article du 10/10/2017

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  • Le Mar 10 oct 2017
  • Dans 2017 - 2018
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Bonjour à tous(tes)

Un peu moins de monde ce soir, les nouveaux Ténors n'étaient pas là mais sont annoncés pour la semaine prochaine, c'est dire l'énergie dépensée par ces pointures que sont nos Ténors. Ne s'improvise pas Ténors qui veut, il faut s'entrainer encore et toujours. Il n'y a qu'à voir le physique de notre noyau dur...(des bêtes de scène, des abdos et un gainage d'athlètes qu'ils cachent sous des vêtements amples pour ne pas gêner leurs amis-Basses.

Bonnes nouvelles!! Notre chef va mieux, les bonbons magiques de Monette ont fait leur effet. Après l'habituel échauffement vocal Florent nous dit avoir vu Angèle pour lui remettre la collecte (plus de 300€) faite en mémoire de Maurice et pour espérer la voir au concert de Fontenay et surtout à notre repas de juin prochain. Bien sûr Angèle nous embrasse tous et très fort...

  • PREVISIONS CONCERTS

- Samedi 18/11 : FONTENAY le PESNEL 20:30

- Samedi 25/11 : BAYEUX église St Patrice 20:30 avec la chorale de Marigny avec son chef charismatique Franck

- Vendredi 01/12 : TILLY à l'occasion du Téléthon

  • REPETITION

- "Shalôm" : Toujours par coeur et avec ses nuances

- "He is always" : Vu en entier. Reste à appliquer les nuances. Prévu au programme du prochain concert.

- "Mélangez-vous" : A peine découvert, déjà appris. Bien laisser "vivre" les notes (les hommes). Pierre Perret serait-il plus facile à apprendre que Mozart (cf : article suivant). Sans doute également au prochain programme et peut-être en chant commun avec Frank and co...

- "Hoy comamos": Prochain programme??

- "La Troupe" : Itou??

Décidément le programme 2017-2018 va être quasiment tout nouveau...

 

Pierre Perret né le à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), est un auteur-compositeur-interprète français.

Auteur jouant sur les mots et la musicalité de la langue française, Pierre Perret ne dénigre pas pour autant l’argot, qu'il emploie à dessein dans de nombreux textes (il a réécrit les fables de La Fontaine). L'interprète, dans un style apparemment naïf, voire enfantin, avec candeur et humanisme, pose nombre de questions pertinentes qu'il déclame avec un sourire malicieux.

Chanteur populaire et auteur reconnu, il s'illustre par un répertoire hétéroclite composé tour à tour de chansons enfantines, comiques, grivoises, légères ou engagées, qui naviguent entre humour et tendresse. En marge de la chanson, il a publié de nombreux ouvrages sur la langue française et plusieurs sur la gastronomie, son autre grande passion. Il a également joué dans quelques films (5) entre 1944 et 1970

  • RAPPEL

A l'occasion de l'apprentissage du "Confutatis " débuté le 30/05/2016

Confutatis maledictis,                Et après avoir réprouvé les maudits,
Flammis acribus addictis ;       Et leur avoir assigné le feu cruel,
Voca me cum benedictis.           Appelez-moi parmi les élus.
Oro supplex et acclinis,             Suppliant et prosterné, je vous prie,
Cor contritum quasi cinis,        Le cœur brisé et comme réduit en cendres ;
Gere curam mei finis.               Prenez soin de mon heure dernière. » 
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Dans les requiems, le « confutatis » est une partie toujours très tourmentée, et souvent scindée en plusieurs passages bien définis.
Tout d’abord il y a l’effroi toujours présent du jugement dernier, et l’évocation de la sentence divine qui sera prononcée contre les « maudits » : l’Enfer (« réprouvé les maudits, le feu cruel »).
Mais après cela, la supplication de ce passage commence. L’homme supplie ici la divinité de l’épargner, de l’accepter parmi les élus au Paradis.
Cela commence par un simple appel, une requête presque neutre dans le style (« appelez-moi parmi les élus »), mais ensuite tout devient beaucoup plus lourd et chargé de douleur. Il s’agit alors d’une requête ultime et désespérée avant la mort. 
 

Confutatis  de MOZART

— Chez Mozart, la structure est claire : on a tout d’abord la première partie, tourmentée, avec uniquement les voix d’hommes, soutenues par un motif répété aux cordes qui accentuent l’aspect angoissé de ce passage. Les rythmes et l’instrumentation évoquent un style presque martial.
 
— Mais très subitement, cette angoisse s’éteint pour laisser place au « voca me » des femmes du chœur, passage angélique mais tout autant chargé de douleur. Les voix sont pratiquement seules, exceptées quelques cordes.
 
— Puis elles sont interrompues par la violence répétée des voix d’hommes, et reprennent ensuite la parole pour conduire à la dernière partie de ce « Confutatis ».
 
— Ici l’atmosphère calme est pourtant plus lourde que jamais. Les voix du chœur cette fois unies récitent un texte lourd de signification dans des tonalités mineures se succédant les unes après les autres, chaque fois plus basses.
 
Une lente et douloureuse descente qui s’éteint finalement, évoquant ici la mort, d’autant plus que la partie qui va suivre est le « Lacrymosa ».
 
— Cependant, pour amener à la tonalité du « Lacrymosa », le compositeur a écrit un dernier accord esseulé et pourtant effrayant, froid comme la mort qui vient de se produire.
 
Historique de la création de l'oeuvre
 
La messe de Requiem en ré mineur (KV. 626), de Wolfgang Amadeus Mozart, composée en 1791, est une œuvre de la dernière année de la vie de Mozart, mais pas exactement la dernière œuvre du compositeur. Elle n'est de la main de Mozart que pour les deux tiers environ, la mort en ayant interrompu la composition. Elle reste néanmoins une de ses œuvres majeures et emblématiques. Sa veuve, Constance, pour pouvoir honorer malgré tout la commande et ne pas avoir à rembourser l'avance octroyée lors de la commande, d'une part, et réhabiliter la mémoire de son mari en vue d'obtenir une pension impériale d'autre part, demanda à Joseph Eybler, puis à Franz Xaver Süßmayr de terminer la partition. Le Requiem a suscité de nombreuses légendes, tant du fait des circonstances insolites de sa commande que de la difficulté de distinguer exactement ce qui était de la main de Mozart et ce qui ne l'était pas.
 
Mot personnel : Je souhaite à tous et toutes de pouvoir chanter cette magnifique oeuvre où le plaisir est immense.
Une seule chose nous sépare avec le chef c'est la prononciation du Latin. Pour Florent "latin à la française" pour moi "latin d'église à l'italienne" chanté à l'époque de Mozart. Mais le chef dirigeant l'oeuvre le fait suivant son ressenti...
N'oubliez pas le site "choralia" si vous voulez travailler à la maison...
"Confutatis à partir de 21'23" sur la vidéo"
 
Bonne semaine....
 
 

 

 

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