LE PETIT JOURNAL DE MELI-MELO

L' intérêt : Faire vivre le site par la communication des compte-rendus de la dernière répétition, de rappels historiques,

des événements à venir....Ne pas hésiter à intervenir via le formulaire de contact

  • Article du 11/05/2015

    Bonjour à tous,

    • Attention : Le concert du 30/05/2015 n'est pas validé pour cause d'organisation. Soit la date sera gardée mais dans une autre commune soit la représentation se fera à St Martin d'Aubigny mais en 2016 et surtout avec 30% de chants sacrés sinon Dieu ne nous le pardonnerait pas (enfin surtout Mr le curé du lieu). Plus d'informations à venir, lundi prochain.
    • Ce lundi soir, grosse affluence de sopranos et quelques nouvelles personnes venues participer ou écouter. Après le traditionnel échauffement la répétition commence par :

    - "Quand mon mary" : Sans problème.Cool

    - "Tout va très bien Mme la Marquise" adopter un ton théâtral.Rigolant

    - "La cucaracha" le contrôle technique imposé,  après la prestation "maracasienne" de la semaine dernière n'est pas terminé mais la version simple de ce soir peut être validée très prochainement.Sourire

    - "How high the moon" poursuite de l'apprentissage de ce nouveau chant (jazz) avec une partie du chant à l'unisson entre les altos et les hommes.

    - "La Nuit" bien insister sur  les nuances.

    - "Prepare ye" : Un gospel que le shérif Florent Innocent  perçoit d'une façon"western". Aussi l'entame du chant par les basses doit se faire de manière très douce sans variation de ton, s'imaginant chevauchant d'un pas lent et monotone dans les hautes plaines américaines où leur virilité innée ne s'affirme que par leur timbre vocal. Fermez les yeux la prochaine fois, écoutez vos amis les basses et vous serez transportés dans le Grand Canyon en 5 secondes chrono (Magique les Basses!!!) Clin d'œil

    - "Sicut Erat" : Magnifique à condition d'avoir une entame à la hauteur et de ne pas baisser de ton. Des "a" et "é" hauts et clairs, bouche ouverte et levez la tête  vous verrez sans doute les anges applaudir relayés par Mr le curé!!!Innocent

     

    Définition : L'expression jouer ou chanter à l'unisson se dit quand plusieurs pupitres d'un orchestre ou d'un chœur exécutent simultanément une mélodie identique, même si elle est entendue sur une ou plusieurs octaves. Par exemple, le début du premier thème du premier mouvement de la Symphonie n°9 de Beethoven est joué à l'unisson par tout l'orchestre et sur cinq octaves.

    LOGO  

    Un logo pour Méli-Mélo? Pouvant se retrouver imprimer sur différents supports.Quelques exemples dans la rubrique "Album" et "Logos"et si vous avez des idées n'hésitez pas à les soumettre.

     

    Paragraphe Humour : (Chapitre II)

    Celui qui a «de la voix»
    Pour obtenir une sonorité harmonieuse il est nécessaire d’homogénéiser le timbre des pupitres. Les voix les plus timbrées se voient sommées de rentrer dans le rang. Alors malheur à celui qui possède un bel organe. Celui qui a de la voix sera souvent prié… de se taire.

    Le sensible

    Un moindre pianissimo l’émeut, il aime la musique et souvent elle le bouleverse. Il a souvent la larme à l’œil  et au premier problème relationnel, il en perd le sommeil et fond de cinq kilos. Il souffre en silence mais la musique finit par le consoler de tous ses maux.

    Le râleur

    Il n’est jamais content, n’aime pas le programme, trouve que l’on apprend trop vite ou trop lentement, que le calendrier est trop chargé ou trop maigre.. De toute façon la tenue de concert est ridicule et il ne supporte pas la façon de travailler du chef…. Il se demande ce qu’il fait là. Les autres se posent la même question !

    Celui qui rechigne à chanter en étranger
    Il veut bien chanter n’importe quoi, mais surtout pas en étranger. Il a l’oreille musicale, mais pas la mémoire des sons. Sa prononciation est laborieuse, et maladroite. Il bute sur chaque mot. C’est une souffrance pour lui et pour ses voisins.

    L’enseignant
    Il commet parfois l’exploit de maîtriser les rudiments du solfège. De plus il est souvent ouvert aux attentes du chef. C’est un élément fort appréciable pour une chorale. Bien qu’ayant appris, à l’IUFM, à placer efficacement son larynx afin d’éviter l’extinction, lorsqu’il chante, l’enseignant a beaucoup de mal à retrouver les bonnes sensations. Celui-là qui ne peut s’impliquer sensuellement, le fait…
    pédagogiquement…

    L’informaticien
    Il rentre toutes ses partitions dans le programme de son ordinateur et les réécrit en plus gros. Car il travaille ses chants au bureau. Souvent il arrive à la répétition avec une autre version d’une œuvre, découverte par inadvertance sur internet. Il est alors tout fier d’exhiber sa trouvaille. Pour lui, la musique reste avant tout une discipline mathématique et le solfège un code binaire. Il ne communique d’ailleurs avec les autres choristes que par courrier électronique. Rien d’étonnant, alors, à ce que, parfois au beau milieu d’un chant, il bugue ! Et il y aurait encore le psychologue, le dragueur, l’étudiant fauché, le naïf, l’étourdi, celui qui a de l’ambition…le couple âgé, le juriste,

    Tiens le juriste
    Il ramène tout aux statuts de l’association et à la loi. Il intervient lors des assemblées générales pour remettre les responsables sur les rails dès lors que ces derniers s’en écarteraient un tantinet. Avec lui on ne peut pas dévier. Il est la garantie morale et l’assurance juridique de la chorale.

    Et enfin très rare : le choriste normal
    Celui-là n’affiche pas de tare particulière, il ne jalouse pas ses congénères, est né équilibré, n’a pas l’esprit tordu mais aime simplement chanter. Il n’a pas une voix extraordinaire, mais juste. Il possède quelques notions de solfège. Il a bon caractère, ne médit jamais. Il aime bien tous styles : classique, romantique, même la variété. Celui-là ne se fait pas remarquer, on l’oublierait presque, sinon aux concerts : car c’est lui qui assure le mieux. C’est le choriste idéal, le préféré du chef de chœur. Un cas … très rare 

    Il y aurait encore l’inquiet, le cadre, l’agressif, le soliste et bien d’autres...

    A suivre...

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