Article du 24/01/2017

Bonjour à tous,

• Concert "Terre des hommes"

Remerciements chaleureux de la part de la responsable de l'association pour l'engagement des trois chorales et rapportés par notre ami Patrick. La recette fut de 700€  mais amputée de 170€ de "chauffage". L'acoustique étant de bonne qualité dans cette église construite dans les années 60 de nouveaux rdv seront sans doute organisés (si possible par des températures plus clémentes).

Il est vrai que les prestations étaient de qualité. La palme revenant à Aïdéo pour son homogénéité, sa nouvelle et  enthousiate chef de choeur, (Florent la "couchant"  même sur son testament musical en cas d'absence prolongée de sa part). Le programme de Canta Musica était de toute beauté dommage qu'ils ne soient pas plus nombreux pour exécuter ces oeuvres exigeant un nombre conséquent  de choristes pour remplir l'espace acoustique. La prestation de Méli-Mélo fut bonne avec un bon retour des Altos (dixit notre agent-qualité Monette noyée dans la foule des spectateurs). L'installation en arc de cercle autour du chef de chœur contribuant également à ce bon retour mais un déficit en nombre des chœurs d'hommes, surtout des Basses nous empêchant de rivaliser avec Aïdéo. Heureusement notre programme "gai et vif" dans son ensemble et faisant participer le public permit de gommer partiellement ce manque. Le chant final " Une étoile a brillé" avec tous les participants, délivrant son message de paix conclut ce beau concert hivernal  ayant déplacé environ 250 personnes.

• Répétition

Ouf!! Les citoyennes révolutionnaires de la semaine dernière sont rentrées dans le rang, elles ont recouvré leur place habituelle. Le chef peut dormir sur ses deux oreilles. Des transactions se sont telles faites en coulisse ?? "Pas un mot sur l'affaire"....L'essentiel étant la paix revenue au sein de la communauté Méli-Mélo.

- "Hoy comamos" : Apprentissage du couplet N°4

- "Sous le soleil" : Nouveau chant annoncé la semaine dernière. Paroles et musique de Serge Gainsbourg. Revu et corrigé par Florent pour un arrangement spécifique.

- "La Troupe" : Poursuite de l'apprentissage. Bien noter le début du chant qui est quasi parlé voir chuchoté. Toutes les Altos doivent être à l'unisson.

• "Sous le soleil exactement"

Chanson de l'auteur et compositeur Serge Gainsbourg. Interprétée par Anna Karina en 1967 dans un téléfilm pour l'ORTF, sous forme de comédie musicale. La chanson est interprétée et filmée sur la plage de Deauville. Les acteurs principaux sont Jean-Claude Brialy, Anna Karina, Serge Gainsbourg.

Serge Gainsbourg, de son vrai nom Lucien Ginsburg, né le 2 avril 1928 à Paris de parents immigrants russes de religion juive et et mort le 2 mars 1991 à Paris, est un auteur-compositeur-interprète, pianiste, artiste peintre, scénariste, metteur en scène, écrivain, acteur et cinéaste français. Il accède à la notoriété en tant qu'auteur-compositeur-interprète, abordant de nombreux styles musicaux. Il s'essaiera également au cinéma et à la littérature, et réalise plusieurs films et vidéo-clips et compose plus de quarante musiques de films.

Serge Gains­bourg débute en 1954 en tant que pianiste à Saint-Germain-des-Prés. Séduit par la verve réaliste de Boris Vian, pour résis­ter aux années yéyés, il adopte bien­tôt un style singu­lier, décalé, alimenté de double sens et d’al­lu­sions érotiques (« Les sucettes à l’anis », 1965). Les années 1970 consacrent ce poète lucide et moderne aux influences souvent litté­raires, anglo-saxonnes et métis­sées (« L’ami caouette », « Je suis venu te dire que je m’en vais », « Couleur café »), qui écrit pour de nombreux inter­prètes. Ses passions fémi­nines lui inspirent ses titres cultes (« Je t’ai­me… moi non plus »). 

Après deux mariages (1951, 1964) et deux enfants (Nata­cha naît en 1964, Paul en 1967), Serge Gains­bourg s’amou­rache de Brigitte Bardot, rencontre l’ac­trice britan­nique Jane Birkin en 1967 (Char­lotte naît en 1971), se sépare en 1980, puis vit avec le mannequin Bambou (Lucien naît en 1986)… 

Sa sépa­ra­tion d’avec Jane Birkin coïn­cide avec le début des années Gains­barre. Malgré les consé­cra­tions, l’ar­tiste s’en­ivre, s’abîme psychique­ment, et déploie dans les médias une image provo­cante.

Malade il meurt le 2 mars 1991 à Paris, enterré sur la tombe de ses parents au cimetière Montparnasse

Bonne semaine...

NB : Album-photos enrichi par les clichés de Bernadette "Galettes des rois"