article du 13/02/2018

  • Par
  • Le Mar 13 fév 2018
  • Dans 2017 - 2018
  • 1 commentaire

Bonjour à tous,

  • REPETITION

- Hallelujah : "but or not but?" That is the question! La réponse est : YES  (Your faith was strong but you needed proof) Donc la noire de "strong" (sol-mi-do, suivant les pupitres)devient une croche.

- Hymne à l'amour : Attention Chef ne pas ranimer de guerres intestines en nommant les sopranos des altos. Ni les unes ni les autres ne sont d'accord .Grave erreur diplomatique à ne pas renouveler et surtout ne pas arrêter le traitement-mémoire (cf :Episode galette des rois).

- Viva Tutte : Tout comme "Vezzose" se prononce "Vetssozé" "Graziose" se prononce "Gratssiozé"

- Cantique de J Racine : Révision de la partie vue la semaine dernière

Enregistrement Orchestral Cantique de Jean Racine

 

- Mi Langnero Tacendo : Début de l'apprentissage du nocturne de Mozart

- Mélangez-vous  : Bon d'accord Chef le webmaster à force de répéter "Mélangez-vous" s'est un peu "mélangé les pinceaux" ... Moralité : Toujours regarder le Chef ....

  • PARAGRAPHE : HUMOUR (rappel d'un article paru en 2015 sur le site)

...Les SOPRANOS

 Celles qui chantent le plus haut, ce qui leur fait croire qu'elles dominent le monde. Elles ont des cheveux longs, des bijoux fantaisie, et des jupes plus froufroutantes que les autres. Elles se considèrent bafouées si on ne leur permet pas de monter au moins au fa "d'en haut" dans n'importe quel mouvement de n'importe quelle œuvre. Lorsqu'elles y arrivent, elles tiennent les notes au moins une fois et demie la durée requise par le compositeur et/ou le chef, puis elles se plaignent que ça tue leur voix et que le compositeur et le chef sont des sadiques.

Bien qu'elles considèrent tous les autres registres comme inférieurs au leur, elles ont des attitudes variées à l'égard de chacun d'eux. Les altos sont aux sopranos ce que les seconds violons sont aux premiers violons - c'est agréable harmonieusement, mais pas vraiment nécessaire. Toute soprano pense intimement que l'on pourrait supprimer les altos sans changer l'essence même de l'œuvre, et elles ne comprennent pas pourquoi il y a des gens pour chanter dans cette tessiture - c'est si ennuyeux.

En ce qui concerne les ténors, on aime bien en voir autour de soi ; en plus des possibilités de flirt (car il est bien connu que les sopranos ne flirtent jamais avec les basses), les sopranos aiment chanter les duos avec les ténors parce que, du haut de leur stratosphère, elles aiment les voir travailler durement pour arriver dans une tessiture qu'elles considèrent basse à moyenne.

Quant aux basses, ce sont les rejets de l'humanité - ils chantent beaucoup trop fort, et toujours faux (comment peut-on chanter juste dans une tessiture si basse), et de toute façon, il doit y avoir un problème avec ces gens qui chantent en clé de fa. Pourtant, bien qu'elles se pâment à l'écoute des ténors, elles finissent quand même par rentrer à la maison avec les basses.

...Les ALTOS

Elles sont le sel du monde, du moins le croient-elles. Ce sont des personnes simples, qui porteraient des jeans au concert si on les y autorisait. La position des altos est unique dans le chœur: elles ne peuvent jamais se plaindre d'avoir à chanter trop haut ou trop bas, et elles n'ignorent pas que tous les autres pupitres trouvent la partie d'alto pitoyablement facile. Mais les altos savent qu'il n'en est rien et que, lorsque les sopranos s'égosillent sur un la, elles doivent chanter des passages compliqués, pleins de dièses et de bémols, avec des rythmes impossibles, ce que personne ne remarque parce que les sopranos chantent trop fort (ainsi que les basses, comme d'habitude).

Les altos se font un malin et secret plaisir à conspirer pour faire baisser les sopranos.

Elles ont une méfiance innée à l'égard des ténors, car ils chantent presque dans la même tessiture qu'elles, mais ils croient avouer un meilleur son.

Les altos aiment les basses et elles chantent volontiers en duo avec eux - de toute façon, le chant des basses ne sonne que dans le grondement, et c'est le seul moment où elles ont vraiment une chance de se faire entendre.

Capturemozart 1Le Nocturne

En musique, un nocturne est une forme musicale qui a beaucoup évolué au cours du temps. Au XVIIe siècle, ce mot désignait une suite de pièces de divertissement pour petit ensemble instrumental, exécutée le plus souvent de nuit et en plein air. Tandis qu’au XIXème siècle, le nocturne a connu ses plus belles et célèbres incarnations au travers du génie de Chopin qui en a écrit 21 pour piano.

Histoire de l’oeuvre

Lorsqu’il était à Vienne, durant la période 1787 – 1788, Mozart fréquentait très régulièrement les salons de la famille Jacquin. Le baron Joseph Nikolaus von Jacquin (1727 – 1817), célèbre professeur de botanique et de chimie aimait recevoir les cercles scientifiques, artistiques et intellectuels de la capitale. Pour ces soirées du mercredi chez les Jacquin, Mozart écrivit, pour le plaisir, un certain nombre de pièces vocales et instrumentales, dont les six nocturnes pour trois voix et clarinettes.

« Mi lagnero tacendo » est l’oeuvre la plus developpée des six nocturnes. C’est une oeuvre qui laisse échapper une certaine tristesse mais qui est toujours tempérée par la sérénité de la mélodie.

Mi langnero tacendo                  Je me lamente en silence

Della mia sorte avara                De mon sort mesquin

Ma ch'io non t'ami, o cara         Mais que je ne t'aime pas, ô ma chère

Non lo sperar da me!                 Ne l'espère pas de moi!

Crudele, in che t'offendo,          Cruelle, en quoi t'ai-je offensée,

Se resta aquesto petto              S'il ne reste dans ce misérable coeur

Il misero diletto,                       Que la triste consolation

Di sospirar per te?                    De soupirer pour toi?

Comme les hommes savaient parler aux femmes au XVIIIième (n'est ce pas Annie?) Aujourd'hui ce serait plutôt : "Casse-toi pauv' meuf si tu veux pas m' filer ton 06..." Quoique? Sur une musique de Mozart ou alors en échauffement vocale pour Méli-Mélo ???

 

Attention clôture ce soir... Sursis jusqu'à la fin du mois de février..

  • PUB

 

"Un petit hôtel rural normand avec ses habitués voit débarquer une touriste parisienne aigrie et hautaine...Collusion de deux mondes...Spectacle réjouissant où chants et jeu théâtral s'entremêlent engendrant une bonne humeur ambiante." Avec le webmaster dans le rôle du réceptionniste...

Rdv organisés par l'ADTLB

Bonne semaine....

 

Commentaires

  • Margot
    • 1. Margot Le Mer 14 fév 2018
    Bravo encore a Florent pour ses compétences , ses qualités et sa patience !!!!!! Et oui « c’est lui le CHEF « il ne le dit pas assez ……..
    Merci aussi a toi Roger pour ton blog si intéressant a lire et drôle a la fois !!
    On y apprend des tas de choses et tu passes beaucoup de temps sur ton écran …. POUR NOUS ……
    ENCORE BRAVO A TOUS LES DEUX !

Ajouter un commentaire