme suivant :  Mi Libertad, Tête en l'air, La Nuit, Resham Phiriri, Giovani Liete, Down by the riverside, La porcelaine de Bx, C'est le jour de la Noël, Ah! Que de gens", une étoile a brillé, Peter Gunn, Méli-Mélo, The Show must go on.
• Oyez, oyez!! Le  nouveau CD, signant les 20 ans de la création de la chorale, est entré en production et sera dans tous "les bacs" sous 15 jours (Universal et autres maisons de disques "tremblent") Il sera en vente au prix unitaire de 10€ (1CD gratuit pour 4 achetés)
• Rappel :Dominique Griès, talentueux choriste (basse), nous a interpellé la semaine dernière sur 3 représentations de "Orphée aux enfers" d'Offenbach qui auront lieu au Zénith de Caen les 25-26-27 Avril 2015. Des places à prix préférentiels (de 18 à 47€) sont disponibles jusqu'au 18/12/14. Vous êtes intéressés ? Contactez Dominique à l'adresse suivante : Dominique.gries@ac-caen.fr
• Ce lundi la répétition débute par "C'est le jour de la Noël", la consigne étant un air enjoué pour les premiers couplets et un rythme plus lent et triste pour le dernier puis "Ah! Que de gens" (attention à la dernière phrase du dernier refrain), poursuite de l'apprentissage de "la cucaracha" avec sa cadence et son rythme endiablé, plusieurs mises au point de prononciation pour cette belle langue de Cerventes, "Prepare ye" ça sonne fort!!, enfin reprise de "The Show must go on" bien plus satisfaisante qu'au dernier concert (bien regarder LE CHEF jusqu'à la fin).

Paragraphe : Solfège

Les signatures temporelles

Une signature s’écrit toujours de la même manière sur une portée :

A représente le nombre de temps dans une mesure*
B représente le type

* Une mesure est un découpage temporel dans une partition et est représenté par un encadrement entre deux traits :

 Les barres de mesure : Il existe de nombreuses barres de mesure, elles indique chacune une information particulière

Selon la durée des mesures on les rempli par des combinaison de rythme présenté auparavant 

Quand on veut déborder une note d’une mesure on utilise une liaison 

On peut utilisé les liaisons dans une mesure aussi pour faciliter l’écriture et la lecture

 Paragraphe biographique :

Jean-Philippe Rameau, né le 25/09/1683 à Dijon et mort le 12/09/1764 à Paris (Paroisse Ste Eustache où il est enterré), fils de musicien, est un compositeur français et théoricien de la musique. C'est un scientifique de la musique, il essaie de démontrer mathématiquement l'art musical. L'œuvre lyrique de Rameau forme la plus grande partie de sa contribution musicale et marque l'apogée du classisme français, dont les canons s'opposèrent avec force à ceux de la musique italienne jusque tard au cours du XVIII°. Ecriture d'opéras-ballets qui furent oubliés pendant deux siècles est qu'on redécouvre aujourd'hui. Ses œuvres pour clavecin, en revanche, ont toujours été présentes au répertoire et furent jouées au XIX° (au piano) à l'égal de celles de Bach ou Scarlatti. Il avait très mauvais caractère, imbu de sa personne, il se fâcha avec les philosophes des Lumières (Rousseau, Diderot...)

Rameau est généralement considéré comme l'un des plus grands musiciens français avant le xix^e et comme le premier théoricien de l'harmonie classique : ses traités d'harmonie, malgré certaines imperfections, font toujours figure de référence.

Hymne à la nuit

En fait on ne doit à Rameau "que" la musique. C'est un thème de l'opéra "Hippolyte et Aricie", créé en 1733, car l'harmonisation est due à Joseph Noyon compositeur Cherbourgeois de musiques religieuses et organiste (1888 -1962). Les paroles de l'Hymne à la nuit ont été écrites par le compositeur français Edouard Sciortino (1893-1979).

 

 

 

Bonne semaine

• Bilan positif pour le concert de Fontenay le Pesnel avec beaucoup de choristes présents et une église bien remplie par un public enthousiaste. "Une mise en bouche" convaincante par le "trio sans nom" de musiciens motivés et (anachronisme original) une association flûtes-saxo très plaisante. Bonne acoustique dans cette jolie église avec une estrade installée dans le chœur. La place de chacun était comptée et encore une architecture pas toujours adaptée (retour de piliers qui referme la  "scène", face au public). Puis vint la représentation bien rodée de Méli-Mélo de bonne facture Une présentation individuelle des pupitres par Florent (tant redoutée) très soft (l'antenne de soutien psychologique envisagée pour nos ténors n'est plus à l'ordre du jour cf:billet du 10/11) mais un "Show must go on" perfectible, le piano absent lors de cette soirée se fit lourdement sentir et un final où la nouvelle consigne ne fut pas respectée (mise au point à faire) Enfin un rappel participatif du public  apprécié de tous qui put s'enchaîner par une vente de CD toujours aussi lucrative (Telle la multiplication des pains sur le lac de Tibériade, plus on en vend plus il y en a. Il est vrai que souvent nos productions sont vendues dans des lieux consacrés et donc ceci explique sans doute cela) (2 photos ajoutées : Album 2014 - Divers)

• Nouvelles dates de concerts (voir planning du site) qui auront lieu en début d'année 2015 à Caen au CHU et soit à l'église St Jean ou St Gilles (organisé par l'association ARCHE de DOLANJI à copier 100 fois par Florent) . Comme prévu pour le prochain concert de Lingèvres du 06/12 deux chants de Noël seront ajoutés au programme habituel (voir billet du 17/11)

• Ce lundi soir, beaucoup de monde où encore de nouveaux observateurs étaient présents. Révision des 3 chants de Noël habituels : "C'est le jour de la Noël"; "Ah! Que de gens"; "Une étoile a brillé" puis la soirée se poursuit par "Quand mon Mary"; "Prepare ye...." (un rock fort !!??...) dixit notre chef de chœur (quel talent) où puissance et changements de rythme doivent être au rdv de ce chant qui promet beaucoup (Attention à la coordination des différents chœurs à la 63° mesure) et pour terminer cette répétition "La Cucaracha" révision du début du chant puis fin de la partition intitulé "Begleitsatz" (Accompagnement)
  

Gute Woche an alle !!

• Viva Mexico

La Cucaracha (le cafard, la blatte) est une chanson populaire espagnol importée au Mexique au XIX°. Si l'air ne change pas les paroles changent au gré du temps, des révolutions etc...Il n'y a pas de paroles officielles mais une version plus ou moins classique. Chaque camp ou parti y ajouta ses propres paroles selon son idéologie, l'humeur ou les vicissitudes du moment… La cucaracha n'est pas non plus un chant révolutionnaire ni militant, mais un chant qui fut aussi chanté pendant la guerre civile mexicaine qui suivit la révolution contre Diaz ; ce n'est pas non plus une chanson folklorique, mais comme elle est connue à l'étranger, elle était chantée aux touristes. Les paroles connues actuellement sont une version très édulcorée de ce qui se chantait à l'époque. Reprise également par les klaxons des voitures sportives des années 60.

Bonjour à tous,

• Pic de visiteurs le 11 novembre, 20% du groupe, bravo et continuez...
• Mise au point pour le concert de samedi prochain à Fontenay le Pesnel : Rdv 20:30

- "Lever de rideau" par un trio de flûtistes issu de canal flûtes avec un programme différent (normal!! Ils sont 3 au lieu de 4)

- Programme :  Mi Libertad, Tête en l'air, La Nuit, Resham Phiriri, Giovani Liete, Down by the riverside, La porcelaine de Bx,une étoile a brillé, Peter Gunn, Méli-Mélo, The Show must go on.

- Rappel :(Tenue noire et pochette de chants rouge)

- Attention: Insertion de "une étoile a brillé"

• Concert de Lingèvres, en décembre, il y aura également introduction de "A que de gens" et "C'est le jour de la Noël"
• Ce lundi, salle comble et surchauffée qui débute par un "Joyeux Anniversaire"  pour Elisabeth 
• Puis les choses sérieuses débutent "Tête en l'air", "La Nuit"(bien observer les montées en puissance du chant),"Peter Gunn" (doit être pêchu), "Quand mon Mary", "Prepare ye..."(encore quelques "pripeur" qui trainent donc "pripaire" pour tous) BRAVO!!! Les sopranos ont relevé le défi du "la" (cf : billet du 10/11/14) Révision "Une Etoile a brillé" puis enfin les visages rayonnent à l'annonce "La Porcelaine de Bayeux" (respecter la cadence) succès pressenti au Salon des Antiquaires
• La soirée se termine par une première approche d'un nouveau chant appelé à remplacer "Resham Phiriri" "La Cucaracha"  célèbre chant mexicain que tout le monde connait et qui le rend difficile à chanter pour les pupitres accompagnateurs car chacun a l'air principal en tête  mais il est réservé à nos "vraies sopranos". Dans un prochain billet, un article plus approfondi sera consacré à ce chant.

C'est qui celui-là ?

(Long texte mais on ne peut pas résumer la biographie en deux phrases, de ce chanteur emblématique qui a marqué son époque).

Farrokh Bulsara naît dans le Protectorat britannique de Zanzibar ( archipel au large de la Tanzanie) le 5 septembre 1946.Il est le fils de Jer Bulsara et de Bomi Bulsara, comptable pour le bureau colonial britannique, membres de la communauté Pârsi  de religion zoroastrienne (religion monothéiste ayant le culte du feu)dont les ancêtres sont des Perses ayant fui en Inde la conquête arabo-islamique du territoire correspondant à l'Iran moderne. Ses parents, fonctionnaires britanniques, l'envoient poursuivre ses études auprès de sa grand-mère, en Inde, en 1953 : Farrokh est alors âgé de sept ans.

Le jeune garçon reçoit son éducation près de Bombay. Ses résultats sont globalement excellents. À la maison, il écoute continuellement de la musique et chante sur ses morceaux préférés. Au vu de ses résultats en musique, le principal de Saint-Peter écrit à ses parents pour leur suggérer de payer des études de musique à leur enfant, en sus des cours traditionnels. Ils acceptent et Farrokh commence à prendre des cours de piano. Il rejoint également la chorale de l'école et prend part régulièrement aux productions théâtrales de Saint-Peter. Le jeune garçon progresse vite au piano et atteint un haut niveau (Grade IV). Il entre ensuite à la St. Mary's High School de Mazagon où il intègre son premier groupe de musique, The Hectics et acquiert son surnom, Freddie que même ses parents se mettent à utiliser et qui sera son prénom de scène.Puis il change de groupes plusieurs fois pour rejoindre Smile où il sera chanteur puis cet ensemble change de nom en 1970 pour devenir Queen et il prend le pseudonyme de Freddie (son surnom) Mercury(nom retrouvé dans un de ses premier morceau). Ils occupent le devant de la scène pendant 20 ans.

Freddie Mercury se sait malade du Sida dès 1987 mais ne le rendra public qu'à la veille de sa mort.C'est la pneumonie dont il souffre depuis plusieurs semaines qui a raison de la résistance du chanteur et l'emporte à l'âge de 45 ans, le 24 novembre 1991. Selon sa religion  il sera incinéré et ses cendres repose dans un endroit secret.

Une tessiture hors du commun  caractérise sa voix de près de quatre octaves en incluant le chant en fausset. Sa voix s'étendait du fa¹ au fa⁵. En voix de poitrine Il pouvait atteindre le fa⁴ .Mercury a plusieurs fois été l'objet de critiques, principalement pour son refus d'évoquer publiquement ses origines, et plus tard, sa maladie. En outre, sa bisexualité avérée lui a attiré, après sa mort, les foudres de certains conservateurs britanniques ainsi que d'islamistes zanzibars.

"THE SHOW MUST GO ON"

Chanson sort le 14/10/1991 au Royaume-Uni ( 5 semaines avant sa mort). Les paroles sont riches d'allusions et de métaphores et elles annoncent de manière à peine voilée la tragédie qui s'annonce. À la fin du morceau, le texte évoque la détermination, la furieuse envie de vivre (« I have to find the will to carry on… on with the show », « je dois trouver la volonté de continuer le spectacle ») malgré des forces qui s'évanouissent (« inside my heart is breaking », « en moi, mon cœur se brise »). Mais on sent également la volonté de Mercury de continuer la musique jusqu'au bout (ne serait-ce que par le choix du titre de la chanson), et de rester présent pour le public (« Hold the line »). Le texte se veut néanmoins positif puisque Mercury souhaite laisser le souvenir d'un homme souriant ("but my smile still stays on").

Sur un plan harmonique, la tonalité principale du morceau est celle de Si mineur. Le morceau est joué dans cette tonalité pendant le premier tiers du morceau, avant de basculer dans une modulation un ton plus haut (en Do#) et de revenir dans la tonalité d'origine. Ce modèle de modulation est régulièrement employé dans les musiques populaires afin d'introduire une tension dramatique ou pour donner une sensation de renouvellement mélodique. Le retour en Si mineur, pourrait être interprété comme un signe de fatalité, de retour au sentiment premier de triste nostalgie évoquée dans cette chanson.

Le titre composé initialement par le guitariste et arrangé par l'ensemble des membres du groupe se caractérise par l'utilisation d'un synthétiseur reproduisant la sonorité d'un orchestre à cordes. La rythmique sobre mais lourde de la batterie est accompagnée du riff entêtant joué aux claviers. L'ensemble est oppressant. Le duo batterie et synthétiseur conserve ce rythme pratiquement jusqu'au bout du morceau, en contraste avec les instruments solistes (guitare-lead et voix).

La guitare-lead et la voix de Freddie Mercury se répondent tout au long du morceau dans un écho tragique qui mêle à la fois espoir et résignation. La basse  alterne des rythmes en phase avec le synthétiseur avec certains passages plus mélodiques, débutant parfois à contre temps.

Deux solos de guitare ponctuent le morceau, c'est surtout le deuxième qui laisse entendre des choir-guitares finement modulés qui clament une sorte de rappel du refrain, et de sa signification.

La structure en tenue et crescendo donne un sentiment très dramatique à la scène, et celle-ci retombe lorsque Freddie Mercury achève sa ligne sur une note tenue puissante dans les aiguës, tandis qu'un chœur, assez fataliste en comparaison, reprend l'accord de si mineur, s'appergiant dans les graves en écho accompagné d'un fade out, ramenant très progressivement au silence (le morceau est la dernière piste de l'album).

Lors de l'enregistrement, on s'inquiète en voyant l’extrême faiblesse de Freddie et pense que celui-ci ne sera pas capable d'enregistrer le morceau. Pour toute réponse, Freddie Mercury avale un verre de vodka et annonce "I'll fucking do it, darling". Il enregistrera le titre d'une seule traite.

Ps : Sa tombe aurait été découverte par des fans. Elle se trouverait dans le cimetière Kensal Green de Londres. Sur la plaque commémorative, il est inscrit le vrai nom du chanteur: Farrokh Bulsara. Accompagné des dates: 5 sept. 1946 – 24 nov. 1991 qui correspondent bien à la naissance et à la mort de Mercury. Elles sont suivies d'une inscription funéraire en français "pour être toujours près de toi avec tout mon amour" signée M. Sous la lettre se cacherait une ancienne compagne de l'artiste: Mary Austin. Même si le rocker était ouvertement gay, Mary Austin était une des ses proches. On raconte qu'elle fut l'une des seules femmes de sa vie avec qui Mercury envisageait le mariage. À sa mort, il lui légua une très grande partie de sa fortune.

Bonne semaine.......

Bonjour à tous

Semaine intense (2 répétitions et un concert). Concert qui signe de nouveau une belle prestation à Tour en Bessin avec un rendu sonore très satisfaisant dans ce bel édifice où style roman et gothique se cotoient. La Gendarmerie était en place aux carrefours du village, nous pouvions vendre nos CD à la fin de la représentation en toute quiétude sans craindre  pour notre recette. L'église était remplie pour moitié par les choristes mais avec un public chaleureux, participatif, ambiance inversement proportionnelle à la température (sans doute un problème de clim!!!).

Nos ténors : Lors de la présentation des différents choeurs au public, Florent nous a appris que nos ténors étaient en fait de "faux ténors" et c'est vrai qu'à les regarder et surtout à les écouter ils ont un côté irréel, lunaire mais nous seront tous solidaires pour affirmer notre soutien à ses "intellectuels" ses "poètes" que nous ne voulons surtout pas  échanger pour de "vrais ténors" car ils sont uniques et une incontournable signature vocale de Méli- Mélo.

µ L'album du site s'est enrichi cette semaine d'une cinquantaine d'images supplémentaires fournies par Jocelyne et dans un format plus sympa que précédemment.

Ce lundi, la répétition débute dans une ambiance intimiste après un concert d'une telle qualité  où chaque choriste donne tant de sa personne pour certains, deux jours de récupération ne sont pas de trop. Tant pis, ils n'auront pas connu cette répétition dans la grande salle des fêtes, regroupés autour de notre chef de choeur  . La représentation de Tour en Bessin était de qualité : La preuve ? Un couple (alto/ ténor) a été séduit vendredi et présent ce lundi soir à Tilly, bienvenus à eux.

Après l'échauffement habituel nous enchaînons sur "Quand mon Mary" comme la semaine dernière, trois fois de suite et le chant est finalisé prêt à être livré au public, suivi de "Prepare ye the way" apprentissage jusqu'à la fin du chant où le défi des sopranos sera la dernière note "la" très haut perché, mais nos sopranos auront à coeur de prouver qu'elles ne sont pas de "fausses sopranos". Pour terminer la soirée, nous reprenons "Sicut erat"  sans progresser plus loin dans le chant mais en peaufinant les enchaînements entre chaque choeur.

Paragraphe biographique :

                                               Antonio VIVALDI (1678-1741) 

Antonio Lucio Vivaldi, né en 1678 à Venise et meurt à Vienne en 1741 est un violoniste et compositeur  italien. Vivaldi a été l’un des virtuoses du violon les plus admirés de son temps; il est également reconnu comme l’un des plus importants compositeurs de la période baroque, en tant qu'initiateur principal du concerto de soliste. Son influence, en Italie comme dans toute l’Europe, a été considérable.Son activité s’est exercée dans les domaines de la musique instrumentale, particulièrement au violon, et de celui de la musique lyrique, et elle a donné lieu à la création d’un nombre considérable de concertos, sonates, opéras, pièces religieuses : il se targuait de pouvoir composer un concerto plus vite que le copiste ne pouvait le transcrire.

Prêtre catholique, sa chevelure rousse le fit surnommer il Prete rosso, « Le Prêtre roux », sobriquet peut-être plus connu à Venise que son véritable nom. Sa musique, de même que son nom, fut vite oubliée après sa mort. Elle ne devait retrouver un certain intérêt auprès des érudits qu’au XIX°, cependant, sa véritable reconnaissance a eu lieu pendant la première moitié du XX°.

Aujourd’hui, certaines de ses œuvres instrumentales et notamment les quatre concertos connus sous le titre « Les quatre saisons » comptent parmi les plus populaires du répertoire classique.

Traduction du chant étudié : "Sicut erat in principio, et nunc, et semper, et in saecula saeculorum. Amen." (Comme il était au commencement, maintenant et toujours pour les siècles des siècles. Amen).

Citation du jour : La musique commence là où s'arrête le pouvoir des mots (Richard WAGNER)

PS :Des avis et des mails d'encouragements m'ont été adressés dernièrement et c'est très motivant, des remarques pertinentes permettent d'améliorer le site (ex : le fond d'écran du formuaire de contact a été éclairci pour permettre une meilleure visibilité pour le rédacteur...) N'hésitez pas à échanger, le site avec son blog a besoin de vivre. Autant les fenêtres d'accueil, de présentation doivent rester sobres et conventionnelles autant le blog  doit respirer la vie, teinté d'une pointe d'humour qui égaye les propos. Merci encore et bonne semaine...

oir des mo

Bonjour à tous(tes) après ce break de 15 jours de vacances scolaires où nous retrouvons un chef de choeur un  peu "raide" sur ses appuis (eh oui ! , avec l'âge ...) nous lui souhaitons de récupèrer toutes ses capacités physiques.

• Reprise de la séance par l'échauffement vocal habituel pour enchaîner sur "Tête en l'air" ; "La Nuit" (importance des variations) ; "Giovani liete" (importance de tenir les notes) avec des basses à pleine puissance !! ; "La porcelaine de Bx" ; "Quand mon mary" avec un enchaînement non stop de trois répétitions consécutives et un rythme plus rapide (de vraies bêtes à chanter ces choristes !!) ; "Prepare ye the way" avec également un rythme qui s'accélère en deuxième partie de chant, (des jeux de mots entre pépère et mèmère dont seul notre chef de choeur a le secret); "Sicut erat"  poursuite de l'apprentissage ; pour terminer la soirée, reprise de "Show must go on" en n'oubliant pas la nouvelle fin ( cf : billet précèdent )
• Prochaine sortie à Tour en Bessin vendredi prochain (20:30 à l'église) avec le même programme qu'à Mondrainville  et Canal flûtes en 1°partie.

Débat phonétique

"wrath" employé dans "prepare..."qui se traduit par courroux, se prononce comment ?

Ce serait plutot la version "o" qui l'emporte sur la version "a" , voici l'écriture phonétique:

Wrath :[rɒθ]    Bath : [bɑ:θ]    Box : [bɒks]    Hot : [hɒt]    Father : [ˈfɑ:δəɼ]      

Paragraphe "les clefs du solfège"

Il existe trois figures de clefs : 

la clef de sol, qui indique le sol n^o 3, proche du la du diapason, et qui concerne les sons aigus 

la clef d’ut qui indique le do n^o 3 — ut est l’ancien nom de la note do et qui concerne les sons du médium

la clef de fa, qui indique le fa n^o 2 et qui concerne les sons graves

  clef de sol     clef de fa     clef d'ut

Le dessin des clefs est dérivé des lettres G (pour sol), F (pour fa) et C (pour do ou ut), que l’on avait pris l’habitude de placer sur une ligne de la portée primitive — aux alentours du XI siècle — afin d’attacher une hauteur absolue à la ligne en question. Les copistes ont ensuite progressivement transformé l’aspect de ces lettres jusqu’à aboutir au graphisme des clefs actuelles. Cette trouvaille qui est en fait à l’origine de l’invention de la portée, est attribuée à un moine italien, Guido d' Arezzo.

Paragraphe :" c'est qui celui-Là"

L'abbé Joseph BOVET : (1879 / 1951) est un ecclésiastique, compositeur et chef de choeur suisse. Il consacre sa vie avant tout à la musique en tant que maître de chapelle, c'est-à-dire professeur, chef de chœur et compositeur.Si sa fonction de maître de chapelle, pour laquelle il est nommé en 1923, l'a amené à écrire un grand nombre d'œuvres religieuses, tant en français qu'en latin, c'est principalement à ses œuvres profanes que l'abbé Bovet doit sa notoriété. En effet, il a écrit de nombreux chants aux textes simples, parlant de la nature, de la vie à la campagne, de la famille, bref, de sujets très populaires.

Il a également beaucoup œuvré pour le développement du chant choral car, en tant qu'enseignant à l'École normale, il a formé un très grand nombre de chefs de chœurs

• Le vieux chalet (traduit en dix-sept langues, le chant suisse le plus connu à travers le monde) "Là haut sur la montagne, l'était le vieux chalet"...
• Méli-mélo 

Bonne semaine

Retour au"taf" ce lundi soir après la représentation de vendredi à Mondrainville. Les avis recueillis lors de cette soirée furent tous élogieux tant du public, des organisateurs et des chefs de choeur, Florent et Franck. Avec des sopranos de "compétition", des altos brillantes mais pas aidées par la configuration des lieux et leur placement sur scène et des hommes  assurant une prestation de qualité.

1. La répétition commence par "Quand mon Mary" après un début poussif des hommes et quelques remises au point, le chant est revu en entier et de façon satisfaisante.
2. Poursuite de l'apprentissage de "Prepare ye the way of my Lord".
3. Reprise et progression dans l'apprentissage de "Sicut erat" où la fin de la partition  est en vue.
4. Pour terminer cette soirée reprise de "The show must go on" avec un final revu par Florent. Il sera écourté, au lieu de terminer les "go on" en decrescendo, garder la même intensité et s'arrêter au signe du chef de choeur.
5. Le prochain concert à Tour en Bessin le 7/11 : même programme qu'à Mondrainville avec la présence de Canal Flûtes en première partie.
6. Les photos du concert de Mondrainville (prises par Jocelyne) sont dans l'album du site.
7. ATTENTION : Le concert de Monts en Bessin prévu le 25/10 est annulé (nombre insuffisant de participants)

Interlude historique :Juan del Encina (Mi Libertad)

Juan del Encina (né à Encina de San Silvestre (Salamanque) vers 1468 et mort en 1533 est un poète, musicien, compositeur et dramaturge espagnol. Fils d'un cordonnier, son véritable nom était Juan de Fermoselle. Il appartient à la première époque de ce que l'on appelle l'école polyphonique castillane, une des plus importantes d'Espagne, et qui représente le meilleur de la tradition polyphonique de ce pays; il est considéré comme un des pères du théâtre espagnol. Ne pouvant avoir un poste de cantor (chef de choeur dans une église cathédrale) à Salamanque, il part à Rome où il réussit à être nommé cantor par le Pape Léon X. Il fait de nombreux voyages entre Rome et l'Espagne entre 1510 et 1519; vers 1518, il reçoit les ordres. En 1519, il part en pèlerinage à Jérusalem où il chante sa première messe. Finalement, il se fixe à Leon pour être prieur de la cathédrale. Il serait mort vers 1533 à Salamanque.

Citations du jour sur "le silence"

Le silence qui suit du Mozart est encore du Mozart (Sacha Guitry)

Le silence qui suit la note est encore de la musique (Loïc Leguern)

Après silence ce qui vient le plus près à exprimer l'inexprimable est musique (Aldous Huxley)

Bizarre vous avez dit bizarre : en 1952 un compositeur américain John Cage écrivit un morceau de musique intitulé 4'33, oeuvre en trois mouvements (silencieux bien sûr)

Interlude : solfège : les nuances

Nuances générales

Liste des nuances par ordre d'intensité croissante

Terme en italien	Abréviation	Traduction	Exécution
pianississimo		Très très faible	Son particulièrement faible. Cette notation exceptionnelle appelle à une nuance très marquée. Pour les instruments à vent, on atteint la limite physique d'exécution.
pianissimo		Très faible	Nuance très faible, très difficile à exécuter, en particulier dans les notes aiguës.
piano		Faible
mezzo piano		Moyennement faible	Le niveau sonore est légèrement relâché.
sotto voce		Murmuré
mezza voce		À mi-voix	Aujourd'hui peu usité
poco forte		Un peu fort	Aujourd'hui peu usité
mezzo forte		Moyennement fort	Pour l'ensemble des instruments il s'agit de la nuance naturelle, l'exécution doit être confortable.
forte		Fort	Le son demande un peu d'énergie.
fortissimo		Très fort	Exécuté avec violence. Le son ne doit pas pour autant être dénaturé (grande difficulté des instruments à vent en particulier).
fortississimo		Très très fort	Notation exceptionnelle. Il s'agit plutôt d'un effet d'orchestre.

Nuances pour un ensemble de notes

Augmentation de l'intensité

Terme ou signe	Abréviation	Signification
crescendo	cresc.	En augmentant progressivement le son.
rinforzando	rf., rfz., rinf. ou rinforz.	En renforçant progressivement le son.
sforzando	ou  ou	En renforçant le son d'une note ou d'un accord.
più forte		Plus fort.
		En augmentant progressivement le son.

Diminution de l'intensité

Terme ou signe	Abréviation	Signification
decrescendo	decresc.	En diminuant le son.
diminuendo	dim.	En diminuant le son.
smorzando	smorz.	En laissant mourir le son sans ralentir.
meno forte		Moins fort.
morendo	mor.	En laissant mourir le son en ralentissant.
calando	cal.	En ralentissant beaucoup et en diminuant le son.
		En diminuant progressivement le son.

Attention : Vacances scolaires pas de répétition pour les deux lundis à suivre.

Bonnes vacances musicales et rdv le lundi 3/11

A noter un record d'affluence, mardi dernier, sur le site avec un pic de neuf internautes (le succès se dessine) c'est très encourageant.

1. Le concert en faveur de l'éducation au Népal n'aura pas lieu le 13/12, par faute de lieu disponible sur Caen, il est reporté en début d'année 2015
2. La première représentation qui aura lieu vendredi prochain à l'église de Mondrainville commencera à 20:30 par un concert de flûtes suivi de Méli-Mélo. Le programme est le suivant : Mi Libertad, Tête en l'air, La Nuit, Resham Phiriri, Giovani Liete, Down by the riverside, La porcelaine de Bx, Peter Gun, Méli-Mélo, The Show must go on. Rappel : (Tenue noire et pochette de chants rouge)
3. Les chants revus ce lundi soir furent : "Down by the riverside, Giovani Liete, Peter Gun, La porcelaine de Bx, Méli-Mélo, The show must go on" pour ce qui concerne le concert à venir. "Quand mon mary" fut revu en entier et suivi de "Prepare ye the way of the Lord " La discussion fut comment prononcer "prepare" in english (écoutez et regardez diverses vidéos sur internet ou dictionnaire bilingue et vous verrez et entendrez "pripaire" et non "pripeure").
4. Un petit historique sur les auteurs des nouveaux chants que nous étudions depuis la rentrée :

• "Quand mon mary" de Roland de Lassus (né à Mons en Belgique en 1532 et mort à Munich en 1594) Nous sommes à la Renaissance, ce fut le "Mozart" du XVI° siècle, «C’était un artiste complet, une véritable éponge de son époque qui a puisé son inspiration partout, explique la musicologue Brigitte Van Wymeersch. Il a réalisé la synthèse de plusieurs styles et incarne véritablement l’âge d’or de la polyphonie.» Il laisse une œuvre aussi imposante que prolifique, en cinq langues avec une prédominance du latin pour le travail religieux : 50 messes, des motets (Composition musicale apparue au XIII° siècle à une ou plusieurs voix avec ou sans accompagnement musical, courte et écrite à partir d'un texte religieux ou profane)   pour des cérémonies ou des mariages, des madrigaux ( madrigal : C'est essentiellement une forme polyphonique vocale, non accompagnée par des instruments) des lieder ( lied : C'est un poème germanique chanté par une voix, accompagné par un ou plusieurs instruments).et puis beaucoup de chansons polyphoniques souvent «à boire» et paillardes.Il met même en musique des poètes de son temps comme Ronsard.

• "Prepare ye the way of the Lord" / "o bless the Lord" (préparez le régne du Seigneur) (o béni le Seigneur) de John Michael Tebelak (1949-1985). deux morceaux de l'opéra-rock "Godspell" Comédie musicale qu'il écrivit en 1971 comme sujet de thèse. Adaptation au cinéma par David Greene en 1973 et repris sur scène à Broadway en 2011. Toute l'oeuvre s'inspire de l'Evangile selon St Matthieu.  La musique est de Stephen Schwartz. JM Tebelak meurt à 35 ans d'une crise cardiaque à NewYork.
  

Paragraphe "Solfège"

Les accents 

Le tiret : Il se place au-dessus de la note, il indique une légère accentuation. 

Le point : Il se trouve également au-dessus de la note et ne doit pas être confondu avec le point de prolongation. Il indique qu’il faut jouer   la note staccato, c’est à dire détachée des autres notes. 

Le piqué : C’est la même chose que le point mais avec plus d’accentuation et de vivacité. 

L’accent vertical : Toujours au dessus de la note, il informe qu’il faut faire ressortir la note par rapport aux autres. 

L’accent horizontal : Egalement au dessus de la note, il indique qu’il faut faire ressortir la note et diminuer l’intensité immédiatement.
 

Le point d’orgue

Le point d’orgue se place au dessus d’une note pour la faire durer, c’est le musicien qui choisit suivant le morceau, le style et son feeling la durée que va prendre la note. Il se trouve généralement en fin de morceau.

La première représentation approchant (le 10/10 à l'église de Mondrainville) les répétitions s'enchainent durant la soirée. A noter la présence de nos deux nouvelles recrues qui, comme prévu, ont été conquises par Méli-Mélo.

• "Tête en l'air" d'Higelin qui sera accompagné au clavier par Franck Jourdan,chef de choeur de la chorale de Marigny Canisy, lors du prochain concert
• "Giovani liete" de Mozart extrait des noces de Figaro où la consigne de Florent est de garder la Noteeeeeeeeeeeeeee.....
• "Quand mon mary" suite et fin de l'apprentissage séquentiel à revoir en entier lundi prochain
• "Prepare ye the way" poursuite de l'apprentissage
• "The show must go on" révision de cette chanson de Queen ( présent sur le prochain CD) où the "King" Florent n'est pas tout à fait satisfait de notre prestation donc à revoir dans les semaines à venir dans une version un peu plus "pêchue" (cf Larousse : dynamique)
• Paragraphe lexical (cf dictionnaire de Trévoux édition de 1738-1742)

1. Rioteux ou riotteux : Querelleux, chicaneur, qui se fâche pour des choses légères, vient du mot "riote" (petite querelle dans un ménage ou en socièté)
2. Groumeleux : Vient du verbe "grommeler" : murmurer secrètement, gronder entre ses dents après une fâcherie
3. Faux : Hypocrite, menteur, homme sur lequel on ne peut pas compter
4. Croche ternaire : Le Ternaire : Il se bat à la croche. Ce qui veut dire qu’à chaque temps du métronome correspond une croche (c’est celui de la valse "un grand pas deux petits") et bien ça marche pareil un temps fort deux faibles.

Grâce à cette règle on peut réussir à relier le binaire au ternaire par la règle suivante : A chaque temps fort ternaire correspond un temps binaire, donc un temps en binaire (une noire) correspond à un temps ternaire ( noire pointée).

On peut imaginer mettre 6 croches ou 3 noires ou une blanche et une noire …

La semaine prochaine nous verrons "les accents"

Des changements de dates de représentations ont été notifiés (planning mis à jour)

• Le concert de Monts en Bessin le 24/10 reste à confirmer de même qu'un concert pour le Népal est envisagé en décembre sur Caen
• Dans la chaleur ambiante de la salle les répètitions se sont poursuivies : "Tête en l'air","La Nuit","La porcelaine de Bx"
• "Quand mon mary": Un nouveau chant "ancien" débuté la semaine dernière qui nous démontre que la condition féminine n'était pas "top" 
• "Prepare ye the way": Nouveau négro spiritual destiné à terme à remplacer " Down by the riverside" dans notre répertoire.

A la semaine prochaine.....

Le 8/09/2014 Méli-Mélo a fait sa rentrée annuelle comme d'habitude dans la bonne humeur.

Les dernières news sont les suivantes:

• Le dernier Cd devrait être disponible en décembre 2014
• Plusieurs concerts sont déjà programmés pour le 1° trimestre (voir le planning dans l'agenda)
• Le concert au CHU n'aura pas lieu en 2014 (problème de dates) espoir pour 1°trimestre 2015
• Pas de nouveaux choristes présents ce jour, donc nous repartons avec une équipe fidèlisée
• Présentation du nouveau site internet dont l'adresse est la suivante : http://chorale-meli-melo-tilly-sur-seulles.e-monsite.com
• Pour joindre le webmaster possibilité de remplir la fiche contact sur le site (messages vus par Florent et Roger) ou roger.vicquelin@orange.fr surtout si des documents sont à joindre (photos, articles...)