Article du 17/09/2019
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- Le Mar 17 sept 2019
- Dans 2019 - 2020
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Bonjour à tous,
- REPETITION
- "Non, non rien a changé": Chant peut-être présent au prochain concert? A noter que la répétition a été perturbée par l'entrée dans la salle de la prof du cours de danse pratiqué dans la pièce d'à côté. Celle-çi venant chercher le Chef pour "discuter" avec lui à l'écart du groupe. Quel homme sympa et serviable ce Florent qui laisse tomber le pupitre de Basses en pleine répétition et qui accoure au premier sifflet (il est vrai que la personne paraissait charmante)
- "Hymne à l'amour" : Petite remise à niveau habituelle des Basses
- "What child this is " : Quelques boutons de chemise de Ténors ne supportèrent le "bombage de torse" de ces derniers après que leur prestation fut qualifiée et justifiée de "superbe" par le Chef
- "Cantique de Jean Racine" : Le pupitre de Ténor est symbolique du syndrôme des équipes de France. Des joueurs capables de battre les meilleurs mais inconstants dans la durée. Après avoir atteint l'excellence sur le chant précédent ils mimèrent la partition des Sopranos dans une version "RAP" Gabriel Fauré se retourna dans sa tombe et les Ténors retournèrent dans "leurs petits souliers". Après les chemises, les souliers quels vêtements vont-ils nous faire découvrir la prochaine fois? Vivement lundi prochain...
- "Milagnéro tacendo" : Nocturne de Mozart de nouveau au programme que nous avions mis en sommeil la saison dernière (4 décembre 2018)
Rappel de l'article du 18/02/2018
Le Nocturne
En musique, un nocturne est une forme musicale qui a beaucoup évolué au cours du temps. Au XVIIe siècle, ce mot désignait une suite de pièces de divertissement pour petit ensemble instrumental, exécutée le plus souvent de nuit et en plein air. Tandis qu’au XIXème siècle, le nocturne a connu ses plus belles et célèbres incarnations au travers du génie de Chopin qui en a écrit 21 pour piano.
Histoire de l’oeuvre
Lorsqu’il était à Vienne, durant la période 1787 – 1788, Mozart fréquentait très régulièrement les salons de la famille Jacquin. Le baron Joseph Nikolaus von Jacquin (1727 – 1817), célèbre professeur de botanique et de chimie aimait recevoir les cercles scientifiques, artistiques et intellectuels de la capitale. Pour ces soirées du mercredi chez les Jacquin, Mozart écrivit, pour le plaisir, un certain nombre de pièces vocales et instrumentales, dont les six nocturnes pour trois voix et clarinettes.
« Mi lagnero tacendo » est l’oeuvre la plus developpée des six nocturnes. C’est une oeuvre qui laisse échapper une certaine tristesse mais qui est toujours tempérée par la sérénité de la mélodie.
Mi lagnero tacendo Je me lamente en silence
Della mia sorte avara De mon sort mesquin
Ma ch'io non t'ami, o cara Mais que je ne t'aime pas, ô ma chère
Non lo sperar da me! Ne l'espère pas de moi!
Crudele, in che t'offendo, Cruelle, en quoi t'ai-je offensée,
Se resta aquesto petto S'il ne reste dans ce misérable coeur
Il misero diletto, Que la triste consolation
Di sospirar per te? De soupirer pour toi?
Comme les hommes savaient parler aux femmes au XVIIIième. Le thème est le même que les paroles de "greenslives" du XVIième. Aujourd'hui ce serait plutôt : "Casse-toi pauv' meuf si tu veux pas m' filer ton 06 j'vais voir ta copine..." Quoique? Sur une musique de Mozart?? Faisons confiance à nos amis Ténors pour nous "dégoter" une version "rap"
- SOLFEGE
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Le comma
La distance musicale élémentaire est le comma qui correspond à la plus petite hauteur de son que l'oreille humaine peut distinguer. (en physique on pourrait le comparer à l'atome)
Il y a plusieurs types de comma (pythagoricien, syntonique, petit diésis, grand diésis, diaschisma ...).
Le comma pythagoricien a une distance sonore de 1/9e de ton.
Il n'existe pas de signe pour représenter les commas. De plus la plupart des instruments ne peuvent pas jouer ces sons. Toutefois le comma est une réalité sonore qui est fondamentale dans l'étude de la musique.
La semaine dernière nous avions laissé les Ténors "s'ensabler" voici la preuve en photo prise au XXe (déjà quand ils étaient jeunes le problème était présent) (A remarquer : - La mixité du groupe - Les maillots saillants très échancrés pour une ventilation extrême)
Voici un échantillon du sable récupéré par leur délégué syndical "Pierre" (situé à l'arrière du bateau, eh oui, les bulbes capillaires n'avaient pas encore migré au menton...) Merci Pierre pour ce témoignage qui ne manquera pas d'émouvoir tout le choeur de Méli-Mélo...
Ps : Bien sûr les commentaires sont toujours à prendre au 3e degré et ne veulent blesser personne, comme d'hab...
- NB
En fin de répétition Michèle nous fit part du décès du mari de Brigitte (Altos). Tout Méli-Mélo pense fort à elle et sa famille dans ces douloureux moments. La cérémonie religieuse aura lieu à Juaye-Mondaye ce mercredi 18 à 10h00
- PROPOSITION
Au repas de fin d'année Florent avait évoqué la possibilité que les choristes pouvaient proposer des chants qu'ils aimeraient partager avec Méli-Mélo à condition que la partition soit existante et prête à l'emploi.
Voici ma proposition : Vivadi
Beatus vir RV 597 : 6. In mémoria aeterna, Antifona
La part belle est donnée aux Altos - Tenors - Basses - Les Sopranos peuvent participer avec les Altos mais à condition de ne pas déséquilibrer l'ensemble du choeur
Paroles en latin et traduction
In memoria aeterna erit justus,
Le souvenir du juste sera éternel,
Ab auditione mala non timebit.
Il ne craindra pas d'apprendre une mauvaise nouvelle
Ce morceau est écrit en stile antiquo (style ancien) polyphonique, que l'Église tient pour le plus recommandable. Les premières mesures d'orchestre introduisent successivement à trois voix un thème qui fournira l'accompagnement de la fugue vocale ; il cède la place à un motif rythmique introduisant la sixte qui commence le thème de la fugue vocale à trois voix sur in memoria aeterna erit justus. Cette première fugue s'efface devant une autre sur ab auditione mala non timebit, qui débute par une suite de notes répétées. Une troisième phase combine les thèmes des deux fugues
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21/09/2019 groupes musicaux à St Vaast/Seulles
Bonne semaine...
Commentaires
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- 1. Michel Le Mar 17 sept 2019
Bonjour,
En tant que vingt sept mille huit centième visiteur, je souhaiterais attirer l'attention sur le peu de compassion de notre Web Master à l'égard d'un des pupitres de Méli Mélo qui souffre chaque semaine depuis presque 52 semaines des caprices d'un certain Mr Fauré qui a n'a pas réussi franchement à différencier les 2 beaux pupitres d'aiguës.
Loin géographiquement de vous, je vous soutiens chers camarades et chères camarades. J'ai hâte de vous retrouver, début octobre, pour enfin trouver notre voie et notre voix... ou de chanter avec nos amies sopranes danun magnifique chœur commun.
En tous cas merci pour les news et bon chant de bonsoir !!!
Bien amicalement à tous !
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