Article du 7/02/2023
- Par vicquelin-roger
- Le Mar 07 fév 2023
- Dans 2022 - 2023
- 2 commentaires
Bonjour à tous(tes)
Mise en image la semaine dernière la répétition c'était ça :
Cette semaine ce fut ça :
Ouf!! Quel mauvais vent soufflait sur le groupe la semaine dernière? Une chorale concurrente nous avait-t-elle jeté un mauvais sort?
Hier soir on aurait entendu une mouche voler parmi le groupe de Sopranes, attentives, studieuses et mises "au charbon" sur Go down Moses... Les Altos proposèrent un chant plus tonique, plus expressif, les Ténors retrouvèrent leur allant, laissant espérer une ressurrection d'América qui était presque mort et enterré. Les Basses furent même attirés par leur mélodie si aguichante tel Ulysse charmé par le chant des sirènes...Et nous retrouvions le sourire sur le visage du Chef , baromètre indicateur de la santé de Méli-Mélo.
REPETITION
América : Beaucoup mieux
De la main gauche : Ne pas oublier "le soupir" après "on l'a (s) raconté"
Vecchie letrose : Ok Un peu plus fort pour les Sopranes
Go down Moses : Penser à de beaux "O"
Salve Regina : Penser aux nuances. Les Basses doivent travailler la fin
Non rien a changé : Penser à de beaux "é"
Vangélis : Prend forme. Un indice pour les Ténors, un peu perdus dans la partition : "La fin du chant se trouve en dernière page..."
Cantique de Jean Racine : Bien regarder les indications du Chef
Bella Ciao : Une discussion s'instaure à l'initiative de Simone sur les paroles de la fin du chant
Très souvent c'est chanté avec les paroles suivantes : "morto per la liberta" (mort pour la liberté) mais pas sur notre partition qui est :
"molto bella liberta" (très belle liberté) et engendrant la partie finale : "bella più bella liberta" (plus belle liberté) finale qui n'aurait pas lieu d'être si on chantait "morto per la liberta"
En résumé on ne chante pas la fin "classique" du chant mais il n'y a pas d'erreur sur notre partition...
Attention : Prochaine répétition lundi 27 février (juste avant le concert de Caumont... Bonnes vacances d'hiver...
Commentaires
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- 1. Pierreleroy Le Mar 07 fév 2023
Le vernis craque... les basses n'ont pas été attirés par notre chant mélodieux ! En fait il s'avère que le pupitre de basse n'est que la chrysalide du futur papillon. Pourquoi ramper quand on peut voler ?
Ce pupitre respecte lui aussi cette loi de la nature. La chrysalide est elle déjà à l'œuvre ? Les chanteurs du pupitre des chenilles vont ils devenir papillons ? Nous le saurons dans les semaines à venir....-
- vicquelin-rogerLe Mar 07 fév 2023
Quelle célérité!!! J'allai me recoucher l'esprit tranquille du travail accompli (écriture du blog) quand un bip sonore m'indiqua un message sur notre site préféré...Dans la seconde, oui je dis bien dans la seconde après la publication de l'article le commentaire de notre "Jafar" s'étalait sur notre site tel un sphinx tête de mort s'écrasant sur la vitrine lumineuse de notre chorale, aveuglé qu'il fut par cette source de lumière et de savoir. Comment a- t- il pu répondre si rapidement? A-t-il installé des caméras- espionnes à mon domicile? Tout est possible venant de lui... Mais revenons au texte : Oui le papillon est un beau symbole pour caractériser le Ténor : Il est coloré, attirant l’œil, représente bien, peut faire illusion...Il va deci delà, butinant, virevoltant, imprévisible. Pas besogneux pour un sou comme sa chenille qui n'a de cesse de se nourrir pour se transformer un jour et lui donner la vie et son envol. Tout comme les Basses qui sont le lit du chant chorale qui permet aux papillons ténors de s'épanouir dans la lumière mais aussi de risquer de se brûler les ailes... "Je l'aurai un jour, je l'aurai ce maudit Jafar...
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